Mon deuxième club
C'est donc en 2004 que mes parents m'amenèrent pour la première fois dans mon deuxième club équestre à 30 minutes de chez moi. Là-bas, l'ambiance était aussi compétitive mais l'approche de l'équitation était pour moi plus calme et l'on pouvait évoluer à notre rythme. À cette époque, ma famille manquait d'argent dû à mes soins... et le fait que l'écurie soit si loin compliquait la tâche.
Pendant un 6 mois, je ne pu y aller seulement une fois par mois. À cette époque, ce fut pour moi une tragédie. J'aimais déjà tant ce sport de plus ma "maladie" reprenait le dessus et il fut très vite pour moi impossible de marcher correctement et encore moins d'écrire. La rechute était terrible pour toute ma famille qui se cotisa pour m'offrir à nouveau des cours dans ce nouveau centre équestre. Et de nouveau, les résultats furent fulgurant et de nouveau les médecins ne comprirent rien du tout.
Après un peu moins d'une année de longe, je put me retrouvé seule sur la piste avec d'autres cavaliers. En ce temps-là, j'eu aussi mon premier coup de cœur équestre un grand hongre alezan au nom d'acajou. C'était une peluche, une vraie perle et mon préféré.
Durant les cours je ne pratiquait pas de galop car étant encore trop faible, une chute aurait pu faire basculé ma vie mais petit à petit une confiance ce tissa entre ce cheval et moi. Que vous me croyez ou non la monitrice de l'époque, me mettait dessus et c'est comme si je dansait, je m'accordais avec lui et c'est comme ça que je pu le monter très régulièrement et ainsi faire mes premiers galop.
Puis au fil des 2 années passé là-bas, les reprises de dressage avec les petits niveaux et la non-évolution de mon niveau me fit perdre cette envie fiévreuse de monter à cheval. J'ai aussi appris qu'Acajou avait malheureusement fini à la boucherie (pas de critique dans les centres équestre c'est une réalité que je ne cautionne pas mais on ne peut rien faire) qui fut pour moi le coup de massue. De plus, mes parents ne supportant plus non plus les nombreux trajets qu'ils devaient faire. mon mise face à un dilemme.
C'est à 8 ans que je dut pour la deuxième fois changer d'écurie.
Mais cette fois, je ne savais où aller....
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