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3000 selles par ans, dont 75% à l'export.
Et si, puisque tu parles d'antarès, tous les artisans sont formés à TOUS les postes, et ça tourne suffisamment régulièrement d'un poste à l'autre. Parce que justement, nous n'envisageons pas le travail d'un artisan sellier comme étant celui d'un ouvrir d'usine. Et certes TOUS n'ont pas un diplome. Mais la plupart quand même
Pauline Thoumelin, qui a été formée chez nous, incarne cet esprit. Elle a été nommée l'année dernière meilleur apprenti sellier harnacheur de france. Et c'est un pur produit de nos ateliers.
Tu connais peut être, mais pour le coup, ce que tu dis es faux, et je t'invite à venir nous voir à Saintes pour le constater de tes yeux. |
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désolé, je maintiens. 3000 selles par an, c'est pas de l'artisanat.
mais tu connais l'usine antarès, moi non, alors ok, d'accord, je m'incline devant toi. (oh! tout puissant sellier antarès, j'implore ton pardon!)
concernant Mlle Thoumelin, grand bien lui fasse, j'ai grand respect pour elle, mais le fait de dire que c'est un pur produit de VOS ateliers en dit fort long sur la déshumanisation que l'on rencontre souvent ou? à l'usine!
si elle en est arrivée là, c'est parce que sa volonté l'y a poussée, qu'elle bosse chez antarès ou tartempion, quand on la rage on a la rage et on y arrive. c'est pas le patron ou la formation qui compte, c'est les heures de couture et les heures passées à gamberger, à bosser. pas le blase des boss, aussi connus soient il.
tu m'invites à saintes, c'est bien gentil... Mais bon. c'est déjà pas mal que je me laisse traiter comme un guignol sur un forum (mais j'assume sinon je te répondrai même pas), je serai étonné que l'on se croise un jour... ceci dit, il y a que les montagnes qui se rencontrent pas, donc à voir.