upzariana
Pour l'incidence économique des vermifuges, j'ai de suite pensé à ce qui se passe quand un cheval n'est pas / mal vérmifugé sur le moyen terme
=> coliques possibles, et là, tu as une incidence économique entre frais véto + cheval immobilisé
=> perte d'état et là, tu nourris les vers mais pas le cheval, ou comment gâcher ton foin et ton aliment...
=> et comme l'a dit Rocsaint, il y a aussi la façon de gérer les vermifuges, soit sans penser au changement climatique en vermifugeant 4 fois/an. Ou en réfléchissant à la façon dont les chevaux sont logés (pré, paddock, box individuel, etc.) et avec copro pour éviter de vermifuger pour rien, etc.
Pour l'incidence économique des litières, il suffit de penser aux éléments suivants
- facile à trouver ou pas,
- facile à stocker ou pas,
- plus ou moins facile à manipuler,
- + ou moins facile à recycler (pense à l'enlèvement du fumier, un agri va mieux accepter un fumier avec de la paille qu'avec du copeaux, par ex.)
- et il y a l'entretien aussi. Selon le type de litière choisie, le curage n'est pas forcément hebdomadaire, et il y a plutôt intérêt à faire un entretien quotidien mais rapide (ramassage de crottins seulement) par rapport à un repaillage quotidien (manutention des ballots de paille, balayage, temps passé, etc.)
Pour le matériel, je pense qu'il faut voir le côté pratique (savoir démonter et remonter une bride, mors compris) et la théorie de leur utilisation (là, il suffit d'aller voir les manuels de galops)
Quand à la pharmacie, il y a des médicaments à avoir sous la main "au cas où", sauf qu'il faut l'ordonnance, donc comment gérer ça ?
Pour les outils, par exemple, un tracteur avec une fourche devant, garé en plein milieu de la cours, alors qu'il n'a rien à faire là, s'il n'est pas utilisé. Et bien, ça peut être l'occasion pour un cheval d'aller s'y empalé l'épaule sur ladite fourche par ex.
Ou tout simplement, il doit bien y avoir des contraintes sur qui a le droit de conduire le tracteur, d'utiliser le bobcat, etc ?