Je ne pense pas qu'il y ait quelque chose de choquant là dedans. Je m'explique.
La plupart des "erreurs" de ce type sont entrainées par un manque de connaissances, un décalage par rapport à la vérité.
Le problème, c'est qu'en équitation, on ne sait rien seul. On doit toujours se fier à quelqu'un, à une philosophie, à un enseignement. A partir du moment où cet enseignement est mauvais, le cavalier reste dans le faux, bonne volonté ou non. Et malheureusement, c'est le cas.
Ce qu'il faut, c'est ouvrir les yeux à ces personnes. Il ne faut pas les brusquer, mais juste émettre l'idée d'une autre vérité. Proposer un nouveau raisonnement avec des arguments précis. S'exprimer avec diplomatie.
Remettre en question un ou deux préjugés voire même tout le fondement d'une équitation qu'on croyait jusqu'ici juste est bouleversant pour un cavalier - encore plus par écrit, derrière un ordinateur. On est le plus efficace quand on invite l'autre à se questionner pour qu'il change d'avis par lui-même.
C'est pour ça que chaque sujet est utile, et qu'il ne faut pas être blasé de ceux-là. Ils ont un enjeu.