L'équitation, une maltraitance ?

Oui bien sûr que la naissance en captivité c'est pas top, mais si ça nous permet de sauver des espèces de l'extinction en attendant de pouvoir les réintroduire dans des milieux naturels moins hostiles, pourquoi pas ? Des loups ont bien été réintroduits en France, il me semble.

Après évidemment, nos pratiques ne sont pas toujours les meilleures, mais bien souvent quand on connaît l'animal et sont comportement en vie sauvage, on essaie de s'y adapter le plus possible.

est-ce que vous-mêmes humains avez demandé à venir au monde ? est-ce que la vie actuelle ne contient pas autant de maltraitance que celle que certains reconnaissent dans la vie des animaux domestiques ?
êtes-vous libres de vos actes autant que vous le croyez ?

ces questions méritent d'être retournées à ceux qui mettent toujours en avant la "maltraitance" liée au statut de l'animal asservi à l'homme .

Moi je philosophe moins...

le cheval: la plus belle conquête de l'homme...

Votre remise en question quant à l'utilisation du cheval par l'homme est bien jolie mais alors il faudrait aussi "libérer, délivrer": les chats, les chiens, les poissons rouges, les vaches, les chèvres, les moutons.

Mais si on libère le monde animal, on mange quoi? Des végétaux, me direz vous. Mais pour produire des végétaux en quantité suffisante pour nourrir la planète (on se rappellera au passage que des gens meurent de faim à quelques pas de chacun de nous), il faut cultiver énormément de terres. Ce qui veut dire réduire les habitats naturels...

Comme depuis des millénaires, le terrain va au plus "fort", et le superprédateur c'est l'Homme. Et si une jour ce n'est plus l'Homme se sera une organisme plus fort et mieux adapté...mais sûrement pas le cheval!

C'est donc une remise en cause à toute petite échelle à mon sens.

En plus le retour à la vie sauvage, ça ne se fait pas comme ça à la "vas-y comme je te pousse".

Côté habitat on va être vite limité et puis bonjour le bazar quand votre cher équidé sera mangé par un loup ou un ours lui aussi réintroduit...

Qui dit que le cheval n'était pas voué à disparition si l'Homme n'avait eu l'idée un jour de grimper dessus...

Même s'ils ne sont pas libres, je pense que mes chevaux ne sont pas "malheureux", ils ont un habitat limité mais protégé des prédateurs, les soins qui permettent de leur assurer une durée de vie plus longue et bien plus confortable, de la nourriture, de l'eau et des semblables...Je pense que pour les herbivores qu'ils sont c'est déjà pas mal. Et ce même si j'ai l'extrême désobligeance de leur imposer ma présence et le fait de les monter.

réponse réfléchie Dee (je ne ferai pas le commentaire que tu attendais)

Dee....ils se nourrissent de quoi les herbivores qui servent de nourriture aux humains?
Et en plus, ils prennent de la place sur les terres cultivables....

C'est exactement ce qui me trotte dans la tête depuis un moment ...

Mon cheval est adorable, il accepte tout ce que je peux lui demander, ne m'a jamais virée, mais je me doute qu'il n'aime pas tout ce que je lui impose.

Donc depuis cette remise en question, je change peu à peu son mode de vie pour qu'il soit mieux dans ses sabots.

Déjà, je l'ai changé de pension : il vit désormais H24 au pré, en troupeau. Il a de quoi s'habiter, de l'herbe, du foin, de l'eau fraiche.
Avant, je faisais pas mal de plat et d'obstacle, mais il est vite lassé du plat, donc j'ai un peu abandonné ces deux disciplines pour faire principalement de l'extérieur car il adore aller dehors.
Ensuite, je montais déjà sans éperons et cravache, j'ai désormais aussi virer le mors pour le remplacer par un bitless. Il est tellement mieux comme ça !
La prochaine étape sera de le déferrer, l'automne prochain.

Je me dis que je m'impose déjà à lui comme cavalière, il faut qu'il puisse y trouver son compte.
Alors hors de question de le remettre dans un box, ces boîtes de 9 mètres carrés où il peut à peine se retourner, c'est quand même dur quand on y pense. On n'oserait pas imposer ça à nos chiens ou chats, alors pourquoi à nos chevaux ?
Si encore les boxes étaient plus grands, pourquoi pas l'y mettre ponctuellement, mais quand on y réfléchit, un espace de 9 mètres carrés pour une bestiole de 500kg voire plus, c'est un peu de la séquestration ...

Je ne jette pas la pierre aux proprios qui ont leur chevaux au box, le mien y a passé pas mal de temps, mais je pense que le pré est l'idéal quand le cheval peut y être adapté.

Pour en revenir au sujet d'origine, à savoir "l'équitation est-elle une forme de maltraitance", je dirais que ça dépend comment elle est pratiquée.

Quand je vois des chevaux saucissonnés, le blanc de l'oeil qui ressort, les traces d'éperons dans les flancs, les coups de cravache qui claquent à en laisser des traces dès qu'ils ne font pas ce que leur cavalier leur ordonne, oui, selon moi, c'est de la maltraitance.

pour moi, on peut parler de maltraitance quand on n'écoute plus le cheval

on ne le dira jamais assez "l'équitation, le seul sport individuel qui se pratique à deux"

si mon cheval va mal, je vais mal

à partir du moment où on écoute son cheval, qu'on ne fait pas passer ses petits plaisirs personnels avant l'envie de paix voir le ras le bol de son cheval, alors tout va bien

par exemple, si un jour j'ai décidé de monter mais que je vois que mon cheval est pas d'humeur, je lelaisse en paix au ppaddock, je l'emmène brouter, je m'occupe de lui ou on fait une petite balade au pas.

je fais passer son moral avant mes envies.
et jusqu'à maintenant, il ne m'a jamais montré de signe de déprime ou d'envie de retrouver ses instincts sauvages

pour prendre l'exemple de mon chat
né de parents sauvages, il aurait dû avoir une vie sauvage également
sauf que je suis tombée dessus à l'âge de 1 mois, sa mère le nourrissait plus, je l'ai récupéré

quand je vois qu'il fait le double de ses frères, il est nourrit, soigné, il accourt quand il me voit, il sort et rentre quand il veut
franchement, il est pas libre et sauvage, il doit se soumettre à bon nombre de câlins et gratouilles
mais quand je le vois dormir sur mes genoux en ce moment, ronflant et la langue qui dépasse, je me dis qu'il est pas forcément plus malheureux que dehors, affamé et infesté de vers ^^m'enfin bon, jsui pas dans sa tête hein ! ptet que jme trompe

Je pense un peu la même chose que Dee. Le problème c'est que le cheval sauvage ça n'existe plus.

Il ne faut pas se voiler la face. Tous nos chevaux sont issus de croisement et d'une sélection sur leur docilité puis leur capacité physique. Ces croisement ont leur avantages : cheval montable, saute plus haut, plus belles allures, plus endurants... et des désavantages : instinct naturelle érodé voir supprimer, résistance aux maladies moindre.

Un cheval tel que nous le connaissons actuellement ne pourrais pas survivre en liberté totale. Ou pas longtemps. Libère un cheval il sera perdu. Certes, quelque réserve de chevaux sauvages existent mais je ne suis pas certaines que les individus vive aussi bien (risque de mortalité du poulain, du manque de nourriture en hiver...) et aussi vieux que nos chevaux.

Alors est-ce que monté est une maltraitance. Non pas plus que ça. Nous avons changé une espèce dans ce but maintenant c'est comme "inscrit" dans sa génétique. Leur survie est même dû à notre présence en quelque sorte (même si là je suis un peu extrême dans mon propos). Abandonne un cheval dans son pré il sera en totale liberté ou presque (considérons le pré comme assez grand quand même). Il ne sera pas forcément bien.

Après lui donner les meilleures conditions de vie possible selon ses besoins ça me semble évident. Il ne faut pas les blasé ni les maltraités. Mais les chevaux que nous possédons ne peuvent pas exister sans l'homme.

Oui, sujet très intéressant mais compliqué ^^ Un vrai sujet de philo x)

Parler de l'équitation comme une forme de maltraitance aujourd'hui me paraît un peu "fort" sauf quand il n'y a plus le respect de l'animal évidement. Et bon, je n'ai pas vécu à ces époques mais pour le peu qu'on nous montre, raconte... Il faut se dire qu'en tout premier lieu, le cheval était chassé pour sa viande jusqu'au jour où un neurone s'est dit : "Tiens mais si je grimpais sur son dos au fait ! Ca serait bien pratique pour me déplacer plus vite. Puis tiens, avec sa force, il m'aidera à cultiver mes champs et puis, si je le dresse d'une telle manière, il pourra me servir d'arme pour combattre mes ennemis ou alors dans une toute autre attitude, me permettra de rassembler mes troupeaux...". Bref, en ces temps là, les chevaux étaient plus que sollicités, exploités et ne devaient pas être bien chouchoutés à quelques exceptions près

Maintenant, on fait de plus en plus attention à l'animal et à la relation que l'on peut avoir avec lui. On prend plus en compte son bien-être. C'est une très bonne chose Et comme ça a été dit, je trouve que c'est donnant-donnant. On pratique l'équitation pour se faire plaisir ou montrer ses talents en la matière et en contre-partie, on s'occupe du cheval comme il se doit. Ca me semble juste.

Donc pour moi, il n'y a pas maltraitance tant que l'animal est respecté, écouté et compris autant physiquement que mentalement, d'où la nécessité de bien le connaître pour essayer de lui nuire le moins possible et s'adapter à lui.

Et tout ça me fait penser à ce commentaire que j'ai lu sur un réseau social. Une simple question. Je cite : "Quand est-ce que les cavaliers comprendront qu'ils n'aiment pas les chevaux ?". Ca me laisse aussi perplexe

Nos chevaux sont des sportifs, je trouve qu'il est intéressant de comparer les chevaux à des enfants sur tous les points.

Déjà il est important d'écouter l'enfant/cheval sur ce qu'il aime faire, pour moi obliger le cheval à sauter 160 en puissance, alors qu'il n'en a pas envie c'est aussi inintéressant, abrutissant et blasant, que de forcer l'enfant à etre le meilleur au football, et etre sur son dos sans relache alors que celui ci préfèrerait jouer pépère avec ses copains.

Mais je trouve ça bien pour que l'enfant se dépense, de l'encourager à jouer avec ses copains, fait de façon ludique et pédagogique, et écouter l'enfant afin de connaitre ses limites. De meme pour le cheval, il est intéressant de l'encourager à faire de tout, à petite dose et éventuellement plus loin si celui en ait capable physiquement et mentalement.

Mon poney par exemple je ne l'oblige à rien mais dans la limite du possible, c'est à dire que je monte dessus, mais je ne lui colle pas d'enrenement, je saute avec, mais je fais très gaffe à ne jamais franchir la limite, si un jour il venait à me dire m*rde je passerais un cran en dessous.

De toute façon le monde est comme ça, on a tous des obligations, plus personne est libre, meme les animaux sauvages sont limités d'espace, l'homme a refait le monde, lui meme n'est plus libre, c'est comme ça, l'important c'est que si on est propriétaire de n'importe quel animal qu'il soit, c'est de s'en occupé pour que celui ci soit au mieux possible et qu'ils ne subissent pas ses obligations mais qu'il le fasse avec plaisir.

C'est exactement le même style que j'ai eu sur youtube, je vais cité ce qui a été dit en commentaire :

"Soyons cohérents et allons au bout de cette logique : l'irrespect envers les chevaux, ça commence avec le dressage et l'équitation. Interdisons donc toute utilisation du cheval pour notre plaisir, et libérons les chevaux en les remettant dans la Nature !"

Voici la base de mon sujet, ce commentaire m'a vraiment pertubée.
Après, je tiens à me dire... On travaille autant qu'eux.. L'équitation en elle-même, je veux dire, on est nous aussi essouflée après plusieurs foulées de galop, alors que soit-disant nous faisant que " nous asseoir !".
On risque nos vie, tout comme eux se donne à fond, sans broncher... Si il le faisait pas par plaisir.. Pourquoi le ferait-il ?
J'ai lu également des posts dans lesquels certaines personnes disent que le cheval " ne nous aime pas" mais nous considère comme " du confort". Personnellement je suis d'accord sans l'être. On ne le met pas toujours dans des situations confortables, et c'est pas pour autant qu'il nous jette de son dos, de plus, un chien, un chat, un oiseau peu importe, ils nous aiment certe en premier lieu car pour eux nous sommes " dieu" de la nourriture et du confort, mais un chien, un chat...Qui vient vers nous, demander des grattouilles, des calins, on va me dire, oui c'est pour le confort encore une fois ! Mais quand je vois mon chat sur coucher sur moi, je ne le touche pas, il est pas bien installé, il a les pattes qui tombe sur le coté, la tête dans le vide, alors qu'a coté y'a quand même le canapé, c'est bien pour ma présence, être prêt de moi, au bout de 10 minutes sans papouille, il devrait se barrer en mode : Ouai bon pas de calin ça me soule...
Je suis partagé sur cette idée "d'amour" envers nous.

Après il est clair et net, que le confort vient se mettre dedant mais bon !

C'est pareil une amie qui deteste l'équitation, me dit :
Entre manger du cheval et faire du cheval, y'a pas de différence.

Mais justement, ça c'est pas recevable du tout : si on arrêtait de nourrir les animaux que nous mangeons, on pourrait sans souci nourrir la planète entière juste avec les végétaux !

Si on mangeait tous des végétaux, on pourrait au contraire réduire la surface de terres cultivées.


Sinon ... Bof, moi je ne pense pas qu'on puisse parler de maltraitance.
Quand je vois mon cheval venir me voir, me suivre en liberté/jouer avec moi alors qu'il a des hectares et des copains, je me dis que je ne suis pas si méchante que ça.
Je ne lui impose pas grand-chose : si jamais il est de méchante humeur/vraiment fatigué, je change mes plans et ne monte pas.

J'évite de me battre avec lui, même si j'y suis parfois contrainte selon les situations.

Je ne pense que le remettre à sa vie de base soit la meilleure solution. Le cheval s'est tout de même très bien acclimaté aux humains, il est suffisamment docile pour qu'on en fasse presque ce que l'on veut.
On commence à les écouter, à les respecter, c'est déjà très bien.

Maltraitance ? Non, je ne pense pas. Pas lorsqu'on respecte au moins deux de ses besoins fondamentaux : l'espace et la proximité de congénères.

Et puis je vais donner un exemple très très bete, mon poney vit en box paddock la journée, je l'ai envoyé au pré en vacances, à la base il devait etre au pré 24/24, sauf que dès le premier jour, il voulait rentrer au box à 19h, car il aime son confort, il a meme sauté le pré et attendu devant la porte du box un soir.

Certains qui défendent le pré 24/24 vont trouver cette situation triste, car il y a une part de dénaturation, mais ça n'empeche pas que maintenant si je le mets en liberté sauvage à 100%, il ne serait pas plus heureux qu'aujourd'hui c'est certain, j'en suis persuadée, meme avec un temps d'adaptation, parce qu'il n'a connu que cette vie… Et nos chevaux n'ont connu que la vie qu'on leur offre, donc au final, est ce qu'ils sont capable d'espérer mieux…?

Je me suis longtemps posé cette question aussi.

Je crois qu'à part les cas extrêmes où là c'est évident que c'est de la maltraitance c'est du de répondre à ça car ça remet en question plein de choses et pas que l'équitation.
Certes comme certains l'ont dit on offre au cheval : soins, nourriture, sécurité, eau, ..et on leur monte dessus. Pour les chiens et autres animaux au fond c'est similaire : on leur offre la même chose et on les "utilise" (je déteste ce mot ^^) à des fins de plaisir personnel, de protection, de loisir . Au fond on les prive de leur mot à dire et de leur liberté (pas pour tout mais pour beaucoup de chose) et c'est contre nature. MAIS si on regarde la société humaine c'est pas si différent on n'a pas toujours notre mot à dire ni notre liberté, on est quelque part forcé de travailler, d'être enfermé dans des bureaux ou aillleurs c'est aussi contre nature..mais en échange notre société marche plus au moins bien on a des médecins lorsqu'on est malade, des supermachés ou des agriculteurs qui nous fournissent en nourriture, des policiers qui nous protègent. Est-ce qu'on serait mieux en pleine nature, en pleine liberté et dénué de toutes contraintes ? je ne suis pas sûre pareil pour les animaux

Bien sûr, il existe des pratiques dans l’équitation qui sont clairement de la maltraitance comme par exemple le rodéo, l’hyperflexion où le fait de punir un cheval quand il a peur d’une chose qu’on ne voit pas... Cependant, le cheval, comme tout les animaux à besoin d’activité physique et de stimulations mentales pour être bien dans sa tête et dans son corps. Laisser un cheval au pré 24h/24 sans jamais l’en sortir, c’est l’exposer à des problèmes de santé et de comportement. Les chevaux ont besoin qu’on leur fasse faire des activités pour leur bien-être physique et mental. Ça peut être du travail à pied, de la balade, de l’obstacle, du dressage, du western, des courses, de l’attelage... tout dépend des goûts de chaque cheval. Si on ne force pas le cheval à travailler quand il n’en a pas envie, qu’on le désensibilise à un maximum de choses et qu’on accepter d’arrêter un exercice si on voit que le cheval en a marre, alors, il n’y a aucune raison pour que celui-ci vive mal le travail, quel qu’il soit. Contrairement à certaines idées reçues, le mors, les enrênements et les éperons ne sont pas nécessairement mauvais pour le cheval : les mors à simple brisure, chantilly, verdun, à olives où aiguilles ne cause aucune douleur ou inconfort au cheval, à condition qu’on ne force pas celui-ci à en porter si il ne veut pas et qu’on ait un contact très léger avec la bouche. Les enrênements comme la martingale à anneaux et le gogue commandé sont utiles pour que le cheval se tienne dans une position qui préserve son dos quand il est monté par un cavalier débutant, trop inexpérimenté pour demander tout seul une bonne position au cheval. Quand aux éperons, quand ils sont utilisés pour avoir plus de précisions lors d’une jambe isolée et pas pour forcer le cheval à accélérer, alors ils ne pose aucun problème. Ces outils-là ne sont PAS mauvais pour le bien-être du cheval quand ils sont correctement utilisés. En revanche, d’autres outils comme la cravache, les enrênements fixes, les mors releveurs où les gourmettes sont inévitablement néfastes, quelque soit l’utilisation qu’on en fait. De manière globale, on observe que tous les chevaux qui vivent dans de bonnes conditions (au moins 12h au pré, pas de cravache, des mors doux, beaucoup de désensibilisation, pas de forcing quand ils ne veulent pas faire...etc) ne montrent aucun signe de stress ou d’agacement au travail, mais plutôt des signes de détente et de plaisir. Pour moi, ces observations suffisent à conclure que NON l’équitation n’est pas de la maltraitance quand elle est bien pratiquée. Et si ces arguments ne suffisent pas, et bien il suffit de poser la question à un vétérinaire où à un comportementaliste spécialisé dans les chevaux et ils vous confirmeront que l’équitation bien pratiqué n’a aucune conséquence néfaste sur le bien-être physique ou mental du cheval, et sont même plutôt bénefiques.