Bonsoir tout le monde (ou bonjour, vu l'heure, je ne sais plus trop).
J'ai reçu aujourd'hui les résultats de la coprologie de mes chevaux, et l'un des deux présente 470 oeufs/gramme de strongles. Aucune précision sur le type de strongles, je compte téléphoner au laboratoire tout à l'heure pour en savoir plus.
Toutefois, je me pose la question de la molécule à privilégier dans le cas d'une infestation :
l'Ivermectine étant la plus souvent utilisée dans les vermifuges, n'y a-t-il pas une résistance qui s'est développée au fil des années ? En fait, je repense à ce qu'un vétérinaire m'avait dit dans un autre contexte, à propos des puces sur les chiens et chats devenues résistantes au Frontline (mais qui capitulent devant le Stronghold). Cette résistance est-elle possible sur les vers intestinaux chez le cheval ? L'Ivermectine, utilisée pratiquement dans 100% des cas, serait-elle encore efficace à 100% ?
Je me demande si je ne devrais pas me tourner vers Equest qui propose la molécule
Moxidectine, que je n'ai jusqu'à présent jamais utilisée.
Est-ce que l'efficacité serait optimale pour l'organisme face à une molécule qui n'a pas encore été ingérée ?
Voilà, ma question peut sembler simpliste, voire carrément à côté de la plaque. Au pire, je me cacherai derrière le prétexte de l'heure matinale
Il a été principalement traité aux vers avec de l'ivermectine, et ce printemps il a reçu de l'Eqvalan. Je pense me tourner vers Equest, et une deuxième copro sera refaite sous une quinzaine de jours 
