Bonsoir C.A !
Ca fait déjà quelques années que je suis inscrite et que je vous fait part de mes doutes quand j'en ai a propos de "mon ptit frère" ; Bambou, âne du cotentin de 13 ans maintenant.
Eeeeet vous allez commencer à en avoir marre de moi, mais voici un update de notre aventure !
Pour (re) planter le décors :
Bambou est notre âne depuis 12 ans. Il à eu quelques copains équins dans sa vie, mais il à été majoritairement seul, à mon grand regret depuis toute petite. (Mais bon c'est mon père qui s'en occupe au quotidien et qui paye tout les frais, je n'ai pas mon mot à dire). Bambou est dans un nouveau pré depuis 4 ans environs, et n'a plus de copains :
- Par ce qu'un autre équidé ça coûte trop cher
- Par ce qu'il s'est déjà échappé dans un autre pré et que mon père à peur qu'ils s'échappent à deux et causent un accident
- Par ce que le pré ET le foin nous sont prêtés gratuitement par les voisins, et que ça serait abuser de leur gentillesse
- Par ce qu'il y à deux chèvres dans le pré et que le pré est entouré de voisins qui câlinent Bambou, et que "Il ne s'ennuie pas" ...
Bref, le weekend dernier, un "miracle" semble être arrivé, des voisins à nous (rayon de 1 km) ont acheté une ânesse ! De ce que j'ai entendu (et je connais pas mal mon hameau donc le contraire m'étonnerait, il y à de fortes chances pour que l'ânesse soit seule au pré)
Nous l'avons croisée alors qu'ils se baladaient, mais Bambou lui à fait peur, elle à l'air toute jeune, son regard m'a fait énormement de peine quand l'ânesse est partie, l'air de dire, "enfin un âne, et il s'en va", il était tout perturbé...
J'ai à la fois l'impression d'être la seule qui comprend l'importance de mettre les ânes à plusieurs et à la fois l'impression d'être la méchante qui veut déranger les habitudes alors que tout semble si parfait
Comment je pourrais aller voir les proprios de l'ânesse à qui je n'ai jamais parlé pour discuter d'une éventuelle coloc de pré ? Sachant qu'il faut aussi que j'en parles à mes voisins par ce que si je ramène Bambou parfois chez eux, il faudrait que l'ânesse vienne parfois chez nous, et je ne veux pas comme je disais abuser de leur gentillesse. Mon père semble plutôt d'accord bien que nous n'en aillons pas encore discuté sérieusement, je le revois ce week-end.