Mn / mm / iaf / iac, que choisir ?

kim81 la saillie n'est qu'une infime partie des frais à prévoir pour la reproduction et mener à bien un poulain jusqu'à 3 ans.
Je m'inquiète donc que tu te pose la question pour une raison de coût juste pour le mode de reproduction.
Et surtout, plus qu'une histoire de coût, le choix du mode de reproduction dépend en premier lieu de ta jument et de l'étalon choisi. C'est donc au cas par cas loin devant une problématique financière qui de toute façon, pour une même gamme d'etalons, d'un mode à l'autre, ne change pas fondamentalement le coût total.

Tu n'as pas compris ma question, c'est dommage.

Quelqu'un peut fermer le sujet s'il le veut car je sais pas faire, merci

J'allais répondre exactement la même chose qu'ecuriessaglini. Peut être devrais tu reformuler ta question... Tu veux dire que tu as choisi l'étalon et que tu as le choix entre mn à 250 km ou iac à côté de chez toi?
La question n'est pas bête mais il faut que tu nous expliques un peu plus...

jamin et ne pas l'aborder que sous l'angle du coût...

250Km cela fait qu'en meme beaucoup. Et ne permet pas de verifier que la jument va bien. Certes personnes ont bien des surprise lorsqu'ils recuperent leur jument.
Sauf si croisement vraiment voulue avec cet etalon et qu'il n'est pas disponible en iaf/iac, j'etudierais la possibilité. MAis sinon j'irais plutot en IAF/IAC.

C'est d'ailleur ce que je vais faire avec ma jument Shagya cette anné. Tout les etalons de race sont loin. Enfin trop loin pour venir verifier l'etat de la jument au moins toutes les semaines. Du coup j'ai opté pour un etalon en IAC. Cela aurait pu etre en IAF si l'etalon choisit etait dispo que comme cela. Le centre d'insimination ou elle va aller est a 20min de la maison. Ce qui me rassure grandement. Sans compter qu'avec un trajet long, si la jument a tendance á stresser durant les voyage, il y a risque de perte de l'embryon au retour.

Pour les frais cela depant vraiment. Sans donner le prix en IAC dans mon cas j'aurais: le prix de la semence, le prix de transport de la semence, le prix de la pension au centre d'insemintation, les frais technique d'insemination, le prix du suivit veterinaire sur place (la elle va le veto propose un forfait mais a cela peut s'ajouter celui des medicaments si besoin). Une fois rentré a la pension, il y aura aussi les frais de l'echo de control la faite par mon véto habituel.

Le mien est que tu contactes le/les centre(s) d'inéimination proche de chez afin de connaitre les prix. N'hesite pas a leur demander aussi s'ils ont les prix du véto qui fait le suivit.

Il ne faut pas raisonner ainsi si vous souhaitez mettre une jument à la saillie.
On choisit d'abord un étalon en fonction de la jument, de l'étalon et des lignées des deux. Histoire de ne pas faire naître n'importe quoi. On a parfois envie de pleurer quand on voit ce que certains produisent, notamment des poulains contrefaits, qui cumulent les défauts d'aplombs, les dos longs comme des autobus, etc...
Et, de mon point de vue, on choisit aussi l'étalonnier et les pros avec lesquels on bosse.
La monte en main, j'ai fait une fois. Avec succès et j'en suis satisfaite. Mais, j'ai aussi vu des juments (pas les miennes) violentées chez d'autres pro.
Malgré cette expérience positive pour moi, je privilégie l'IAF. Parce que les étalons qui m'intéressent et que j'utilise sont disponibles ainsi. C'est ma véto qui s'en charge et le prélèvement est fait au centre de Villeréal. Que des pros qui connaissent leur boulot et dont je sais que tout sera parfaitement bien fait.

Quant à la liste des frais... Prendre la décision de faire naître, ce n'est pas seulement payer une saillie. Prévoyez les tests sanitaires, la pension (les juments ne prennent pas forcément du 1er coup et il faut parfois plusieurs sauts), le suivi de gestation avec échographie (qui ne permettent pas seulement de vérifier qu'une jument est pleine, il faut aussi vérifier qu'il n'y ait pas de gestation gémellaire, par exemple). Selon la morphologie de la jument, il faudra peut-être la coudre (et donc la découdre...).
Bref, on n'est pas dans la science exacte, tant pour ce que l'on va faire naître que pour ce que cela va nous coûter.