Oh, je ne vais répondre que très partiellement à vos questions, juste ma petite expérience.
Voyage en avion, ayant participé comme véto accompagnateur à plusieurs reprises lors de vols, j’ai toujours été agréablement par l’attitude des chevaux. Je n’ai jamais prescrit ou administré quoique ce soit avant ou durant le voyage. Même lors de vol de longue durée 11 heures (Schiphol – Utrecht – Los Angeles 1984), les chevaux sont calmes, parfois un trou d’air peut les faire sursauter l’espace de quelques instants, les palefreniers et moi-même arrivaient à leur faire reprendre confiance. Oui, accompagner les chevaux étaient du ressort des palefreniers et du vétérinaire, de nos jours, si je suis bien informé, les compagnies ont leur personnel et leur vétérinaire.
Seuls moments délicats sont lors des phases d’atterrissages selon les pistes et leur taux d’occupations, freinage brutal et virage, mais pas plus de soucis qu’un giratoire négocié trop vite.
Le plus « pénible » sont certes les tracasseries des fois interminables sur le tarmac… débarquement, le pire souvenir 8 heures à l’aéroport de Lisbonne, interdiction de descendre de l’avion, c’était un vol Genève Lisbonne…contrôle des papiers et selon les destinations les contrôles sanitaires suivis d’une mise en quarantaine.