Malgré ma désaffection pour le monde du cheval, j'ai toujours à charge ma première ponette qui a eu 29 cette année et qui certes si elle est un peu fatiguée , garde le moral et l'appétit.
Dans l'obligation de quitter la pension où elle était alors ( suite départ de la personne qui s'occupait de ma bête) on me recommande une petite structure de particulier , la personne voulant financer sa passion en mêlant l'utile à l'agréable.
Il y aura sur le site 2 chevaux sur 1 hectare, a partir de septembre un paddock stabilisé ouvert , nourriture et boxe la nuit.
Le tarif est correct 200 euros par mois , les gesn ont l'air gentil et sérieux et le fait que je ne puisse venir que de très rares fois ne dérangent pas.
Je demande à ce que l'on m'informe de toute action sur la jument .
Je la dépose donc le 1er juillet
La voici en juin .
Je n'ai pas pu aller la voir durant 3 mois mais me tenait informé.
Bon c'est vrai que j'avais un rappel surtout quand mon chèque était long à arriver mais j'en profitais pour en prendre.
Ca allait bien à priori elle se plaisait , mangeait bien son foin ( ma foi , c'est vrai qu'elle ne mangeait pas celui dans l'autre pension mais tant mieux) et s'entendait à merveille avec le cheval sur place.
Il y a une semaine du temps se libère et je me dis que cette fois je vais aller déposer un cheque en main propre et en profiter pour aller voir ma jument .
Je préviens donc la personne
" Oui euh, je sais pas si elle a maigri, je la vois tout les jours"
Voilà qui me mets mal à l'aise cash
Ils sont 4 dans la pature ( et manquait son cheval perso donc 5)
J'arrive à la pension, et de loin je vois ma ponette cadavérique.
Je ne laisse rien transparaitre sur le coup et rentre chez moi pour chercher une solution qui est trouvé qq jours plus tard une amie la récupère dans son club.
Je vous laisse constater les dégats.
La jument a recommencé à s'alimenter doucement et le moral est là mais une chose est sûre PLUS JAMAIS chez un particulier
les photos sont avantageuse , elle parait 100kg de plus dessus j'en posterai d'autres ce soir sachant que son état s'est arrangé.
Je vous laisse juge
.
Oh bon sang ! Je n'ai pas de mots. 
