| | | soffad a écrit le 02/07/2009 à 17h49: | 
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 C'est uniquement la conséquence de la hauteur de l'obstacle a franchir...Dans les derniers obstacles nous sommes autour de 1m45 et le cheval a besoin de davantage de "vitesse" (vitesse entre guillemet) davantage "d'élan" mais sans que le cheval reporte du poids sur les épaules
 
 Au début, le cavalier amène le cheval en foulées "décroissantes" (il réduit l'amplitude des foulées au fur et a mesure de l'approche de l'obstacle tout en demandant un engagement maxi)
 Plus ça monte, plus le cavalier joue sur l'élan (pour aider le cheval) et demande des foulées "croissantes" (il augmente l'amplitude des foulées...)
 
 Toute la difficulté d'arriver "en foulées croissantes" c'est de conserver l'équilibrage et l'engagement du cheval dans la battue d'appel sans TENIR  le cheval, sans qu'il S'APPUIE en simplement le GARDER dans son équilibrage...
 
 Plus facile a dire qu'a faire !!!
 
 J'espère avoir été compréhensible...pas facile a expliquer par l'intermédiaire du clavier...
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Pour répondre a BABAR, j'ai oublié de mentionner que quand on arrive en "décroissante" dans la battue d'appel c'est qu'on a au préalable demandé un allongement de quelques foulées...
On "laisse passer" le cheval en ouvrant les doigts 
sans qu'il y ait repord de poids sur l'avant et on reprend 
par ouvertures et fermetures des doigts  sur le rênes afin qu'il n'y ait 
aucun appui de la part du cheval...
Tres important !