Bonjour à toutes et tous.
Je me remets à l'équitation depuis quelques mois.
J'ai eu mon poney pendant 25 ans, j'ai dû le faire euthanasier suite à maladie à l'automne 2013. J'avais tout arrêté. Pas l'envie de reprendre en centre équestre, pas le temps de reprendre un autre cheval.
Le problème avec la drogue s'est qu'une fois qu'on a arrêté il ne faudrait jamais reprendre

. J'ai repris

.
J'ai un peut tâtonné au début. Essayé un centre équestre, puis un autre. Je n'avais pas vraiment de rythme, je voulais faire un cours par ci par là, mais la distance et/ ou les horaires ne convenaient pas parfaitement
En parallèle je cherchais toujours une demi-pension. Mais pas grand chose par chez moi, et encore moins lorsque l'on annonce qu'on veut se remettre à cheval après plusieurs années d'interruptions et qu'on a aucun galop sur son CV .
Je finis par tomber sur une annonce d'une personne ayant ses chevaux / poneys et qui cherche quelqu'un pour l'accompagner le samedi en balade en sortant un de ses poneys. Ca me convient. En plus l'animal est réputé calme (ça se confirme) et sans peur. Ce qu'il me faut pour reprendre en regagnant en confiance en extérieur. Mon poney était très "sur l'œil", les voitures c'était compliqué, les tracteurs et les motos, encore pire. Et cela ne s'améliorait pas en vieillissant. Malgré tout je ne faisais que de la balade avec lui (dans son jeune temps j'avais même fait 9 jours de randonnée, mais c'était dans une autre vie!)
Bref, la drogue agit de plus en plus, la dose du samedi ne suffit plus .
C'est décidé , je m'inscris dans un centre équestre. Une éternité que je n'ai pas monté de façon "traditionnelle", j'ai d'une façon générale très peu fréquenté de centre équestre. Un premier cours individuel pour évaluer mon niveau, et dès le premier cours collectif me voici en obstacle (bas, facile, mais tout de même c'est ce que j'ai le moins pratiqué). J'ai eu chaud , très chaud, mais il faut reconnaitre que la drogue malgré le long arrêt n'a pas effacé toute ses traces de mon organisme....
Désolée pour ce premier pavé