Poney-club : vos meilleurs souvenirs

cataclope tu es inspiree en ce moment


On ramenait les poneys a cru et en licol dans des prés tres eloignes, entre copines sans la monitrice. La monitrice venait nous chercher avec son vieux 4x4 sur les chemins tout cabosses, on devait etre parfois 7 dans le mini 4x4, on en rigole encore en se disant qu'a l'epoque c'etait quand meme bien plus roots

Et vers 16 / 17 ans on etait autorisees a sortir les chevaux en balade sans monitrice, juste entre copines, parfois meme on montait le cheval de la monitrice, vieux mais avec une peche d'enfer !
L'ete aussi on emmenait parfois les touristes en balade.

Completement inconscient mais ca me fait encore sourire d'y penser

mambo5

Mais c'est génial, ça doit te faire pleins de souvenirs ! Nous c'est sûr qu'il aurait été impossible de sortir en balade seul(e)s en étant mineur(e)s.

Après le galop 3, on allait sauter des petits fossés dans les champs aux alentours du club, ça changeait un peu, c'était chouette, et je garde un très bon souvenir de ma première monitrice tellement gentille. C'est simple j'ai arrêté le club et je suis passée à la ferme équestre quand il a fallu passer dans le groupe des meilleurs car le moniteur était infect, il aimait humilier ses élèves

On amenait aussi les chevaux dans un pré un peu plus éloigné, à cru, une fois par an

J'ai aussi perdu une de mes boots dans la boue en ramenant un cheval au pré, elle a carrément disparue, je me souviens être rentrée en chaussettes toute penaude après avoir passé un temps fou à essayer de la retrouver

lasscalto Oh la boots ! Je crois que ça nous est déjà tous arrivé, surtout quand ça s’enfonce un peu trop et que le mélange boue + eau + crottins y rentre dedans.

Ah, ça les moniteurs… autant ça peut être génial quand on tombe sur un pédagogue ou sympa, autant quand ça ne match pas et qu’il faut finir l’année… Pas cool par contre de rabaisser. C'est contre les valeurs du sport.

J'ai commencé l'équitation en 1998, ma mono, avec qui je suis toujours en contact car c'est ma maman du poney <3 , elle habitait aux écuries, pendant les stages, on faisait des crêpes avec elle !

J'ai une tonne de super souvenirs !

Mon premier stage, avec mon meilleur ami, on s'amusait à traverser le gué, bien rempli évidemment, mais comme j'étais plus petite que lui, je me suis retrouvée avec de l'eau dans les bottes !

Toute une après midi avec les pieds dans la flotte XD je m'étais faite engueuler par ma mono qui avait peur que je choppe la crève et mon pote s'était bien moqué de moi !


Les veilles de concours avec toute l'équipe, on préparait ensemble, soirée pyjama, un super groupe soudé, des copines pour la vie !! On est globalement toute encore en contact

Nous avons perdu en décembre l'une des notres suite à un accident de la route...

Tous les souvenirs qui sont revenus, tout notre amour pour les unes les autres

Le poney club ce sont des amitiés qui durent !

leif Roh, mais c’est génial d’être resté en contact avec elle !

N'ayant jamais participé à un concours, je n’ai pas connu cette sensation, mais ça devait être super !

Je n’y avais pas pensé, mais ceux qui ont des photos, n’hésitez pas à partager si ça vous dit.

Quand j'essaie de penser à un seul souvenir un peu nostalgique de poney club, je crois que ce sont les stages d'hiver ! Mes parents m'en offraient de temps en temps petite, et là j'ai un souvenir qui pop, je devais être en primaire/début collège, les sols étaient gelés, ça neigeotait à moitié, le midi on se réchauffait au club house avec un feu de cheminée, on préparait en parallèle un spectacle de noël.. magique

Bonjour, ha les souvenirs de club..

J'ai commencé l'équitation à l'âge de 6 ans dans un club hippique qui n'avait que des chevaux au début.

Le premier cheval que j'ai monté s'appelait Venitien, grand Selle Français de 1m80, un amour de cheval ancienne bête de concours CSO avant un grave accident, transformé en prom prom pour les débutants, mes pieds ne dépassaient pas des quartiers sur la selle.

Autre souvenir : Hermes : petit cheval spécialiste des coups de cul, il en mettait par terre des cavalier(e)s, et un jour, on nous annonce : cours à cru, tu montes Hermes, j'ai cru que mon dernier jour arrivait, mais il a dû trouver trop facile de me mettre par terre, alors pas un seul coup de cul..

Et quand les premiers poneys sont arrivés au club, non débourrés, nous (on était une bande de jeunes ado qui trainaient tous les jours aux écuries) avons eu le privilège de faire le sac à patate puis de monter sur ces poneys en cours de débourrage. Ma plus belle chute s'est faite sur le dos d'un shet qui n'a eu qu'à baisser la tête pour que je me retrouve par terre..

Bon, il y a aussi des mauvais souvenirs (notamment sur les conditions de vie des chevaux dont je me suis rendue compte à l'adolescence) mais ce n'est pas le sujet ici..

pamplemoussa Roh génial ça ! C’est vrai qu’on parle beaucoup des stages d’été, mais l’hiver c’est quelque chose aussi. Tu viens de me refaire penser à un souvenir. Dans le deuxième club où j’étais, il avait énormément neigé. Le cours n’était pas maintenu, sauf pour ceux qui pouvaient/voulaient venir.

Avec mon amie, on y est quand même allées et, au final, on était quatre : elle et moi, une autre fille du cours et notre moniteur. On est sortis en balade en forêt, et j’avais pu monter mon chouchou de l’époque.

C’était vraiment top.

mariane Ça devait être quelque chose, 6 ans sur un géant comme ça ! Tu dois en avoir de sacrés souvenirs...

C’est marrant, parce que ça m’est arrivé plusieurs fois aussi : je montais tel poney que tout le monde décrivait comme la “bête noire” et, au final, tout se passait bien. Parfois même, c’était l’inverse de ce qu’on m’avait décrit ! Comme quoi, eux aussi ont leurs chouchous.

C’est chouette d’avoir pu participer à des débourrages, c’est une sacrée expérience !

Ah ça… c’est souvent le cas, même si certains clubs restent bien. Dans le deuxième club où je suis restée un an avec une amie, les chevaux étaient h24 en box, à deux par box, toute l’année sauf l’été. Ils enchaînaient les reprises, surtout pendant les vacances... Évidemment, on s’en rend compte bien plus tard.