les histoires sur la création et le dévelopement de la race PRE sont multiples, par contre il est incontestable que sa morphologie était déja très proche de celle d’aujourd’hui avant 2000 ans.
L’influence des chevaux des maures n’étaient pas si important qu’on peut penser. Au contraire, il est certifié que quand les maures arrivâmes sur le sol espagnol, ils n’avaient pas beaucoup de chevaux avec eux. Les soldats à pieds ont pris des chevaux espagnols en force et ont ainsi fait de leur armée , une cavalerie. Dans des documentations il est noté que les maures étaient impressionnés par la qualité des chevaux espagnols et nombreux sont les étalons qui ont servit comme cadeaux pour les nobles en Afrique du Nord. Utilisé là-bas dans l’élevage, il est aussi à supposer que pendant l’occupation d’Espagne, qui a duré plusieurs siècles, un retour des chevaux Barbe x Espagnoles est plausible.
Il est plutôt faux de soupçonner une influence des chevaux arabe du désert, parce que les maures n’étaient pas des bédouins.
L’élevage des chevaux espagnols était en floraison au moyen age. Le cheval typique espagnole n’existait pas encore, car l’élevage à cette époque était pratiqué par beaucoup de familles de nobles, qui eux ont produit des chevaux d’après leur propre intuition. C’est de là , où certain noms sont devenus une vraie mine de référence sur la qualité d’un cheval. (les noms comme : Valenzuelas, Guzmanes et Zamoranos)
A cette époque commence aussi l’histoire des moines de « Cartujano ». Dans le 15ième, Don Alvaro Obertus de la Valeto était le grand parain des moines et à sa mort il laissa 40 km carré en héritage pour la « Cartuja de Jerez de la Frontera ». La date exacte quand les moines ont commencés d’élever des chevaux n’est pas certifié. Par contre dans certains documents il est à lire que les chevaux qui plus tard seront connus comme des « Cartujanos » avaient des origines des chevaux de la famille Zamoranos. Ca donne un sens à l’histoire, parce qu’en 1730 les moines ont confisqué l’élevage de Pedro Picado (il ne payait pas ses dettes), qui lui les avait pris en possession des frères Zamoranos.