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La gale d'été!!
Posté le 18/06/2008 à 14h32
yves11
Posté le 18/06/2008 à 14h32
Voila ce que j'ai trouvé sur l'Histoire du Derfen
En 2005, un jeune cheval développe une dermite estivale foudroyante. Ce frison de 3 ans, rêve d’enfant de sa propriétaire, perd sa crinière et les crins de sa queue en moins d’un mois. L’arrête du dos et le bas du ventre sont touchés, le cheval se gratte sans répit, arrachant tous les poils et se causant des plaies de plus en plus profondes. Rien à faire. La dermite estivale est connue depuis 20 ans comme allergie aux piqûres de cullicoides (petits moucherons) et aucun traitement n’existe pour au moins soulager l’animal. Le frison est cantonné au box, les parois sont molletonnées et il est enduit de crème pour bébé afin d’essayer de calmer les démangeaisons.
Sa propriétaire refuse de croire qu’au 21ème siècle, on ne peut venir à bout d’un urticaire géant et interroge tous les vétérinaires, médecins ou allergologues, achète tous les produits du marché. En vain. Elle décide alors de faire ses propres recherches, teste des recettes de grand-mère, se plonge dans les livres de plantes médicinales, consulte les sites Internet français et étrangers abordant les remèdes par les plantes. Elle met au point différents mélanges végétaux en les testant sur son cheval jour après jour. Chaque nouvelle formule est répertoriée, testée, commentée et progressivement, certains composants commencent à l’interpeller. 8 mois après ses premiers essais, elle met au point avec l'aide d'un pharmacien et d'un vétérinaire équin, un mélange utilisant des végétaux oubliés depuis plus d’un siècle, originaires de trois pays différents. Elle teste alors le cheval.
Immédiatement après l’application, celui-ci arrête de se gratter. Le lendemain, la peau est propre, les lésions cicatrisées et ce, en une journée. Au bout de 15 jours d’applications régulières, elle voit le poil repousser. Le cheval est mis au pré, il ne se gratte plus. La dermite est terminée. Une allergie ne se soignant pas, le produit est régulièrement appliqué sur le cheval, créant une protection extrêmement efficace.
Devant ces résultats spectaculaires, le club équestre hébergeant le cheval demande à traiter sa cavalerie. Sur les 40 équidés présents dans l’écurie, 17 sont atteints. En 1 mois, la totalité des chevaux testés ne présenteront plus aucune trace de dermite.
Peu de temps après, un autre centre équestre demande à participer aux tests. C’est à nouveau 30 chevaux qui recevront le soin, avec les mêmes résultats. Puis le bouche à oreille fait son effet. La demande s’accentue. 97 chevaux seront soulagés, plus de 150 sur les 2 saisons de test.
Devant cet engouement, la propriétaire s’organise pour en produire plus, et également protéger juridiquement le produit car le produit interpele et intrigue. Mais un avocat, c’est cher. Elle est envoyée chez celui d’un ami, pour conseil, un grand nom de la protection industrielle. Ce dernier trouve l’histoire extraordinaire et décide de la représenter gratuitement. Dans le même temps, la vente du produit doit se faire par Internet, car accessible au plus grand nombre. Une société de développement Internet est séduite par l’histoire et lui propose de l’accompagner dans ce projet un peu hors du commun.
La belle histoire continue : des professionnels du monde du cheval (maréchaux, grands noms du spectacle…) trouve le produit phénoménale et se propose de le recommander auprès de leur entourage et leurs clients. Une société de communication locale, passionnée par les chevaux est également séduite et rejoint l’aventure avec la même philosophie.
Une société, ANIMADERM, est alors créée pour lancer cette activité en accord avec les services fiscaux.
Elle utilise alors toutes ses économies pour protéger le produit et le nom (Derfen), organiser la production et passe un accord avec la poste pour les livraisons.
Le Derfen est né d’une histoire entre un cheval et sa propriétaire, et surtout d’un refus de fatalité. Il doit maintenant s’imposer dans le monde du cheval pour permettre à tous les chevaux atteints de cette pathologie de pouvoir à nouveau vivre libre car la dermite estivale (ou DERE) est un phénomène grandissant. Résultante d’une modification de l’environnement, des modifications alimentaires imposées par l’homme ? Impossible à prouver. Mais une chose est sure, les insectes responsables de cette allergie existent depuis des siècles et les chevaux s’en accommodaient jusqu’alors très bien. Aujourd’hui la progression des cas touchés est exponentielle.
Animaderm a trouvé dans les propriétés de certains végétaux tout ce que l’homme a finalement occulté : les bienfaits des produits naturels qui eux, ont su s’adapter à l’évolution de l’environnement à l’inverse des produits de synthèse qui n’évoluent pas. Ironie du sort : c’est le naturel qui l’emporte aujourd’hui.
Animaderm est avant tout une jeune entreprise qui est tout sauf une machine à vendre des produits factices dans un unique but d’enrichissement personnel. Ce produit mérite sa place dans les boites de pansage, et les premiers gagnants sont cette fois-ci... les chevaux…
C'est un peu long, désolé, mais tellement explicite que je n'ai pas voulu supprimer un seul mot !!!