zaza88 a écrit le 31/12/2012 à 17h44: |
|  | Quand on sait se servir d'un mors, il n'y en a ni doux, ni dur, ils sont "justes".
Par exemple je cherchais partout un mors Olive très fin, je n'en ai trouvé que sur internet parce que ce mors est "beaucoup trop dur". Oui, un mors Olive très fin c'est un mors "dur".
Je dirais que le Baucher, est un intermédiaire si on peut dire. Il est plus dur qu'un mors Verdun/Olive, plus doux qu'un Pessoa ou qu'un Pelham.
Pourquoi souhaiter ce mors? Pour obtenir quelle attitude, quelle réponse du cheval? |
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Merci de ta réponse.
Je montais jusqu'à présent mon cheval en mors à olives en résine. Ayant eu de gros soucis de nourriture et manque d'état dans mon ancienne pension, j'ai changé d'écurie pour une écurie où il a une meilleure nourriture, tout ce qu'il lui faut et du coup, retrouve le gaz naturel qu'il avait.
J'ai donc un cheval qui fait des démarrages galop ventre à terre dans le sens inverse, enchaine les sauts de mouton et je n'arrive pas à le ralentir dans ses moments là. Aucun soucis lorsqu'il est dans le travail, j'ai du frein et tout. Mais l'hiver le chatouille.
Par contre, quand il démarre comme un dératé, je peux faire tout ce que je veux, avec mon mors en résine il s'en fout..
J'ai essayé du coup de lui mettre son ancien mors (olive cuivre, très gentil car gros canons), pareil.
Du coup je pensais au Baucher, mais les canons fins m'inquiètent un peu.. Je pense qu'il pourrait m'apporter déjà du frein + que je n'en ai, et aussi un peu plus de "concentration" avec son effet levier. Je pense que mon cheval se dira peut être moins facilement qu'il peux faire ce qu'il veux parce que je n'ai pas de prise sur sa bouche.