Réeducation des chevaux difficiles ? etudes

il n'y a pas d'étude special , je dirai de faire des études dans le domaine équin et de faire des stages et bosser dans une écurie travaillant la dessus pour avoir un maximum d'expérience

ok je vais me renseigner

aucune étude pour ça,
le mieux stage ect c'est sure, mais regarde, c'est mon boulot et pourtant je n'en ai jamais fait.
après j'ai su me faire bien entourer pour le début

ça dépend déjà de ce que tu veux vraiment faire.
Par ce qu'il y a un monde entre "rééduquer" un cheval juste mal élevé dont tout le monde crie au cheval dangereux parce qu'il a un peu pris le dessus ou qu'il est craintif, et rééduquer le vrai cheval véritablement dangereux et sans limite.
Tout le monde n'a pas la meme définition de chevaux difficiles et concretement, c'est pas le meme métier.
Un cheval juste un peu difficile ou délicat c'est à la portée de beaucoup de gens avec juste de l'expérience, du feeling et un peu de jugeote mais un vrai cas extreme demande beaucoup plus que ça et clairement ce n'est pas du tout à la portée de beaucoup de gens quand bien meme ils auraient fait des études pour ça.
parce qu'au delà de la méthode (qui doit etre adaptée au cas par cas et non suivre un schéma prédéfinie et invariable) il y a aussi l'homme et ça compte presque autant sinon plus que la méthode employée.
La personne qui se lance la dedans doit impérativement etre sure à 200% d'elle, sure de sa capacité à résoudre tout peu importe la violence qu'il va rencontrer en face.
C'est un job ou on peut risquer sa vie et donc le mental, la détermination et le sang froid son de rigueur.
La patience aussi mais l'expérience est la clé N°1.
Vous me direz l'expérience, c'est bien beau, mais comment commencer?
Sur le terrain! avec des pros dont c'est le métier (de vrais pros hein, pas éthobidouille and co) dans un premier temps, il faut observer ceux qui savent faire, voir et comprendre jusqu'ou un vrai cas extreme peut aller, voir d'innombrables cas de figures et comment y poser des solutions.
La on va dire, c'est un peu la force des chuchotteurs d'avoir tres tot voulu codifier une méthode et des diplomes. Ce sont les seuls en France à proposer un chemin de formation défini mais pour moi, la vraie bonne école pour ce job, c'est le terrain et en voir des centaines...
Un bon conseil, commence par les débourrages, beaucoup de débourrage de toute sorte (si possible de vrais chevaux de sport ou de courses) pas les poneys ou chevaux planplan que tout le monde peut débourrer sans connaissance.
Ensuite l'approche du cheval c'est bien mais la compréhension de l'ensemble c'est mieux.
Une bonne rééducation ne doit pas se résumer à se concentrer sur l'objectif mais voir autour (santé, habitudes de vie etc...) car souvent la réponse s'y trouve aussi.
bon courage, c'est un travail sur toi meme très long qui va commencer.

ecuriessaglini a écrit le 02/06/2013 à 13h51: ça dépend déjà de ce que tu veux vraiment faire. Par ce qu'il y a un monde entre "rééduquer" un cheval juste mal élevé dont tout le monde crie au cheval dangereux parce qu'il a un peu pris le dessus ou qu'il est craintif, et rééduquer le vrai cheval véritablement dangereux et sans limite. Tout le monde n'a pas la meme définition de chevaux difficiles et concretement, c'est pas le meme métier. Un cheval juste un peu difficile ou délicat c'est à la portée de beaucoup de gens avec juste de l'expérience, du feeling et un peu de jugeote mais un vrai cas extreme demande beaucoup plus que ça et clairement ce n'est pas du tout à la portée de beaucoup de gens quand bien meme ils auraient fait des études pour ça. parce qu'au delà de la méthode (qui doit etre adaptée au cas par cas et non suivre un schéma prédéfinie et invariable) il y a aussi l'homme et ça compte presque autant sinon plus que la méthode employée. La personne qui se lance la dedans doit impérativement etre sure à 200% d'elle, sure de sa capacité à résoudre tout peu importe la violence qu'il va rencontrer en face. C'est un job ou on peut risquer sa vie et donc le mental, la détermination et le sang froid son de rigueur. La patience aussi mais l'expérience est la clé N°1. Vous me direz l'expérience, c'est bien beau, mais comment commencer? Sur le terrain! avec des pros dont c'est le métier (de vrais pros hein, pas éthobidouille and co) dans un premier temps, il faut observer ceux qui savent faire, voir et comprendre jusqu'ou un vrai cas extreme peut aller, voir d'innombrables cas de figures et comment y poser des solutions. La on va dire, c'est un peu la force des chuchotteurs d'avoir tres tot voulu codifier une méthode et des diplomes. Ce sont les seuls en France à proposer un chemin de formation défini mais pour moi, la vraie bonne école pour ce job, c'est le terrain et en voir des centaines... Un bon conseil, commence par les débourrages, beaucoup de débourrage de toute sorte (si possible de vrais chevaux de sport ou de courses) pas les poneys ou chevaux planplan que tout le monde peut débourrer sans connaissance. Ensuite l'approche du cheval c'est bien mais la compréhension de l'ensemble c'est mieux. Une bonne rééducation ne doit pas se résumer à se concentrer sur l'objectif mais voir autour (santé, habitudes de vie etc...) car souvent la réponse s'y trouve aussi. bon courage, c'est un travail sur toi meme très long qui va commencer.

Tout est dit!

ecuriessaglini a écrit le 02/06/2013 à 13h51: ça dépend déjà de ce que tu veux vraiment faire. Par ce qu'il y a un monde entre "rééduquer" un cheval juste mal élevé dont tout le monde crie au cheval dangereux parce qu'il a un peu pris le dessus ou qu'il est craintif, et rééduquer le vrai cheval véritablement dangereux et sans limite. Tout le monde n'a pas la meme définition de chevaux difficiles et concretement, c'est pas le meme métier. Un cheval juste un peu difficile ou délicat c'est à la portée de beaucoup de gens avec juste de l'expérience, du feeling et un peu de jugeote mais un vrai cas extreme demande beaucoup plus que ça et clairement ce n'est pas du tout à la portée de beaucoup de gens quand bien meme ils auraient fait des études pour ça. parce qu'au delà de la méthode (qui doit etre adaptée au cas par cas et non suivre un schéma prédéfinie et invariable) il y a aussi l'homme et ça compte presque autant sinon plus que la méthode employée. La personne qui se lance la dedans doit impérativement etre sure à 200% d'elle, sure de sa capacité à résoudre tout peu importe la violence qu'il va rencontrer en face. C'est un job ou on peut risquer sa vie et donc le mental, la détermination et le sang froid son de rigueur. La patience aussi mais l'expérience est la clé N°1. Vous me direz l'expérience, c'est bien beau, mais comment commencer? Sur le terrain! avec des pros dont c'est le métier (de vrais pros hein, pas éthobidouille and co) dans un premier temps, il faut observer ceux qui savent faire, voir et comprendre jusqu'ou un vrai cas extreme peut aller, voir d'innombrables cas de figures et comment y poser des solutions. La on va dire, c'est un peu la force des chuchotteurs d'avoir tres tot voulu codifier une méthode et des diplomes. Ce sont les seuls en France à proposer un chemin de formation défini mais pour moi, la vraie bonne école pour ce job, c'est le terrain et en voir des centaines... Un bon conseil, commence par les débourrages, beaucoup de débourrage de toute sorte (si possible de vrais chevaux de sport ou de courses) pas les poneys ou chevaux planplan que tout le monde peut débourrer sans connaissance. Ensuite l'approche du cheval c'est bien mais la compréhension de l'ensemble c'est mieux. Une bonne rééducation ne doit pas se résumer à se concentrer sur l'objectif mais voir autour (santé, habitudes de vie etc...) car souvent la réponse s'y trouve aussi. bon courage, c'est un travail sur toi meme très long qui va commencer.

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ecuriessaglini a écrit le 02/06/2013 à 13h51: Un bon conseil, commence par les débourrages, beaucoup de débourrage de toute sorte (si possible de vrais chevaux de sport ou de courses) pas les poneys ou chevaux planplans que tout le monde peut débourrer sans connaissance.

Pas d'accord , tout le monde ne peut pas débourrer un cheval
Ensuite c'est pas franchement sympas pour les chevaux de loisir ( dont le miens qui fut un cas difficile à cause de problème de dos qui rendait aggressif et de maladresse de la part des gens qui l'ont montés , patience et présence en font aujourd'hui un excellent cheval de TREC , CSO , dressage et ballades , pourtant j'ai tatonné , je n'étais pas toujours sure de moi mais aujourd'hui j'ai instauré mes codes et mes limites ) de dire qu'ils sont planplans alors qu'il sont souvent mieux éduqués que les chevaux de courses ou de sport qui manquent souvent de respect envers l'Homme . Voilà , c'était juste pour défendre les chevaux de loisirs

Je pense qu'elle parlait de chevaux et poneys "froids", pas des chevaux ou poney avec beaucoup de sang.

Ma ponette de loisir sera aussi polyvalente, elle est très bien elevée. Mais je ne me leurre pas, j'aurais jamais pu la débourrer seule si c'était un poulain de cso que mon ancienne mono faisait naitre. Ces chevaux sont vraiment des piles électriques. La mienne est déja un peu speed mais ca reste très très calme si on compare...

qbllo a écrit le 02/06/2013 à 19h00: Pas d'accord , tout le monde ne peut pas débourrer un cheval Ensuite c'est pas franchement sympas pour les chevaux de loisir ( dont le miens qui fut un cas difficile à cause de problème de dos qui rendait aggressif et de maladresse de la part des gens qui l'ont montés , patience et présence en font aujourd'hui un excellent cheval de TREC , CSO , dressage et ballades , pourtant j'ai tatonné , je n'étais pas toujours sure de moi mais aujourd'hui j'ai instauré mes codes et mes limites ) de dire qu'ils sont planplans alors qu'il sont souvent mieux éduqués que les chevaux de courses ou de sport qui manquent souvent de respect envers l'Homme . Voilà , c'était juste pour défendre les chevaux de loisirs

ce n'était pas nécessaire.
je n'ai rien contre les chevaux de loisir.
je parle des chevaux qui sont simples à faire pas des chevaux de loisir spécialement.
et si, y a vraiment des chevaux que tout le monde peut débourrer... tellement ils sont sympas et lymphatiques en meme temps! apres je dis pas que c'est bien fait hein .
bref, faut pas voir le mal partout, c'est l'évidence que pour apprendre dans ce métier très spécifique, il faut se frotter aux chevaux délicats, dans le sang, exigeants du cavalier etc... c'est dans ce sens que je le dis.

ecuriessaglini a écrit le 02/06/2013 à 19h55: ce n'était pas nécessaire. je n'ai rien contre les chevaux de loisir. je parle des chevaux qui sont simples à faire pas des chevaux de loisir spécialement. et si, y a vraiment des chevaux que tout le monde peut débourrer... tellement ils sont sympas et lymphatiques en meme temps! apres je dis pas que c'est bien fait hein :wink:. bref, faut pas voir le mal partout, c'est l'évidence que pour apprendre dans ce métier très spécifique, il faut se frotter aux chevaux délicats, dans le sang, exigeants du cavalier etc... c'est dans ce sens que je le dis.

Ah c'est là dessus qu'on s'était pas comprise ! Sinon je suis d'accord si elle veut apprendre , rien de tel que l'expérience