Thermorégulation du cheval

(le 08/08/2013)

Bonjour,

Je vois pas mal de post sur les couvertures/imperméable/etc.... et je suis tombée sur un article assez complet et que je trouve intéressant de partager sur CA.

Voici un article anglais (traduit rapidement via logiciel internet en français donc un peu de tolérance svp) sur la thermorégulation du cheval :

http://www.academialiberti.de/en/articles/read/22/Thermoregulation-in-horses-in-a-cold-time-of-year/

Thermorégulation chez les chevaux dans un temps froid de l'année
par Natalija Aleksandrova
Chaleur dans le corps du cheval est généré en continu en tant que sous-produit du métabolisme, et un animal en bonne santé a des sources internes de chaleur à partir des processus métaboliques (Bicego et al., 2007). Pour contrôler la perte de chaleur interne pendant la période froide de l'année, le cheval est fourni par la nature avec anatomique complexe et extrêmement efficace, physiologiques et comportementaux des mécanismes de thermorégulation. Pour que les mécanismes sont utilisés de la manière la plus efficace, voire pas du tout, le cheval nécessite des conditions équivalant à des espèces des milieux de vie appropriées ...
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Pour un mammifère pour survivre, la température corporelle interne est maintenue dans une fourchette très étroite. Si la température dépasse ces limites soit au-dessus ou au-dessous, les réactions chimiques sur la fonction au niveau cellulaire de façon irrégulière. Ou bien ils cessent de fonctionner du tout. Les fluctuations en dehors de la plage de température normale résultat des problèmes de santé ou la mort de l'animal. Chevaux adultes maintenir leur température corporelle interne à une gamme d'environ 38 ℃. Poulains, les jeunes en croissance rapide, les juments enceintes et allaitantes ont une norme supérieure de leur température interne du corps (Hines, 2004). La plupart des propriétaires de chevaux sont conscients des dommages et de la crise inhérente aux états fébriles. Les propriétaires de chevaux se rendent compte à quel point les chevaux sont adaptés pour faire face à froid lorsque certains aspects de leur mode de vie sont en place pour eux. Pendant des milliers d'années, le cheval sauvage s'est répandu dans le monde entier. Quel que soit le lieu dans le monde où ils vivent, le cheval a été exposé à une température constante évolution - à travers un rythme jour / nuit ou un rythme saisonnier. Pourtant, aujourd'hui encore, les chevaux sauvages et semi-sauvages, aussi bien que les domestiques, fournies avec des conditions de vie appropriées espèces, survivent parfaitement toute la nature les expose à des conditions. Que ce soit le nord de l'Europe, ou les déserts australiens, le cheval est exposé à tous les éléments de l'évolution de la nature - vent, le soleil, la pluie, la neige, la température fluctuante, etc Ne jamais chercher dans la nature de ces abris fermés comme excessives artificielles écuries et granges ni les grottes, jamais dans la nature chercher des moyens de se couvrir de tissu. Le cheval a évolué naturellement des moyens de prospérité. chaleur dans le corps du cheval est généré en continu en tant que sous-produit du métabolisme, et un animal en bonne santé a des sources internes de chaleur à partir des processus métaboliques (Bicego et al., 2007). Pour contrôler la perte de chaleur interne pendant la période froide de l'année, le cheval est fourni par la nature avec anatomique complexe et extrêmement efficace, physiologiques et comportementaux des mécanismes de thermorégulation. Pour que les mécanismes sont utilisés de la manière la plus efficace, voire pas du tout, le cheval nécessite des conditions équivalant à des espèces des milieux de vie appropriées. Sur le plan génétique, le cheval domestique est le même que son homologue sauvage: il a les mêmes capacités et les besoins pour survivre. Fondamentalement, ils n'ont pas besoin de plus rien de l'humain que seulement d'offrir des conditions de maintien que cette espèce est censée avoir par diktat de la nature: la liberté de mouvement 24 heures par jour, accès libre à la nourriture appropriée 24 heures par jour, la vie du troupeau, soins des sabots bon, un abri où il peut entrer et sortir librement. Sous les soins de l'homme qui respecte les besoins naturels du cheval, et lui fournit ne font de cet animal un sujet pour l'anthropomorphisme travers écuries, changer alimentaires habitudes , inertage, clipping, raquettes, etc, le cheval domestique est en mesure de bien utiliser son naturel étonnant capacités thermorégulatrices exactement de la même manière que le cheval sauvage. Jetons un regard plus profond dans la manière dont les mécanismes de thermorégulation travailler dans le cheval, et comment elle peut être perturbée et endommagé par les soins de naturel et les pratiques de conservation. Manteau chez un cheval race arabe sur un journée d'hiver très froide, l'Europe centrale. Le mécanisme horripilation d'utilisation - les cheveux est augmentée pour augmenter l'isolation manteau. Refroidissement après avoir joué. Cheval race Highland, en Europe centrale. (Photo © K. Jarczewski) Première ce qui est important à retenir, c'est qu'en raison de certains facteurs tels que la thermorégulation de la peau et du pelage étant de très bons isolants qui empêchent la perte de chaleur, et les muscles produisent de la chaleur à travers leurs mouvements, il est beaucoup plus facile pour les chevaux de se réchauffer par temps froid que de se refroidir par temps chaud, ou refroidir après l'exercice intensif. Le refroidissement est plus difficile pour le cheval. Chevaux sont adaptés pour traiter froid. peau du cheval est responsable à la fois de protéger l'intérieur du corps de l'évolution de la température extérieure. Ainsi que pour ne pas permettre la perte de chaleur par temps froid. En outre, il convient de mentionner que la peau est responsable de la dissipation de la chaleur interne produite par l'action des muscles pour empêcher le corps de surchauffe. Les mécanismes de thermorégulation peaux »se compose de quatre facteurs principaux, la peau, le manteau, les artères et les glandes sudoripares, dont trois sont responsables de la conservation de la chaleur cheval dans un temps froid: 1. La peau elle-même agit comme une couche isolante sur toute son épaisseur relative. 2. Le manteau. L'isolation manteau dépend de la profondeur et de l'épaisseur de la couche de cheveux, la vitesse du vent et des gradients de température et d'humidité dans la couche (Ousey et al., 1992). La robe, les chevaux, les changements deux fois par an à travers le mécanisme appelé photopériodisme, en s'adaptant aux différentes températures de base saisonniers. Des capteurs dans la peau du cheval réagir aux changements de longueur de jour de lumière. Le cheval est prêt à faire croître leur manteau d'hiver juste après le solstice d'été, quand les jours raccourcissent. Le cheval est prêt à changer leur manteau d'hiver à l'été une droite après le solstice d'hiver, quand les jours commencent à s'allonger. En plus de la photopériode, la température ambiante affecte également la croissance des cheveux. Les climats plus froids la création de couches épaisses et plus longues chez les chevaux que les climats plus chauds faire, lorsque l'on compare les chevaux qui ont le score même corps et sont nourris de la même quantité de nourriture. Aussi la croissance manteau est affectée par d'autres facteurs, par exemple, l'alimentation et la race du cheval qui sera expliqué plus loin dans ce texte. plus à la croissance de son manteau, le cheval peut augmenter l'isolation de la couche par l'intermédiaire du mécanisme appelé horripilation - lever, abaisser ou de tourner dans des directions différentes les cheveux dans la couche intermédiaire muscles érecteurs cheveux. Ainsi, le cheval augmente ou diminue l'épaisseur de la couche d'isolation varie de façon efficace et le volume d'air à la surface de la peau. Horripilation augmente la profondeur manteau de 10% à 30% chez les chevaux adultes (Young & Coote, 1973). Les muscles érecteurs cheveux doivent être exercés régulièrement afin de fonctionner correctement, comme avec n'importe quel autre muscle dans le corps. poils du pelage sont recouvertes d'une substance grasse qui aide le cheval ne pas se mouiller la peau les jours de pluie ou de neige . Le manteau a un effet hydrofuge dans la graisse des cheveux - eau coule le long ciliées externes tandis que la plus profonde couche reste sèche. Plus le manteau, l'eau a moins de chance d'obtenir à la peau. Grâce manteau brossage régulier de la matière grasse est alors retiré, et l'effet hydrofuge se altérée. Déconseillé soit pour nettoyer la couche de poussière qui roule dans la boue assure un cheval. La boue a des effets protecteurs pour le corps. Inutile de dire que la pratique populaire de tondre les poils du pelage du cheval élimine complètement le facteur de thermorégulation de la robe. 3. Artères de la peau. Artères par des actions musculaires, appelé vasoconstriction ou une vasodilatation, peut être réduit ou agrandi, régulation du flux sanguin à la peau. Constriction empêche la perte de chaleur interne en réduisant la quantité de sang chaud ramené à la surface du corps refroidisseur. Dilatation permet une plus grande quantité de sang chaud surchauffés intérieur pour atteindre la surface du corps et à refroidir. Le sang refroidi abaisse la température corporelle interne quand il est retourné à l'intérieur du corps. 4. Les glandes sudoripares. Le cheval utilise les glandes sudoripares se refroidir à une époque où les températures internes ou externes sont trop chauds. Lorsque la température extérieure est trop élevée pour l'air pour refroidir le sang à travers la peau, le liquide sécrètent la sueur des glandes. L'évaporation de ce liquide refroidit la surface de la peau et du sang dans les artères de surface. De cette façon, ce qui porte le sang refroidi à l'interne du corps, la température interne peut être abaissé même quand il fait chaud dehors. Le cheval s'arrête sueur sécrétant dès que la température interne du corps atteint sa norme. Ensuite, il doit sécher rapidement, car sinon refroidissement va se poursuivre et porter la température du corps en dessous des limites normales. Un cheval en sueur se transforme ses poils manteau dans différentes directions afin d'éviter liberté sous refroidissement et compte tenu cherche habituellement un endroit venteux effectivement rapide et en toute sécurité se sécher. Mentionner le mécanisme de glandes sudoripares est important parce que les glandes sudoripares sont également mis en fonction grâce à l'action des muscles. Alors que ce sont les peaux «quatre grands facteurs de mécanismes de thermorégulation Voyons maintenant dans d'autres mécanismes de thermorégulation disponibles pour le cheval. Givre sur le manteau - la chaleur échappé le corps. L'eau qui coule des cheveux long hiver, le sous-poil en restant au sec. La quantité de graisse dans le corps est également un facteur important de la thermorégulation. Depuis, en plus d'être l'énergie du corps de réserve, la graisse est trois fois plus isolant que d'autres tissus en raison de sa faible conductivité thermique et une mauvaise irrigation sanguine (Guyton, 1991; Davenport, 1992). Il est donc important pour un cheval d'avoir une bonne couche de graisse avant l'hiver. Les chevaux sauvages et naturellement gardé les chevaux domestiques de maintenir le rythme naturel de changement de poids tout au long de l'année avec leur poids grandissant jusqu'à 20% par l'automne. Généralement, nous pouvons voir que les chevaux domestiques avec une épaisse couche de graisse dans leur corps à grandir un manteau d'hiver relativement plus court que les chevaux avec moins de gain de graisse à l'automne, en comparant la même race et les animaux mêmes notes corps. Aussi de la graisse est distribué plus uniformément sur la surface du corps par temps froid au lieu d'être concentrés dans certains domaines particuliers dans des conditions chaudes. Conservé dans les mêmes conditions, les races de chevaux plus petits ont un pelage plus long / plus épais par rapport aux grandes races. Nous voyons aussi un manteau en général plus épais chez les poulains. Cet article est relié à un grand effet d'allométrie, le changement systématique dans des proportions de corps avec la taille du corps augmente, le bilan thermique dans les espèces animales. Changements au sein espèces sont comme des animaux grandir et se développer, mais existent aussi entre les races d'espèces (Reiss, 1991; Langlois, 1994). En règle générale, une plus grande taille est un avantage par rapport à la thermorégulation dans le froid. Depuis, le rapport de la chaleur de dissipation de la surface de la masse corporelle heat-producing/retaining diminue avec l'augmentation de la taille du corps (Phillips et Heath, 1995; Bligh, 1998). Par conséquent, les chevaux de grande taille ont une surface moins par rapport disponible pour l'échange de chaleur, et donc surtout perdent moins de chaleur dans le froid que les chevaux de petite taille faire. Petits chevaux perdent plus de chaleur corporelle que les chevaux grandes. En plus grande taille, une forme de corps sphérique réduit le ratio de surface à la masse (Langlois, 1994). Pour compenser les grandes surface / masse nord-type de chevaux en général ont évolué plus lourdes corps ronds plus courtes membres et des extrémités qui sont bien protégés par les cheveux épais, la crinière et du boulet, étant donc plus en mesure de conserver la chaleur du corps et de faire face au froid. L'augmentation de la prise alimentaire augmente la production de chaleur dans le corps du cheval. Cet article est lié au fait que le processus de digestion des fibres longues produit de la chaleur en tant que sous-produit. Il est important que chaque cheval domestique a un accès illimité au foin 24 heures par jour. Par temps froid ayant une chance d'augmenter la production de chaleur par le biais continue de consommer et digérer des fibres longues. Surtout quand certains des autres mécanismes de thermorégulation ne sont pas encore adaptés à coup conditions météorologiques changeantes, comme une baisse rapide de la température. Cette demande supplémentaire pour l'alimentation est appelée demande d'énergie climat (MacCormak et Bruce, 1991). Les chevaux ont été observés au besoin d'énergie d'environ 0,2 à 2,5% de plus pour l'entretien par 1 degré Celsius de la température extérieure chute en dessous de leur température critique inférieure (Coote Young, 1973; McBride et al, 1985;. Cymbaluk et al, 1989a;. Cymbaluk, 1990). (Basse température critique est individuelle pour chaque cheval / groupe de chevaux à différents moments de l'année et dépend de thermorégulation et de nombreux autres facteurs environnementaux.) Surtout, les petits chevaux ont des valeurs supérieures température critique signifie la perte de chaleur est relativement plus élevée que pour les grands chevaux. Ainsi, les chevaux de petite taille en fait besoin d'une alimentation supplémentaire proportionnellement plus. Pour expliquer plus loin, la plus grande que la valeur seuil de température critique est - la perte de chaleur plus des expériences animales. Les races de chevaux de petite taille perdent plus de chaleur que les races de chevaux grande taille dans les mêmes conditions de température. La plus faible que la valeur de température critique inférieure est élevé, plus l'isolation thermique est ce que les expériences animales. Les races de chevaux de plus grande taille rester chaud par temps froid. chevaux sauvages ont été signalés à réduire l'activité locomotrice en hiver qu'en été (Duncan, 1980; Berger et al, 1999;.. Arnold et al, 2006). Activité réduite en hiver était un cycle annuel lié à une diminution de la température extérieure et donc à une réduction de la production de chaleur interne et la dépense énergétique (Arnold et al., 2006). Ce mécanisme d'adaptation de la réduction de l'activité permet de chevaux sauvages pour faire face au défi énergétique de l'hiver. Nous pouvons observer réduction similaire de l'activité en hiver chez les chevaux domestiques détenus naturellement. Bien que les chevaux domestiques ne sont pas contestés avec une nécessité de chercher de la nourriture en hiver dans la même mesure que leurs homologues sauvages. Ce ralentissement de leur activité a évidemment le même but que dans les chevaux sauvages - la réduction des dépenses d'énergie dans le froid. Ainsi, il ya un rythme saisonnier normal chez le cheval à moins exercé en hiver en raison de ce mécanisme de thermorégulation adaptatives froid, il n'est donc pas conseillé de force exercer leurs chevaux en hiver. Parallèlement à la réduction générale de l'activité dans le froid, nous avons observé chez les chevaux, de courtes sessions de l'agitation et l'activité locomotrice (mouvement) pendant soudaines aiguës périodes froides et des conditions météorologiques défavorables. À court terme de mouvement bénéficiaire effectif qui est un pont utile jusqu'à ce que d'autres facteurs de leur système de thermorégulation s'adapter aux nouvelles conditions de température. Parfois, nous pouvons observer les chevaux debout ou couché très proches les uns des autres, de cette façon ils réduisent la perte de chaleur par rayonnement. Par exemple la proximité de position à l'autre, ils réduisent la surface du corps exposée à l'environnement extérieur (Bligh, 1998). Lors des animaux en même temps, qui, pour une raison quelconque, ne produisent pas assez de chaleur interne individu peut utiliser comme une source supplémentaire de chaleur bienfaisante, chaleur corporelle d'un compagnon de paddock rayonnement par la proximité de position. Aussi en changeant la posture du corps et de l'orientation, les chevaux peut augmenter le rayonnement solaire absorbé à utiliser comme autre source de chaleur supplémentaire. Souvent, on peut observer que les chevaux préfèrent bronzer sous le soleil direct au lieu de manger sur de courtes journées d'hiver ensoleillées, et dès que le soleil se couche, ils sont de nouveau à manger. neige que l'on peut parfois voir se trouvant le long dos des chevaux pendant l'hiver joue aussi de la rôle utile de fournir une couche supplémentaire de protection contre les pertes de chaleur interne. Le vent, les jours de pluie, nous pouvons voir des chevaux debout avec leurs queues au vent et la tête basse. De cette façon ils effectivement garder leurs cous, les chefs, les oreilles et les yeux, ventre et les gaines hors de l'eau et du vent. Leurs queues servent à protéger leurs extrémités arrière - les poils courts sur le quai fan sur dévier la neige et du vent. De plus ces jours-là, les chevaux peuvent être vus à l'abri sous le vent des murs, ou à l'aide de brise-vent naturels comme les arbres ou les collines pour se protéger du vent. Lorsque le droit du libre choix, il a été observé que les chevaux utilisent des espaces fermés, tels que les refuges ou forêts, surtout pour se cacher de la chaleur estivale et les mouches. Dans des circonstances extrêmes, la chaleur dans le corps du cheval peut être généré par des frissons. Au cours des frissons, de la chaleur est produite rapidement en décomposant l'ATP dans les muscles (Langlois, 1994). Les frissons sont souvent une réaction aiguë à l'exposition soudaine au froid, ou parfois il se produit au cours de longues périodes d'exposition au froid par temps de pluie. Chez les animaux sains, des frissons, est remplacée par la production de chaleur interne normale à mesure qu'ils s'adaptent aux nouvelles conditions climatiques. Un problème différent se produit avec des espaces clos lors de la passation d'un cheval en sueur chaude dans une étable. En raison d'un manque de circulation d'air là-dedans, le refroidissement se fait déjà longtemps et un cheval transpire plus longtemps. L'air qui entoure le cheval devient saturé et le séchage prend également plus de temps que la normale, parce que l'air humide ne peut pas absorber l'humidité plus. En conséquence, le cheval reste en surfusion, encore une fois préparant le terrain pour un désordre intérieur: coliques, les maladies et les infections par un effet négatif sur les marges du métabolisme de la température de sécurité. Inertage ailleurs pouvez définir la thermorégulation chez un cheval à un désordre complet. L'animal tente de réchauffer les parties du corps exposé à l'exemple froid à la tête, le cou, le ventre et les jambes, ce faisant, ils deviennent trop chauffé dans les régions couvertes par la couverture. Un cheval ne peut pas augmenter la chaleur dans la zone choisie est du corps. Le corps se refroidit ou le corps entier se réchauffe. Transpiration sous une couverture est plus un problème métabolique du cheval que les gens réalisent. Conservé dans les écuries et / ou recouvert, les chevaux manquent stimuli (variations de température) déclenchant l'activité des mécanismes de thermorégulation. Ils n'ont pas besoin d'exercer muscles érecteurs cheveux, ni à se dilater ou rétrécir les artères, ni pour activer les glandes sudoripares, ni à préparer ou à épuiser les réserves de graisse en bonne santé. Tout atrophie des muscles sans exercer pendant une période de temps. Si un animal dans cet état est soudainement exposée au froid, ils ne seront pas en mesure d'activer nécessaires mécanismes de thermorégulation. En conséquence, la température interne du corps peut chuter trop bas, cela conduirait à des perturbations dans les processus métaboliques. Ce qui peut affecter, par exemple, le taux de production et la migration des globules blancs et des anticorps, avec désactivation partielle d'entre eux. Le résultat est un animal stressé par une maladie ou une infection environnement d'hébergement interne. Le germe n'est rien, le terrain est tout (Louis Pasteur). Par voie de conséquence germes ou de virus dans le corps obtenir une occasion idéale pour se reproduire plus. Outre le fait que les mécanismes naturels de thermorégulation ne peut être pleinement utilisé quand un cheval est conservé dans les conditions de vie des espèces appropriées, il est un facteur d'anxiété et de stress que les chevaux inévitablement rencontrer lorsque coupés de leurs besoins de base et conservés de façon non naturelle de cette espèce (écuries, à se séparer de compagnons équins, forcé l'exercice, le manque d'absorption de fibres continues, etc.) Ce stress les rend également moins capables de faire face au froid. _____________

(réactualisation le 18/08/2013)

Voici un autre site en français qui est également intéressant sur la thermorégulation du cheval par temps froid et l'alimentation :
http://www.omafra.gov.on.ca/french/livestock/horses/facts/info-coldweather-man.htm