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Wayana

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Posté le 09/11/2013 à 17h06

Amis cheval annonce bonjour!!

Je viens vers vous aujourd'hui pour quelques conseils avisés! Voila, c'est le premier hiver où j'ai mes doudous avec moi.
J'ai récupéré mon cheval I ( 20 ans ) à la maison début juillet, il était en pension avant, au pré la journée, en box la nuit. Et A ( 3 ans ), il est arrivé en juillet lui aussi, je pense qu'il à toujours vécu dehors.
Et le soucis que j'ai c'est que je ne sais pas trop comment gérer la couverture suivant la météo, je suis novice!
I à une bonne couverture très imperméable et chaude, je ne sais plus les grammages, si je les retrouve j'éditerai.
Alors voila par quel temps je dois lui mettre? Par quelle température ? Je dois aussi acheter une couverture à Abricot, pouvez-vous me conseiller ?

Ils ont bien sur un abri " box ", entièrement fermé sauf la porte que je leur laisse ouverte. Mais en ce moment c'est l’inondation, c'est horrible, plein de boue.. ( d'ailleurs si vous avez des solutions miracles.. j'ai pensé à la paille mais j'ai peur qu'ils se gave).

Enfin voila, c'est un vrai bonheur d'avoir mes chevaux avec moi, mais c'est aussi beaucoup de stress pour qu'ils est la meilleure vie possible.

Voila merci d'avance à ceux qui prendrons de leur temps pour m'aider. Bonne fin de journée tout le monde !!


Edité par wayana le 05-11-2014 à 16h55

Skingirl

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Posté le 09/11/2013 à 17h12

Ils sont tondus ? Si non :Ils ont fait du poil ?
Si oui alors laisse la nature faire.
Ils ont un abri non ? Donc de quoi s'abriter du vent.

Par contre je dis ca je dis rien mais fais quand même gaffe avec le CHEM.

Maud86

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Posté le 09/11/2013 à 17h18

Je ne sais pas si c'est absolument necessaire de leur mettre une couverture... Sont-ils tondus? Voulez vous travaillez avec eux cet hiver?

Pour mon cas c'est le deuxième hiver que j'ai mon cheval à la maison. Avant d'arriver ici, il était au pré soit la journée soit la nuit, et passait donc le reste du temps au box.

Depuis qu'il est arrivé à la maison il n'a absolument jamais été enfermé une seule seconde. Il a un abris dans son champ, il y rentre quand il veut. Et je ne lui ait pas mis de couverture l'hiver dernier. Il n'avait pas fait un poils très très dense, mais assez pour passer l'hiver dehors. Pour l'aider je lui ait donné des granulé afin qu'il face un peu de gras, et dans son abris il avait foin à volonté. Cette année il a déjà une bonne toison, et ça va devenir pire :) L'inconvénient de la couverture c'est qu'il faut pas qu'ils transpirent dessous (donc à surveiller), et ils ne "s'apprennent" pas à mettre le poils d'hiver... Après il faut voir l'activité que tu compte avoir avec eux cet hiver. Repos ou boulot?

Pour ce qui est de la paille dans l'abris, c'est ce que je fait aussi, je met de la paille comme si c'était un box, et du foin à volonté dans le râtelier... Ils mangent surement un peu de paille, mais le râtelier de foin les intéressent beaucoup plus.

Là je reviens tout juste d'aller leur rendre visite, et je leur ai mis un peu de paille par terre, mon cheval c'est tout bonnement bien roulé sur la paille, avant de se relever pour foutre son nez dans le râtelier de foin que je venais fraîchement de remplir :) C’est sur que s'ils n'ont pas de foin à volonté il vont mangé la paille, mais s'ils ont les deux crois moi la paille il la laisserons de côté...

Mllehyde

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Posté le 09/11/2013 à 17h47

Mon cheval a-t-il froid ?

"Au secours, mon cheval a froid !

Vous avez probablement vu trembler votre cheval. Tout d’abord : pas de panique ! Trembler est une manière normale et efficace pour produire de la chaleur. Chez l’humain le fait de trembler est le dernier stade avant la surfusion et c’est pour ça qu’on le trouve tellement alarmant.

Fort probable que votre cheval tremble en octobre/novembre, pendant les premiers jours froids et humides. Ne mettez surtout pas de couverture ! Il est nécessaire que votre cheval a froid en cette période. C’est ce froid qui incite la production de son poil d’hiver et est nécessaire pour transférer son métabolisme en « position d’hiver ».
Si votre cheval a néanmoins froid pendant l’hiver, regardez plutôt son alimentation.
L’énorme appareil digestif du cheval est la source la plus importante de chaleur. En digérant du foin beaucoup de chaleur se produit. Par contre, très peu d’effort est nécessaire pour la digestion d’aliments concentrés et donc très peu de chaleur est produit.
Transpirer, dangereux ou pas ? Que les chevaux attrapent froid quand on les met au pré en transpirant, est un préjugé qui a la vie dure.
Contrairement aux humains chez qui la peau sèche par évaporation, la peau du cheval sèche par le fonctionnement capillaire du poil, qui aspire la transpiration (donc sans refroidissement !) et la transpiration s’évapore à l’extérieur du poil.
Le fait que les chevaux peuvent transpirer n’est pas si évident. La plupart des animaux ne transpirent pas (chiens, chats, lapins …). Si chez beaucoup de nos animaux domestiques le phénomène de la transpiration est difficile à observer, il serait pourtant inexact d’affirmer son inexistence; les glandes sudoripares étant situées sous les pattes de nos chers compagnons à poil, a certaines exceptions prés comme le cheval et l’Homme, lesquelles étant dispersées sur la presque quasi totalité du corps. Manifestement le cheval a spécialement évolué pour pouvoir transpirer et il est donc assez curieux de supposer qu’il ne le supporterait pas.

Voilà ce que dit Dr. Strasser sur la température centrale d’un cheval dans son livre Un sabot sain pour une vie saine traduit en français par Dr. Méd. Kai Stensrod et Dr. Méd. Vét. Gregory Ghyoros Editions Kwaste

Dans l’environnement naturel, la température centrale d’un cheval descend rarement trop bas. Le rhume est inconnu chez les chevaux vivant en nature.

En pension conventionnelle, la température ambiante varie brusquement.

L’enfermement :
Les chevaux gardés dans des boxes ou stalle clos vivent dans un environnement de température plus ou moins constant. Ils ne profitent pas de stimuli que représentent les fluctuations de température pour déclencher leurs systèmes de régulations thermiques. Ils n’auront pas l’occasion d’exercer leurs muscles responsables de l’hérissement de ses poils, de dilater ou rétrécir les vaisseaux sanguins de la peau, ou même activer les glandes sudoripares. Si ce manque d’exercice est prolongé, les muscles s’atrophient et perdent leur faculté de fonctionner efficacement. Les trois mécanismes thermorégulateurs musculodépendants vont faire défaut, laissant le cheval sans possibilité de régulariser sa température interne.
1er exemple : le cas extrême du cheval vivant dans une grange, il est monté une ou deux fois par semaine dans une arène couverte, attenante à la grange. Un beau jour d’hiver, il est sorti pour une randonnée. Cet animal est alors confronté à un changement soudain de température ambiante de 20° à 30°. Les muscles responsables de la thermorégulation ne sont pas entraînés et ne fonctionnent pas proprement. La température centrale de l’animal n’est pas corrigée aussi vite et aussi bien que voulu. Elle va descendre et rester trop bas pendant un bon bout de temps. Avec une température centrale trop basse (ou trop élevée), les processus biochimiques des cellules, dont la vie dépend, sont perturbés. Si, par exemple, la production des leucocytes responsables de la lutte contre les infections est affectée, cela va donner un dysfonctionnement de ce système de défense. Même partiel, il laisse la porte ouverte aux germes et virus provoquant maladie ou infection.
2ième exemple : le poulain né au box qui, à cause du « mauvais temps », est gardé à l’intérieur pendant une ou deux semaines, parfois avec une couverture. Cet animal ne recevra pas de stimuli sensoriels pour apprendre à la peau de réagir contre le chaud ou le froid. Ses mécanismes thermorégulateurs ne se développent pas comme ils devraient, et son corps n’apprend pas à se défendre contre les variations de température. Même des petites baisses de température vont le refroidir, les processus biochimiques ne fonctionnent pas comme il faudrait. Le système immunitaire vulnérabilisé ne marche pas et ne peut pas produire de défense. Le poulain est alors laissé extrêmement vulnérable aux rhumes et aux autres maladies, ce qui est souvent présenté comme « preuve » que l’on n’aurait pas dû sortir le poulain par ce temps froid. Il n’y a pas besoin de températures extrêmes pour arriver à un déséquilibre des températures centrales chez un cheval privé de son environnement naturel.
3ième exemple : un cheval en sueur est mis au box. Le manque de mouvement d’air fait que le refroidissement prend plus de temps que dans un environnement naturel. Le cheval va transpirer longtemps. L’air qui entoure le cheval devient saturé d’humidité par ce même manque de courant d’air, et le séchage va prendre plus de temps. Le cheval se refroidit, laissant la porte ouverte à des infections ou d’autres maladies.

Les couvertures :
Le cheval possède une isolation cutanée suffisante pour résister à quasiment toute température. Par contre, si l’on met une couverture, il est impossible pour le cheval de soulever et d’utiliser l’activité de ses poils pour rester chaud. Les couvertures s’opposent en plus à la formation d’une robe d’hiver, et le cheval ainsi traité n’est pas préparé pour les températures basses.
Quand le cheval marche, l’activité des muscles génère de la chaleur qu’il faut dissiper. Le mouvement de l’air sur sa robe est essentiel. Quand le cheval est couvert, la conduction de la chaleur par l’air en mouvement ne se fait pas. Même en hiver, et même avec des travaux modérés, on peut voir que le cheval « surchauffe » sous sa couverture.
On voit souvent les gens couvrir un cheval en sueur. La transpiration qui devrait s’effectuer par les mouvements d’air est maintenant piégée sous la couverture. Sans courant d’air, l’espace entre les poils restera humide. Le cheval mettra plus de temps pour sécher, et la température interne de l’animal tombe trop bas.
Si on couvre un animal transporté dans un van, on laisse normalement libres les jambes postérieures, notamment des deux cotés de la queue ou l’on trouve le trajet du nerf sciatique. L’abdomen est aussi exposé. Si le cheval a besoin de réchauffer une partie de son corps, il doit chauffer le corps tout entier. Cela veut dire que, pour chauffer son abdomen et ses postérieurs, le cheval va réchauffer la totalité de son corps. Les endroits couverts deviennent trop chauds, ce qui entraîne la transpiration. Elle est visible sous la couverture où il n’y a pas de courant d’air pour évacuer l’humidité. Les endroits froids deviennent encore plus froids. La conclusion est qu’une couverture prive le cheval de son système thermorégulateur vital et hautement performant dans tous les cas de figure.

Coupe des poils et rasage :
Ils déprécient également l’habilité du cheval à réguler sa température centrale. Sans son sous-poil, le cheval ne peut augmenter l’isolation en dressant ses poils. C’est particulièrement nuisible quand une partie du cheval a été rasé. Ou bien les parties rasées sont trop froides, ou bien les parties non rasées sont trop chaudes.

Résumé :

Il est important pour la santé du cheval qu’il soit constamment exposé à un environnement naturel.
L’enfermement avec des températures quasi-constantes et le manque de courant d’air, les couvertures qui s’opposent à la fonction musculaire de la peau et qui créent des différences thermiques autour du cheval et les rasages détruisent tous, la thermorégulation normale du cheval.
Trois des quatre mécanismes thermorégulatoires de la peau dépendent de l’action musculaire. Comme tout muscle, ceux-là, aussi, ont besoin de stimulation et d’entraînement pour bien fonctionner.
On ne devrait pas saboter cette merveilleuse régulation. L’homme est incapable de juger la thermorégulation cheval, et ne devrait pas s’immiscer, qu’importent ses bonnes intentions."

Trouvé sur Facebook, je partage entièrement l'avis et ne cesse de le répéter sur le forum. Mais comme c'est mieux dit et plus expliqué dans cet article, alors je le publie

Maud86

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Posté le 09/11/2013 à 17h56


mllehyde a écrit le 09/11/2013 à 17h47:
Mon cheval a-t-il froid ?

"Au secours, mon cheval a froid !

Vous avez probablement vu trembler votre cheval. Tout d’abord : pas de panique ! Trembler est une manière normale et efficace pour produire de la chaleur. Chez l’humain le fait de trembler est le dernier stade avant la surfusion et c’est pour ça qu’on le trouve tellement alarmant.

Fort probable que votre cheval tremble en octobre/novembre, pendant les premiers jours froids et humides. Ne mettez surtout pas de couverture ! Il est nécessaire que votre cheval a froid en cette période. C’est ce froid qui incite la production de son poil d’hiver et est nécessaire pour transférer son métabolisme en « position d’hiver ».
Si votre cheval a néanmoins froid pendant l’hiver, regardez plutôt son alimentation.
L’énorme appareil digestif du cheval est la source la plus importante de chaleur. En digérant du foin beaucoup de chaleur se produit. Par contre, très peu d’effort est nécessaire pour la digestion d’aliments concentrés et donc très peu de chaleur est produit.
Transpirer, dangereux ou pas ? Que les chevaux attrapent froid quand on les met au pré en transpirant, est un préjugé qui a la vie dure.
Contrairement aux humains chez qui la peau sèche par évaporation, la peau du cheval sèche par le fonctionnement capillaire du poil, qui aspire la transpiration (donc sans refroidissement !) et la transpiration s’évapore à l’extérieur du poil.
Le fait que les chevaux peuvent transpirer n’est pas si évident. La plupart des animaux ne transpirent pas (chiens, chats, lapins …). Si chez beaucoup de nos animaux domestiques le phénomène de la transpiration est difficile à observer, il serait pourtant inexact d’affirmer son inexistence; les glandes sudoripares étant situées sous les pattes de nos chers compagnons à poil, a certaines exceptions prés comme le cheval et l’Homme, lesquelles étant dispersées sur la presque quasi totalité du corps. Manifestement le cheval a spécialement évolué pour pouvoir transpirer et il est donc assez curieux de supposer qu’il ne le supporterait pas.

Voilà ce que dit Dr. Strasser sur la température centrale d’un cheval dans son livre Un sabot sain pour une vie saine traduit en français par Dr. Méd. Kai Stensrod et Dr. Méd. Vét. Gregory Ghyoros Editions Kwaste

Dans l’environnement naturel, la température centrale d’un cheval descend rarement trop bas. Le rhume est inconnu chez les chevaux vivant en nature.

En pension conventionnelle, la température ambiante varie brusquement.

L’enfermement :
Les chevaux gardés dans des boxes ou stalle clos vivent dans un environnement de température plus ou moins constant. Ils ne profitent pas de stimuli que représentent les fluctuations de température pour déclencher leurs systèmes de régulations thermiques. Ils n’auront pas l’occasion d’exercer leurs muscles responsables de l’hérissement de ses poils, de dilater ou rétrécir les vaisseaux sanguins de la peau, ou même activer les glandes sudoripares. Si ce manque d’exercice est prolongé, les muscles s’atrophient et perdent leur faculté de fonctionner efficacement. Les trois mécanismes thermorégulateurs musculodépendants vont faire défaut, laissant le cheval sans possibilité de régulariser sa température interne.
1er exemple : le cas extrême du cheval vivant dans une grange, il est monté une ou deux fois par semaine dans une arène couverte, attenante à la grange. Un beau jour d’hiver, il est sorti pour une randonnée. Cet animal est alors confronté à un changement soudain de température ambiante de 20° à 30°. Les muscles responsables de la thermorégulation ne sont pas entraînés et ne fonctionnent pas proprement. La température centrale de l’animal n’est pas corrigée aussi vite et aussi bien que voulu. Elle va descendre et rester trop bas pendant un bon bout de temps. Avec une température centrale trop basse (ou trop élevée), les processus biochimiques des cellules, dont la vie dépend, sont perturbés. Si, par exemple, la production des leucocytes responsables de la lutte contre les infections est affectée, cela va donner un dysfonctionnement de ce système de défense. Même partiel, il laisse la porte ouverte aux germes et virus provoquant maladie ou infection.
2ième exemple : le poulain né au box qui, à cause du « mauvais temps », est gardé à l’intérieur pendant une ou deux semaines, parfois avec une couverture. Cet animal ne recevra pas de stimuli sensoriels pour apprendre à la peau de réagir contre le chaud ou le froid. Ses mécanismes thermorégulateurs ne se développent pas comme ils devraient, et son corps n’apprend pas à se défendre contre les variations de température. Même des petites baisses de température vont le refroidir, les processus biochimiques ne fonctionnent pas comme il faudrait. Le système immunitaire vulnérabilisé ne marche pas et ne peut pas produire de défense. Le poulain est alors laissé extrêmement vulnérable aux rhumes et aux autres maladies, ce qui est souvent présenté comme « preuve » que l’on n’aurait pas dû sortir le poulain par ce temps froid. Il n’y a pas besoin de températures extrêmes pour arriver à un déséquilibre des températures centrales chez un cheval privé de son environnement naturel.
3ième exemple : un cheval en sueur est mis au box. Le manque de mouvement d’air fait que le refroidissement prend plus de temps que dans un environnement naturel. Le cheval va transpirer longtemps. L’air qui entoure le cheval devient saturé d’humidité par ce même manque de courant d’air, et le séchage va prendre plus de temps. Le cheval se refroidit, laissant la porte ouverte à des infections ou d’autres maladies.

Les couvertures :
Le cheval possède une isolation cutanée suffisante pour résister à quasiment toute température. Par contre, si l’on met une couverture, il est impossible pour le cheval de soulever et d’utiliser l’activité de ses poils pour rester chaud. Les couvertures s’opposent en plus à la formation d’une robe d’hiver, et le cheval ainsi traité n’est pas préparé pour les températures basses.
Quand le cheval marche, l’activité des muscles génère de la chaleur qu’il faut dissiper. Le mouvement de l’air sur sa robe est essentiel. Quand le cheval est couvert, la conduction de la chaleur par l’air en mouvement ne se fait pas. Même en hiver, et même avec des travaux modérés, on peut voir que le cheval « surchauffe » sous sa couverture.
On voit souvent les gens couvrir un cheval en sueur. La transpiration qui devrait s’effectuer par les mouvements d’air est maintenant piégée sous la couverture. Sans courant d’air, l’espace entre les poils restera humide. Le cheval mettra plus de temps pour sécher, et la température interne de l’animal tombe trop bas.
Si on couvre un animal transporté dans un van, on laisse normalement libres les jambes postérieures, notamment des deux cotés de la queue ou l’on trouve le trajet du nerf sciatique. L’abdomen est aussi exposé. Si le cheval a besoin de réchauffer une partie de son corps, il doit chauffer le corps tout entier. Cela veut dire que, pour chauffer son abdomen et ses postérieurs, le cheval va réchauffer la totalité de son corps. Les endroits couverts deviennent trop chauds, ce qui entraîne la transpiration. Elle est visible sous la couverture où il n’y a pas de courant d’air pour évacuer l’humidité. Les endroits froids deviennent encore plus froids. La conclusion est qu’une couverture prive le cheval de son système thermorégulateur vital et hautement performant dans tous les cas de figure.

Coupe des poils et rasage :
Ils déprécient également l’habilité du cheval à réguler sa température centrale. Sans son sous-poil, le cheval ne peut augmenter l’isolation en dressant ses poils. C’est particulièrement nuisible quand une partie du cheval a été rasé. Ou bien les parties rasées sont trop froides, ou bien les parties non rasées sont trop chaudes.

Résumé :

Il est important pour la santé du cheval qu’il soit constamment exposé à un environnement naturel.
L’enfermement avec des températures quasi-constantes et le manque de courant d’air, les couvertures qui s’opposent à la fonction musculaire de la peau et qui créent des différences thermiques autour du cheval et les rasages détruisent tous, la thermorégulation normale du cheval.
Trois des quatre mécanismes thermorégulatoires de la peau dépendent de l’action musculaire. Comme tout muscle, ceux-là, aussi, ont besoin de stimulation et d’entraînement pour bien fonctionner.
On ne devrait pas saboter cette merveilleuse régulation. L’homme est incapable de juger la thermorégulation cheval, et ne devrait pas s’immiscer, qu’importent ses bonnes intentions."

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Merci pour cette belle explications. Je savais qu'il n'étais pas utile de couvrir un cheval en hiver, et que même ça pouvait être néfaste pour lui, par contre ce que j'ignorais c'est que un cheval transpirant peut retourner au pré sans être sec... Dommage pour mon gros qui vas alors devoir travaillé l'hiver... Moi qui ne voulais pas le bosser l'hiver pour justement éviter qu'ils transpire... Car bon même en "séchant" avec la paille il en reste encore... Et bien mon cheval va me détester maintenant... il me reste plu qu'a avoir le courage d'aller me les geler dehors pour le faire bosser

Alma

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Posté le 09/11/2013 à 18h32


maud86 a écrit le 09/11/2013 à 17h56:


Merci pour cette belle explications. Je savais qu'il n'étais pas utile de couvrir un cheval en hiver, et que même ça pouvait être néfaste pour lui, par contre ce que j'ignorais c'est que un cheval transpirant peut retourner au pré sans être sec... Dommage pour mon gros qui vas alors devoir travaillé l'hiver... Moi qui ne voulais pas le bosser l'hiver pour justement éviter qu'ils transpire... Car bon même en "séchant" avec la paille il en reste encore... Et bien mon cheval va me détester maintenant... il me reste plu qu'a avoir le courage d'aller me les geler dehors pour le faire bosser


Finalement, si on réfléchit, quand ils font les idiots au pré, se tapent des galops et transpirent, ils sont mouillés aussi ... et personne pour les bouchonner ..

ma vieille n'est pas tondue car retraitée. L'hiver, elle dort la nuit au box et est en paddock en 1/2 journée .. depuis 2 ans, elle a une couverture imper juste 100grs pour les semaines les plus froides (de 4 à 8 selon les hivers, parce qu'elle a 26 ans et que l'Oise est très humide comme région) .. avant, elle n'avait rien et jamais malade..

pour l'auteur du post, tu es dans une région assez douce de climat, je ne mettrais rien à ta place;

pour l'abri, si réellement ils mangent la paille (certains en raffolent), tu peux opter pour les copeaux ..

Maud86

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Posté le 09/11/2013 à 18h58


alma a écrit le 09/11/2013 à 18h32:


Finalement, si on réfléchit, quand ils font les idiots au pré, se tapent des galops et transpirent, ils sont mouillés aussi ... et personne pour les bouchonner ..

ma vieille n'est pas tondue car retraitée. L'hiver, elle dort la nuit au box et est en paddock en 1/2 journée .. depuis 2 ans, elle a une couverture imper juste 100grs pour les semaines les plus froides (de 4 à 8 selon les hivers, parce qu'elle a 26 ans et que l'Oise est très humide comme région) .. avant, elle n'avait rien et jamais malade..

pour l'auteur du post, tu es dans une région assez douce de climat, je ne mettrais rien à ta place;

pour l'abri, si réellement ils mangent la paille (certains en raffolent), tu peux opter pour les copeaux ..


Oui c'est certain mais je n'y avait en réalité jamais pensé... Bon toute façon pour le travail du mien on y est pas encore, car le faire bosser l'eau c'est pas évident, il aime pas vraiment ça...

Oui la Charente-maritime c'est un climat assez doux c'est sur je n'avais pas regardé d'ou elle était. D'ailleurs d'où est tu de la Charente-maritime, car moi je suis étudiante à La Rochelle :) D'ailleurs tu as aussi le même licol que moi (enfin que mon cheval:) )

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Posté le 10/11/2013 à 10h01

Merci beaucoup tout le monde !!

C'est vrai que le climat est assez doux, mon soucis c'est que j'ai peine à les voire détrempés...mais surement que ça m’embête plus à moi qu'à mes chevaux!
Peut-être que je pourrais mettre à A juste un imper? Car en ce moment on à des pluies de folies! ça doit être pareil chez vous je pense. Et I n'a pas un poil très épais.. Avant que je l'ai, il est passé entre de nombreuses mains, et pas des plus qualifiées, il à manqué de beaucoup de choses,de beaucoup de soin, et est donc un peu fragile. Sa couverture fait 300grs. De plus je ne connais pas son age exact mais là je l'ai vu prendre un sacré coup de vieux! Je lui donne des granulés effectivement avant l'hiver pour qu'il fasse du gras. A par contre est costaud et à un poil très épais déjà.
Ça me rassure tout ce que vous me dites quand même!

Ensuite pour l'abri c'est vraiment l'horreur, alors mon homme va me faire un râtelier pour mettre le foin à volonté, et je mettrai de la paille.

En plus je dois les laisser cette nuit, on part dans l'après-midi et on revient demain aprem, quelqu'un vient à la maison pour les surveiller mais je suis jamais tranquille..

A ces chevaux...


Edité par wayana le 05-11-2014 à 16h54



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Posté le 10/11/2013 à 10h04


maud86 a écrit le 09/11/2013 à 18h58:


Oui c'est certain mais je n'y avait en réalité jamais pensé... Bon toute façon pour le travail du mien on y est pas encore, car le faire bosser l'eau c'est pas évident, il aime pas vraiment ça...

Oui la Charente-maritime c'est un climat assez doux c'est sur je n'avais pas regardé d'ou elle était. D'ailleurs d'où est tu de la Charente-maritime, car moi je suis étudiante à La Rochelle :) D'ailleurs tu as aussi le même licol que moi (enfin que mon cheval:) )



Je suis de Clérac, c'est près de Montendre, le sud de la Charentes-maritimes quoi :)
Mais j’étudie à Saintes.

Wayana

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Posté le 10/11/2013 à 10h06


skingirl a écrit le 09/11/2013 à 17h12:
Ils sont tondus ? Si non :Ils ont fait du poil ?
Si oui alors laisse la nature faire.
Ils ont un abri non ? Donc de quoi s'abriter du vent.

Par contre je dis ca je dis rien mais fais quand même gaffe avec le CHEM.


Ils ne sont pas tondus, abricot à un bon poil, itachy à du mal à le faire et il n'est pas épais.
Pour le Chem effectivement j'ai vu beaucoup de mauvais avis, pour le moment ça se passe bien, j'adore Abricot alors j'espère que ça continuera ainsi.

Wayana

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Posté le 10/11/2013 à 10h07


mllehyde a écrit le 09/11/2013 à 17h47:
Mon cheval a-t-il froid ?

"Au secours, mon cheval a froid !

Vous avez probablement vu trembler votre cheval. Tout d’abord : pas de panique ! Trembler est une manière normale et efficace pour produire de la chaleur. Chez l’humain le fait de trembler est le dernier stade avant la surfusion et c’est pour ça qu’on le trouve tellement alarmant.

Fort probable que votre cheval tremble en octobre/novembre, pendant les premiers jours froids et humides. Ne mettez surtout pas de couverture ! Il est nécessaire que votre cheval a froid en cette période. C’est ce froid qui incite la production de son poil d’hiver et est nécessaire pour transférer son métabolisme en « position d’hiver ».
Si votre cheval a néanmoins froid pendant l’hiver, regardez plutôt son alimentation.
L’énorme appareil digestif du cheval est la source la plus importante de chaleur. En digérant du foin beaucoup de chaleur se produit. Par contre, très peu d’effort est nécessaire pour la digestion d’aliments concentrés et donc très peu de chaleur est produit.
Transpirer, dangereux ou pas ? Que les chevaux attrapent froid quand on les met au pré en transpirant, est un préjugé qui a la vie dure.
Contrairement aux humains chez qui la peau sèche par évaporation, la peau du cheval sèche par le fonctionnement capillaire du poil, qui aspire la transpiration (donc sans refroidissement !) et la transpiration s’évapore à l’extérieur du poil.
Le fait que les chevaux peuvent transpirer n’est pas si évident. La plupart des animaux ne transpirent pas (chiens, chats, lapins …). Si chez beaucoup de nos animaux domestiques le phénomène de la transpiration est difficile à observer, il serait pourtant inexact d’affirmer son inexistence; les glandes sudoripares étant situées sous les pattes de nos chers compagnons à poil, a certaines exceptions prés comme le cheval et l’Homme, lesquelles étant dispersées sur la presque quasi totalité du corps. Manifestement le cheval a spécialement évolué pour pouvoir transpirer et il est donc assez curieux de supposer qu’il ne le supporterait pas.

Voilà ce que dit Dr. Strasser sur la température centrale d’un cheval dans son livre Un sabot sain pour une vie saine traduit en français par Dr. Méd. Kai Stensrod et Dr. Méd. Vét. Gregory Ghyoros Editions Kwaste

Dans l’environnement naturel, la température centrale d’un cheval descend rarement trop bas. Le rhume est inconnu chez les chevaux vivant en nature.

En pension conventionnelle, la température ambiante varie brusquement.

L’enfermement :
Les chevaux gardés dans des boxes ou stalle clos vivent dans un environnement de température plus ou moins constant. Ils ne profitent pas de stimuli que représentent les fluctuations de température pour déclencher leurs systèmes de régulations thermiques. Ils n’auront pas l’occasion d’exercer leurs muscles responsables de l’hérissement de ses poils, de dilater ou rétrécir les vaisseaux sanguins de la peau, ou même activer les glandes sudoripares. Si ce manque d’exercice est prolongé, les muscles s’atrophient et perdent leur faculté de fonctionner efficacement. Les trois mécanismes thermorégulateurs musculodépendants vont faire défaut, laissant le cheval sans possibilité de régulariser sa température interne.
1er exemple : le cas extrême du cheval vivant dans une grange, il est monté une ou deux fois par semaine dans une arène couverte, attenante à la grange. Un beau jour d’hiver, il est sorti pour une randonnée. Cet animal est alors confronté à un changement soudain de température ambiante de 20° à 30°. Les muscles responsables de la thermorégulation ne sont pas entraînés et ne fonctionnent pas proprement. La température centrale de l’animal n’est pas corrigée aussi vite et aussi bien que voulu. Elle va descendre et rester trop bas pendant un bon bout de temps. Avec une température centrale trop basse (ou trop élevée), les processus biochimiques des cellules, dont la vie dépend, sont perturbés. Si, par exemple, la production des leucocytes responsables de la lutte contre les infections est affectée, cela va donner un dysfonctionnement de ce système de défense. Même partiel, il laisse la porte ouverte aux germes et virus provoquant maladie ou infection.
2ième exemple : le poulain né au box qui, à cause du « mauvais temps », est gardé à l’intérieur pendant une ou deux semaines, parfois avec une couverture. Cet animal ne recevra pas de stimuli sensoriels pour apprendre à la peau de réagir contre le chaud ou le froid. Ses mécanismes thermorégulateurs ne se développent pas comme ils devraient, et son corps n’apprend pas à se défendre contre les variations de température. Même des petites baisses de température vont le refroidir, les processus biochimiques ne fonctionnent pas comme il faudrait. Le système immunitaire vulnérabilisé ne marche pas et ne peut pas produire de défense. Le poulain est alors laissé extrêmement vulnérable aux rhumes et aux autres maladies, ce qui est souvent présenté comme « preuve » que l’on n’aurait pas dû sortir le poulain par ce temps froid. Il n’y a pas besoin de températures extrêmes pour arriver à un déséquilibre des températures centrales chez un cheval privé de son environnement naturel.
3ième exemple : un cheval en sueur est mis au box. Le manque de mouvement d’air fait que le refroidissement prend plus de temps que dans un environnement naturel. Le cheval va transpirer longtemps. L’air qui entoure le cheval devient saturé d’humidité par ce même manque de courant d’air, et le séchage va prendre plus de temps. Le cheval se refroidit, laissant la porte ouverte à des infections ou d’autres maladies.

Les couvertures :
Le cheval possède une isolation cutanée suffisante pour résister à quasiment toute température. Par contre, si l’on met une couverture, il est impossible pour le cheval de soulever et d’utiliser l’activité de ses poils pour rester chaud. Les couvertures s’opposent en plus à la formation d’une robe d’hiver, et le cheval ainsi traité n’est pas préparé pour les températures basses.
Quand le cheval marche, l’activité des muscles génère de la chaleur qu’il faut dissiper. Le mouvement de l’air sur sa robe est essentiel. Quand le cheval est couvert, la conduction de la chaleur par l’air en mouvement ne se fait pas. Même en hiver, et même avec des travaux modérés, on peut voir que le cheval « surchauffe » sous sa couverture.
On voit souvent les gens couvrir un cheval en sueur. La transpiration qui devrait s’effectuer par les mouvements d’air est maintenant piégée sous la couverture. Sans courant d’air, l’espace entre les poils restera humide. Le cheval mettra plus de temps pour sécher, et la température interne de l’animal tombe trop bas.
Si on couvre un animal transporté dans un van, on laisse normalement libres les jambes postérieures, notamment des deux cotés de la queue ou l’on trouve le trajet du nerf sciatique. L’abdomen est aussi exposé. Si le cheval a besoin de réchauffer une partie de son corps, il doit chauffer le corps tout entier. Cela veut dire que, pour chauffer son abdomen et ses postérieurs, le cheval va réchauffer la totalité de son corps. Les endroits couverts deviennent trop chauds, ce qui entraîne la transpiration. Elle est visible sous la couverture où il n’y a pas de courant d’air pour évacuer l’humidité. Les endroits froids deviennent encore plus froids. La conclusion est qu’une couverture prive le cheval de son système thermorégulateur vital et hautement performant dans tous les cas de figure.

Coupe des poils et rasage :
Ils déprécient également l’habilité du cheval à réguler sa température centrale. Sans son sous-poil, le cheval ne peut augmenter l’isolation en dressant ses poils. C’est particulièrement nuisible quand une partie du cheval a été rasé. Ou bien les parties rasées sont trop froides, ou bien les parties non rasées sont trop chaudes.

Résumé :

Il est important pour la santé du cheval qu’il soit constamment exposé à un environnement naturel.
L’enfermement avec des températures quasi-constantes et le manque de courant d’air, les couvertures qui s’opposent à la fonction musculaire de la peau et qui créent des différences thermiques autour du cheval et les rasages détruisent tous, la thermorégulation normale du cheval.
Trois des quatre mécanismes thermorégulatoires de la peau dépendent de l’action musculaire. Comme tout muscle, ceux-là, aussi, ont besoin de stimulation et d’entraînement pour bien fonctionner.
On ne devrait pas saboter cette merveilleuse régulation. L’homme est incapable de juger la thermorégulation cheval, et ne devrait pas s’immiscer, qu’importent ses bonnes intentions."

Trouvé sur Facebook, je partage entièrement l'avis et ne cesse de le répéter sur le forum. Mais comme c'est mieux dit et plus expliqué dans cet article, alors je le publie



Merci pour le partage, c'est trés intéressant !

Alma

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Posté le 10/11/2013 à 10h25


Citation :
Et Itachy n'a pas un poil très épais.. Avant que je l'ai, il est passé entre de nombreuses mains, et pas des plus qualifiées, il à manqué de beaucoup de choses,de beaucoup de soin, et est donc un peu fragile. Sa couverture fait 300grs.


si réellement tu veux le couvrir, ne commence pas avec une 300grs, il ne fera jamais de poil (ou pas assez)
une imper 100gr (voire 200) devrait suffire en début d'hiver .. et s'il fait plus froid, tu peux passer à la 300..

et revoir son alimentation si tu le trouves juste en poids ..
voir aussi les dents, peut-être n'assimile-t-il pas bien ..

Wayana

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Posté le 12/11/2013 à 09h48

Merci Alma, c'est ce que je pense faire, en plus il à un peu d’arthrose. Et Abricot ne devrait pas en avoir besoin du coup.
J'ai compris grâce à vous pourquoi il ne faisait pas son poil. Quand il était dans le club où je l'ai acheté il n'avait pas de couverture, et pas d'abri et donc un très gros poil. Quand on l'a mit en pension il dormait en box et avait une couverture de 300grs dehors, donc pas de poil. Donc petit à petit il va recommencer à me faire son gros poil:)

Pour son alimentation il à de l'orge et des granulés. Et pour ses dents je lui fais faire une visite annuelle, en novembre justement. D'ailleurs si vous connaissez un bon dentiste dans la région? J'ai entendu parler d'une Elodie Stuit je crois, quelque chose comme ça; quelqu'un à déjà fait appel à ses services?
C'est d'ailleurs un dentiste qui m'a estimé son age, il n'en avait jamais vu et avait les dents dans un sale état... Quand je l'ai acheté il devait avoir 14 ans, le dentiste l'a estimé entre 18 et 20, et ceux il y a environs 3 ans. C'est vrai qu'il se creuse un peu et qu'il prend beaucoup de poils blancs, mais il à toujours la pêche :)

En tout cas merci tout le monde

Wayana

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Posté le 15/11/2013 à 07h16

Néanmoins, si jamais vous deviez mettre une couverture à votre cheval, ce serait par quel temps et quelle température?
Les températures chutent en ce moment..
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