Bonjour,
J'aurais besoin de votre avis pour choisir quelle histoire publié sachant que sa seras pour des collégiens et des lycéens.
Voici la première :
Je m'appelle Gabrielle Solis.
J'habite en colocation avec ma meilleure amie Susanne Mayer dans un appartement situé au Nord-Est de la plage de Wistery Hallen.
L'histoire que je vais vous raconter s'est passée un jour de printemps 2001:
« Une jeune femme retrouvée noyée dans sa baignoire, hier matin.»
Voici ce qu'il y avait écrit ce matin dans le journal en gros titre.
Cette jeune femme avait ses grands yeux couleur noisette ouverts.
Se longs cheveux recouverts de shampooing flottaient sur l'eau.
Elle avait la peau d'une belle couleur bronzée.
Elle était si belle.
Quand les policiers la retrouvèrent dans la baignoire, elle tenait un bouquet de treize roses.
Comment avait-elle put se noyer et pouvoir en même temps tenir le bouquet de roses dans ses mains sans le faire tomber dans la baignoire ?
Pourquoi 13 roses ? Pourquoi noires ?
Ce détail intriguait tous les policiers.
Après avoir passée la salle de bain au peigne fin, ils trouvèrent des empreintes sur le cou de la victime, mais c'était les siennes.
Peu de temps après ils réexaminèrent la victime, ils trouvèrent un cheveu blond.
«C'est sûr que ce n'était pas le sien ! » se dirent-ils.
Ils firent examiner le cheveu puis peu de temps après les résultats arrivèrent.
Ce cheveu appartenait à Mlle Susanne Mayer, c'est-à-dire la colocataire de Gabrielle Solis.
Et en même temps que l'identité de la jeune femme aux cheveux blonds se révélait, ils virent un détail sur la feuille qui leur posait problème...
Ils découvrirent que la jeune femme était amnésique.
Donc elle ne pouvait plus se souvenir où elle était le soir du crime.
L'inspecteur chargé de l'enquête demanda au juge un mandat d'arrestation, puis il plaça Susanne en garde à vue.
Elle était la suspecte n°1 à cause du cheveu trouvée sur Gabrielle.
L'inspecteur procéda à un interrogatoire :
_Où étiez-vous le soir du meurtre de votre colocataire, Mlle Mayer ?
_J'étais avec un de mes amis.
_Comment s'appelle-t-il et où habite-t-il ?
_Il s'appelle Thibault Rolands et il habite 26, boulevard Walsmy Greenks.
_Peut-il au moins témoigner de votre présence avec lui ?
_Oui, j'en suis sûre ! «
Peu de temps après, ils allèrent frapper à la porte de Thibault Rolands.
Le jeune homme était étonné de voir des policiers devant sa porte.
Il se demandait ce qu’il avait bien pu faire pour que la police soit chez lui.
Mais heureusement l'inspecteur le rassura et lui dit que c'était juste pour témoigner.
Arrivés au commissariat ils lui posèrent des questions :
_Mr Rolands, pouvez-vous me dire où et avec qui vous étiez hier soir ?
_J'étais avec Mlle Mayer chez moi.
_Ne vous a-t-elle pas quitté de la soirée ?
_Non aucune fois. Et en plus je ne vois vraiment pas où elle aurait pu aller, à part chez Mlle Solis, mais elle voulait passer la soirée seul.
Et en plus si je peux me le permettre Mlle Mayer venait juste de rompre avec son petit ami à cause de Mlle Solis. Pouvez-vous m'en dire plus ?
_ Le petit ami de Mlle Mayer voulait qu'elle vienne vivre avec lui dans sa villa. Et elle a refusé sa proposition car elle voulait rester vivre avec sa meilleure amie. Son petit amie était en colère, il lui a juré de tuer Mlle Solis si elle refusait et lui ferait porter le chapeau.
_Donc voilà un élément qui éclaircit les choses.
Ceci explique le cheveu blond sur Mlle Solis,
Le meurtrier était jaloux et voulait faire porter le chapeau à sa petite amie,
Mlle Mayer est totalement innocentée du crime de Mlle Solis grâce à votre témoignage Mr Rolands,
Merci de votre coopération !
_De rien, j’essaye juste d'aider une amie à sortir de l'embarras !
_Une dernière question si vous le permettez Mr Rolands.
_Où habite cet homme et comment s'appelle-t-il ?
_Il s'appelle Benzyl Linalol, son adresse est 108, rue Sweet Almond Oil.
L'inspecteur n'avait même pas le temps de dire « ouf » qu'il devait déjà demandé au juge un mandat d’arrestation.
Après l'avoir obtenu il alla au 108, Sweet Almond Oil et arrêta la brute épaisse qu'était Benzyl Linalol.
Arrivés au commissariat, on essaya de lui faire avouer, mais rien à faire : il était aimable comme une porte de prison ...
L'inspecteur essaya de dialoguer avec lui mais sans aucuns résultats.
Au bout de quelques minutes, le suspect se mit à avouer et à pleurer.
De toute sa carrière il n'avait jamais vu ça.
Benzyl lui raconta comment il s'était débrouillé pour pouvoir avoir les clefs (pas bien compliqué sa petite amie était la colocataire de la victime).
Ils nous disent où trouvés les plans du meurtre.
Peu de temps après le jugement du criminel arriva, il en eut pour 25 ans de prison.
Et voilà comment se termine l'histoire de ma vie car c'était moi que cet homme a tuée il y a 7 ans.
Et voici la deuxième :
Aujourd'hui, comme tous les mercredis matin, à l'école primaire Jacques Brel de Berck, Madame Calias, femme de ménage, vint pour nettoyer les salles de classe. Elle alla donc chercher son matériel qui se trouvait sous le préau à côté des toilettes des filles.
Environ deux heures plus tard, après avoir fini de nettoyer, Madame Calias alla ranger son matériel en chantonnant. Il était presque midi. Soudain, lorsqu'elle ouvrit la porte du placard, un cadavre d'une fillette de six ans lui tomba dans les bras. Elle eut très peur, elle poussa un cri effrayant. Un passant l'entendit. Il alla donc voir ce qui se passait. Dès qu'il vit ce cadavre affalé dans les bras de cette femme de ménage, il eut de suite le bon réflexe d'appeler la gendarmerie. Cinq minutes plus tard, la brigade de Berck arriva sur les lieux du crime. Après une heure d'observation, Madame Orcher, commissaire de police, décida de contacter un enquêteur, Monsieur Holden.
Pour commencer, les scientifiques relevèrent les empreintes appartenant à un certain Monsieur Roger. Monsieur Holden mit de suite Monsieur Roger en garde à vue et lui demanda où il se trouvait entre neuf heures et midi. Roger dit qu'à cette heure-là, il était à l'hôpital psychiatrique de Berck et que, vers neuf heures et demie, il était simplement sorti faire un tour en passant par le petit chemin de l'école. Il dit aussi qu'il s'était assis sur le banc du préau à côté du placard à balai.
Monsieur Holden alla de ce fait à cet hôpital, pour confirmer l'alibi. Roger avait dit vrai, donc il ne le soupçonna plus de rien. L'enquêteur décida de chercher si, lors du crime, les professeurs de l'école étaient chez eux ou pas.
Monsieur Holden alla donc rendre visite à la voisine d'une des professeurs de l'école se prénommant Madame Basti. Madame Slinski, voisine de madame Basti, confirma que sa voisine n'était pas chez elle lors du crime car ses volets étaient fermés et que Madame Basti prenait tous les matins l'habitude d'aller boire son café chez sa voisine. Une pauvre petite grand-mère âgée de quatre-vingt ans a affirmé à Madame Slinski, avant de mourir le jour du crime, que Madame Basti rôdait dans les parages de l'école vers midi et demi, c'est-à-dire juste après le crime.
Monsieur Holden se dirigea donc chez Madame Basti. Elle n'était pas chez elle, il n'y avait que son mari. Monsieur Holden lui demanda où était partie sa femme. Monsieur Basti confirma que sa femme devait se rendre à l'aéroport vers une heure moins le quart de l'après-midi juste après avoir mangé. L'enquêteur lui posa plusieurs questions :
-Est-ce qu'à votre avis votre femme a déjà décollé pour Marseille?
- Oh non, je ne pense pas. Il n'est que trois heures et ma femme m'a dit qu'après être arrivée à l'aéroport de Lille, elle ne décollera pour Marseille que vers cinq heures. Comme ça, elle aura le temps de se préparer mentalement pour prendre l'avion car elle en a la phobie.
- C'est tout de même bizarre !
- Pourquoi, Monsieur l'enquêteur ?
- Votre voisine m'a dit que vos volets sont restés fermés toute la matinée et, de plus, elle ne m'a en aucun cas parlé de ce voyage que votre femme a organisé. Et vous, Monsieur, où étiez-vous toute la matinée ?
- Ma femme n'a parlé de ce voyage qu'à moi. Elle est partie là-bas en formation pour son métier. Je n'ai fait que dormir toute la matinée, je suis très fatigué en ce moment.
- Bon, très bien Monsieur Basti, je vais vous laisser.
- Mais, Monsieur Holden, que comptez-vous faire à présent?
- Je ne peux pas vous en dire plus pour le moment.
- Au revoir, Monsieur Basti.
- Au revoir, Monsieur l'inspecteur.
Monsieur Holden contacta Madame Orcher, commissaire de police, pour aller trouver Madame Basti qui était, comme le certifiait son mari, à l'aéroport de Lille. Quand l’inspecteur et Madame Orcher arrivèrent à l'aéroport, Madame Basti attendait, comme l'avait précisé son mari, que son avion arrive. Madame Basti leur dit qu'elle était là en formation pour son métier. Son mari avait donc dit vrai. L’inspecteur décida de laisser de côté Madame Basti car il se doutait qu'elle n'avait commis aucun de ces crimes.
En fouillant dans les casiers judiciaires, la police découvrit un nom : Madame Sylvie Crouz. Madame Orcher emmena son dossier au laboratoire scientifique. A l'œil nu, les empreintes de Madame Crouz étaient identiques à celles de Madame Basti. Cela signifiait donc qu'il fallait rechercher MadameCrouz. Madame Orcher comprit tout de suite que c'était Madame Crouz la tueuse en série car elle avait tué cette vieille femme qui était témoin. De plus, une esthéticienne appela la gendarmerie car elle avait vu dans le journal cette histoire de meurtre et Madame Crouz était venue dans son magasin se transformer en sosie de Madame Basti qui fut soupçonnée de meurtre à tort.
La police retrouva Madame Crouz et la mit directement en garde à vue. Elle mentit mais finit par avouer que c'était elle la coupable. Elle avait tué une enfant de six ans qui s'appelait Sylvie. A six ans, elle avait été abandonnée par ses parents qui la maltraitaient. La police lui mit 30 ans de prison ferme et cent mille euros d'amende. Madame Crouz se retrouva donc en prison triste, pleine de remords et de désespoir.
Je vous remercie d'avoir donnez de votre temps