pour le mien c'était dans l'optique loisirs-me faire plaisir avec la race que je voulais donc pas trop semblable que toi pour le "futur" mais bon, petite histoire :
j'ai contacté des éleveurs deux-trois ans avant l'année d'achat, visité, vu les (futurs) parents et les produits de l'année et discuté le "bout de gras". Un des élevage correspondait plus à mes recherches et m'a même orienté vers les produits issu plus d'un de leurs 3 étalons (importance du dialogue). Donc bref, rdv l'année suivante pour "bien poser mon choix" avec la nouvelle génération est pris et... j'ai craqué sur une photo. Super objective la fille...
Mes critères essentiels sont restés posés avant toute chose cependant : la taille et les origines "de travail" (avec un beau petit papier sans prétention).
C'était mon 2em poulain et, si j'ai un niveau proche de zéro, je sais m'occuper et soigner un cheval. Toujours encadrée, remise en question quand nécessaire malgré des découragements (des gros), confiage à une pro pour le débourrage et dénichage d'une pension tip top. Deuxième poulain mais rien de comparable, ho que non !
je suis toujours encadrée et ce poulain "pas tout à fait ce que j'avais rêvé" est le cheval de ma vie.
Jusqu'à un certain déclic, oui, j'ai regretté d'avoir choisi un poulain. Bcp de hauts, bcp de bas. Et puis "clic".
Au final ? parfois, oui, je me dis encore que j'aurais dû prendre un "tout fait" (pour le caractère très/trop fort, tout le travail -encore- à faire et pour lequel je manque cruellement de temps, ce qui fait que mes envies/ambitions équestres sont proches de zéro et que je ne suis pas sure de pouvoir un jour les réaliser). Et en même temps, je suis fière de notre parcours et surtout, surtout, de ce qu'il me donne. Je fais avec ce que j'ai et ce que je peux avoir.
A tout peser, honnêtement : je suis heureuse. Même s'il a un caractère de cochon pas toujours facile et que la pro en a chi*r des barres pour dire.
Optique pure loisir piam-piam j'avais dit