Alexander nevzorov - Appel a temoin

Pour ma part, je suis de son avis. Car je transpose un peu ce que je peux ressentir quand je porte moi-même un poids conséquent qui ne peut bouger pour soulager les zones compressées.

Mais là encore, j'estime que ça ne regarde que moi

Pour la phrase sur le trot enlevé, j'ai effectivement entendu des vétérinaires allemands accuser cette façon de trotter, avec les soucis que cela entraîne sur le long terme. Il faudrait que je retrouve l'étude mais elle n'a jamais été traduite en français, et je ne sais pas ce qu'elle vaut. Mais il en ressortait que le trot en équilibre et le trot assis étaient les meilleurs compromis

famke a écrit le 11/12/2014 à 22h11: Bonjour, je remonte le poste, je viens de lire els 26 pages. Comment à évoluer ce cheval russe depuis 1 an?

Il est devenu cheval de loisir.

Il a eu casiement 6 mois de repos avec du travail très léger pour valider ses nouveaux comportements.

Depuis quelques mois il fait 2/3 balades par mois avec sa propriétaire, il vit au près avec 2 hongres.

ET bah dis donc il fait toujours cet homme.
Dac, cet exemple de cheval me suffit amplement pour me faire une raison face à ses propos. Sa désociabilisation est complétement horrible. ON ne peut pas travailler pour les chevaux tout en empêchant l'expression de ces caractères naturels comme l'échange avec un congenère! Il est clairement prouvé qu'un isolement de l'animal a un impact fortement négatif sur sa santé psychique et donc physique (alors que l'histoire de la selle n'est pas prouvé scientifiquement). Même si ça théorie est recevable on devrait alors conjuguer ces deux éléments. Il est difficile de tolérer plus l'isolement que le fait de monter à cheval.
Je pense qu'il y a des priorités à revoir si on peut parler de priorités.

Merci pour les nouvelles