Bonjour
Pour la petite histoire
C’est en 1845 que naîtra la SPA (société protectrice des animaux) aujourd’hui LPA (ligue protectrice des animaux), mais les deux existent toujours.
Avant cela on faisait appel à la « fourrière » (comme pour les voitures aujourd’hui). Le but premier n’était pas spécialement de porter secours aux animaux, mais surtout de retirer de la voie publique des animaux potentiellement dangereux (qui causent des accidents ou qui étaient agressifs = par la faim ou une mauvaise éducation). Leurs sorts étaient rendus.
Il faut dire aussi, qu’il n’y a pas si longtemps que cela, que Monsieur Madame ToutLeMonde, peut se permettre d’avoir un animal de compagnie. Avant, seuls quelques rares privilégiés (des nantis principalement) avaient des animaux dont le rôle n’était pas « pratique » ou « utile ». (même le chien avait un rôle = gardien, chasse…). Lorsque l’animal était trop vieux ou malade, on ne se posait pas de question, souvent il était abattu et simplement remplacer par un autre.
Ils existaient bien quelques rare « marginaux » qui se préoccupaient du sors des animaux, mais ils étaient rares et souvent perçus comme des « fous ». (c’est une image).
Et puis, l’homme des civilisations avancées, modernes (riches) à commencer à se pencher sur le sort des ses animaux, (les marginaux étaient de plus en plus nombreux, donc plus si marginales que cela).
On a commencé à s’interroger sur le devenir de ses animaux ramassés par les fourrières et à trouver que leurs sors n’étaient vraiment pas enviable.
Vont commencer à naître les groupes de protections, qui vont se battre pour l’établissement de loi sur la conditions de vie des animaux domestiques (dans un premier temps) puis d’élevage (plus récemment). Ces groupes, finiront par donner naissance aux associations loi 1901, donc 56 ans après la naissance de la SPA.
La France
Fait partie des pays développés ou il y a le plus grand nombres d’animaux domestiques par nombre d’habitant.
Plus il y a d’animaux domestiques (de tous poils ou plumes) plus il y a de potentiel cas de maltraitances, d’abandons… Plus il faut de places et d’établissements pour recueillir ses animaux qu’aujourd’hui, on ne conduit plus directement à le « mort ».
La démocratisation de l’acquisition d’animaux qui n’ont plus d’utilités dans la vie de tous les jours, mais qui sont des « compagnons » pour l’homme, à aussi permis le développement de l’élevages de ses animaux (commerce ou trafic). L’homme est envieux et souvent, aveugle. On veut ce que le voisin a, sans vraiment avoir les connaissances ou les moyens pour.
Tirer sur la corde sensible
Beaucoup confonde « association » et « association de protection et/ou défense ». On peut ouvrir une association 1901 ou autres, dans un autre but que celui de la défense ou de la protection d’une cause. Et ces associations ne sont pas toutes à but non lucrative, ni n’ont tour l’objectif de protéger, secourir ou sauver des êtres vivants. Certaines sont simplement des commerces sous les statuts d’associations.
Mais dans la pensée de l’homme, une association à souvent pour « vocation » de protéger, sauver. D’où la difficulté de localiser les vrais associations de protections et de sauvetages des autres.
Les médias et les grandes associations font naître des émules.
Par ce que les médias (journaux, puis radios, puis télé et aujourd’hui internet… d’abord dans les grandes villes, ou l’on remarqué plus la présence d’animaux errants, qu’en campagne) ont repris et transmis les messages d’appels à l’aide de grandes associations déjà en place. Dès lors, des communes plus modestes et des petits villages, ont commencés à créer leurs propres associations, faute d’avoir sur place ou à proximité, une antenne des grosses associations.
Dans le même temps, des vendeurs (éleveurs, maquignons, revendeurs, intermédiaires..) ont notés que l’homme était plus enclin à se porter acquéreur d’un bien (vivant), surtout s’il s’agissait de faire plaisir aux bambins de la famille, dans une « association », plutôt que chez le « commerçant animalier ». Le résultat est qu’aujourd’hui, avec des messages ambigus, des statuts à rallongent et annonçant des actions « de sauvetages », il est difficile de distinguer les vrais associations de sauvetages des autres.
De la dire, que toutes les associations ont perdus lors vocations, il y a une marge. Mais il reste, que faire le tri n’est pas toujours facile.
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Conclusions
Tant que les personnes aux grands cœurs, n’auront pas compris qu’il vaut mieux, des antennes de grandes associations (ou fondation aujourd’hui) plutôt que 10.000 associations différentes, les « filous » continueront de se glisser parmi le tout et viendront faire du commerce.
Tant que l’homme n’aura pas compris, qu’un animal c’est un engagement de toute une vie, avant d’acquérir un animal (qu’il de compagnie ou de rente) alors il continuera d’y avoir des abandons et du trafics sur le dos des animaux.
Et, tant que l’argent, sera le maître mot de la conduite de l’homme, il continuera d’y avoir des personnes peux scrupuleuses pour faire de l’argent facilement, en se servant de la naiveté de beaucoup.