@Ladygodiva
Les mollets doivent TOUJOURS être au contact et n'agirent que dans le besoin. Voilà qui est contradictoire
Contradictoire ? Non. Il y a une nuance entre être au contact et agir. Être au contact signifie avoir sa jambe à sa place pour garder l'impulsion bien qu'elle soit comme un passager clandestin. Agir c'est faire comprendre au cheval qu'il doit bouger son popotin un peu plus en "serrant" (ben que ce soit pas le bon terme) plus ses jambes et voir oser mettre un coup de talon s'il s'en fout encore.
Justement, le cheval doit repondre au souffle de la botte. Au cavalier de l'éduquer et ne pas oublier que l'action de jambe part du bassin ce qui est le seul cas où le genou se decolle de la selle. Et la leçon de jambe a également une efficacité redoutable si elle est effectuée avec toute la rigeur indispensable en équitation.
Les taquets sont fait pour éviter que la jambe parte en avant, non pas pour être coincé par les genoux.Ça ne coince pas ça cale. De plus si pour toi les taquets empêche la jambe de partir en avant, fais verifier sérieusement la selle que tu utilise car sa conception me paraît erronée.
Je parle en dressage surtout, et je n'ai jamais dis qu'ils coinçaient la jambe hein, il lui empêche de valser dans tout les sens, c'est une aide et ce que je disais c'est qu'il ne faut donc pas avoir le réflexe de les "coincer" en serrant les genoux.
Mais là encore, j'ai l'impression à te lire que pour toi serrer= crispation or, ce sont deux choses différentes.
De plus, sautes sans étrier et tu verras très vite que si tu te lèves avec les genoux, c'est le sable que tu auras la chance de redécouvrir. Ben tu fais comment toi? Et je ne me leve pas avec les genoux ni quoi que ce soit dautre: je me mets en équilibre, ce n'est pas pareil.
Euuuh.... Avec mes molets ? Ce qui est normal... on se lève en serrant et "poussant" sur ses jambes; donc ses molets.
Nan! Perdu
on se sert de ses étriers. Pour prendre appui sur les etriers ce sont les quadriceps qui sont sollicité. Et les quadriceps comme tout sportif le sait ne sont pas dans les mollets mais dans les cuisses.donc sans pédales, les quadriceps sont encore plus sollicités
Au trot assis, il faut avoir le mollet au contact et les genoux très souples sinon tu ne peux pas libérer ton bassin pour accompagner.Mais pourquoi diable avoir les mollets au contact en permanence? Le bassin peut parfaitement fonctionner avec les genoux au contact et heureusement.
Genoux au contact ne veut pas dire serrer... Relis bien.
Les mollets comme dis plus haut gardent l'impulsion (elle ne vient pas que de l'assiette ni du cheval en elle même etc...) Donc contact des mollets ne veut pas dire cheval blasé.
Tu me dis que je n'ai pas d'argument rationnel mais en as-tu ? Et relis bien avant de faire des confusions.
Mais contact des mollets oui mais pas en permanence. Tu le dis toi même:"les mollets gardent l'impulsion" .
Prenons un cheval qu'on a mis au galop: galop moyen et on veut qui garde cette allure , ce rythme, cette cadence. Va-t'-on remettre une action de jambe à chaque foulée ? ( je parle bien sûr d'un chrval calé dans son travail, pas d'un jeune ou d'un cheval à rééduquer.) Non.
En revanche, veut on compacter ce galop pour avoir une allure plus rassemblée, là on va se servir de ses jambes pour l'impulsion et de ses mains pour remonter l'avant main.
Lorsque ma jambe est a sa place, elle ne touche absolument pas le cheval par contre, mes cuisses sont adhérentes à la selle lorsque je suis assise. L'extrémité de mes cuisses étant parfaitement normale ellexse terminent par le genou. Lequel genou doit être logé contre le taquet et ce que ce soit en selle obstacle ou en dress et évidemment on chausse beaucoup plus court en obstacle puisque fermer les angles permet d'augmenter l'amorti.
En fait, j'entends et je lis souvent qu'il faut faire ci ou ça, que la position est correcte uniquement en se plaçant de telle manière mais ce que je déplore c'est le manque d'arguments sur le plan physiologique et biomecanique que ce soit pour le cheval ou le cavalier puisque l'un influe directement sur l'autre
Sa position est étudiée. Il n'y a qu'à constater la fluidité de sa main.
