Boh, les classiques, glisser comme une truffe, se raccrocher au vide, étaler sa dignité dans 15 cm de gadoue... On l'a tous fait
L'autre jour j'ai dévalé la colline, très prudemment, pas après pas... Dernière (grande) marche pour retrouver le chemin, un pas ça passe, deux ça passe, le troisième... Et hop, sur le cul.
Dans mon pantalon sorti de la machine le matin même.
C'était froid, humide, et légèrement avilissant.
(oui je parle toujours de la boue)
Le mieux étant qu'à peine 1 m plus loin, c'est le vide, et 5 m plus bas la terrasse. J'aurais gagné au gros lot...
J'ai perdu souvent mes bottes aussi... Même des cavalières, dans les chemins.
Cet hiver jusqu'à présent j'ai réussi à me raccrocher in extremis aux chevaux... Enfin à mon fjord, lui ne bougera pas... Par contre l'irish n'hésitera pas à faire un pas de côté pour avoir le plaisir de me voir étalée comme une loque.