Parce que partir comme ça sans avoir trouvé de point de chute c'est aussi le risque de bacler les visites, de devoir choisir une pension "par défaut" ou "à défaut" et repartir dans d'autres problèmes.
Aucune pension n'est parfaite mais en se préparant les bonnes questions sur papier, en faisant attention au moindre détail pendant les visites, en y retournant à l’improviste, etc... on s'évite bien souvent les mauvaises surprises.
Bon courage pour la suite.
De mon point de vue de gérante, je suis d'accord avec ce qui est en gras. Chaque cavalier a SA pension, ce qui convient à l'un ne va pas toujours convenir à l'autre.
Visiter à l'improviste: ça m'arrive de plus en plus souvent d'avoir des visiteurs qui me téléphonent pour entrer voir en étant devant le portail

. Mieux, quand je ne suis pas là, je leur dit d'entrer et de jeter un oeil: si la structure leur plait un jour de grand bazar, ça ira pour les jours de rangement.
Par contre, ceux qui veulent rester, je leur refixe un rendez-vous pour faire connaissance et voir si le feeling passe.
Partir au bout d'une semaine: j'ai mis dehors une proprio dès le 3éme jour alors pourquoi pas l'inverse? Cependant, une discussion s'impose. Le dialogue peut débloquer les choses et permettre une vraie compréhension d'un "problème" qui n’apparaît pas comme tel aux yeux de la personne en face.
Mais par pitié, avant de changer, prends le temps de faire de vraies visites. Ca évite de perdre du temps par la suite...