fandada a écrit le 24/05/2017 à 13h33:
1) j'ai été traumatisée petite, je montais des chevaux, pas des poneys, à l'époque un marchepied, c'était inconnu et il fallait se débrouiller
moralité ça tenait de l'escalade : je descendais l'étrier au max, ensuite j'y mettais mon pied tant bien que mal, j'attrapais l'étrivière, je me hissais et pour passer la jambe c'était un peu galère parce que j'étais en dessous du dos
Je me revois! Mon moniteur adorer me coller sur la plus grande jument du club... Il me l'avait mise pour mon 1er degré (équivalent G3 ou 4 je sais plus). L'examinateur (avant c'était un examinateur, pas le mono qui donnait les diplômes) avait eu pitié de moi, et m'avait mise à cheval avant que j'ai eu le temps de rallonger l'étrier, je savais plus où me mettre
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Donc pour moi, montoir de toute sorte: talus, rocher, souche, cube... Rêne non ajustées sur la mienne, et interdiction de bouger (si ça bouge je gronde, redescends et recommence, et comme quand elle bouge, c'est de l'impatience, elle préfère que j'ai pas à recommencer).
Si j'ai besoin d'ajuster, je préfère ajuster la rêne opposée: la flexion du côté opposé va avoir plus tendance à éloigner la tête, et à rapprocher le corps (donc au cas où je serais au sol, éloigner les sabots de mes petits petons). Et comme pour un cheval un peu délicat, je l'avais acheté à grand renfort de carottes, avoir la tête à l'opposé ne le tentait pas de me faire les poches au passage