ladygodiva Il y a une défiance en France, oui, car ces disciplines furent, jusqu'à une date récente, et même très récente concernant la chiropraxie, complètement libres et non reconnues.
En gros, quel est le niveau de confiance qu'on pouvait donner à un de ces praticiens dans les années 90 en France? Aucun. Nada. Au point que, en gros, moi, qui n'ait de connaissances bio mécaniques, physiologiques, etc… héritées familialement (donc, autrement dit: une incompétence totale) j'aurais pu mettre ma plaque de chiro.
Évidemment, il y a des praticiens expérimentés compétents, dont le métier et les gestes sont maitrisés bien avant que les instances dirigeant notre pays décident de faire évoluer le spectre des métiers du para-médical. Mais, perso, j'ai besoin de garanties quand un praticien se propose de me manipuler. Peut-être même encore plus de garanties que la moyenne, ayant vu les conséquences de «soins» de certains «rebouteux» (dans les années 90, ça englobait tout ce petit monde)
Du coup, ces professions vont s'assainir au fur et à mesure de la maturation de l'encadrement (en espérant que les lobbyistes ne fassent pas faire n'importe quoi…) et par voie de fait, la confiance va aller crescendo (c'est déjà le cas des osthéos); néanmoins, dans le cadre d'une orientation post bac (c'est le sujet initial quand même

) je ne suis pas sûr que la chiropraxie soit, en 2017, ure voie réservant «de bonnes surprises» pour paraphraser le début de la discussion
