Quand les vétos ne savent pas...

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Hypepony

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Quand les vétos ne savent pas...
Posté le 07/07/2018 à 08h53

Bonjour,

Mon poney est au repos forcé à cause d'une boiterie depuis avril dernier... C'est un peu désespérée que je me tourne vers le forum... pas forcément pour avoir une solution "clé en main" mais plutôt pour partager des expériences, des conseils et qui sait, peut être tomber sur un forumeur dont le cheval aurait eu les mêmes symptômes...

Je le présente d'abord : poney de 13 ans, *AA* X DeutchesReitPony, 1m48, que j'ai fait naître (et je l'ai donc depuis sa naissance). Débourré à 3 ans et demi, poney délicat (hyper émotif) mais très gentil, à qui je dois donner des fleurs de Bach en concours à cause de son stress... Toujours à cause de cette émotivité, j'ai abandonné le CSO avec lui et nous nous sommes tournés vers le dressage, discipline que nous pratiquons exclusivement depuis ses 5 ans.

Physiquement, il est assez fragile des articulations et notamment à l'arrière main et aux cervicales. C'est un "abonné" de l'ostéopathe (minimum une fois par an) mais chaque fois, l'ostéo sait bien le remettre droit et carré et hop ! c'est reparti pour un tour... chaque fois... sauf la dernière fois...

En avril dernier, mon poney présente donc une irrégularité, il marche de façon étriqué, n'engage plus... Je le connais par coeur, je devine tout de suite qu'il s'est coincé, déplacé... quelque chose, cervicale, garrot, bassin... comme d'hab quoi ! J'appelle l'ostéo... qui me le remet droit au niveau des cervicales mais me prévient qu'il n'a pas réussi à résoudre le problème du bassin. Il revient 15 jours après pour retenter de travailler le bassin... mais toujours rien, si mon poney a bien repris forme (grâce au travail sur les cervicales) il est toujours boiteux derrière, et même de plus en plus... l'ostéo (qui a une formation de véto équin) me conseille alors de l'imagerie au niveau du bassin et des vertèbres auprès d'un véto. D'après lui, la gêne provient de l'articulation coxo fémorale.

Ce que je fais aussitôt. Je l'emmène à la clinique équine voisine qui font une imagerie complète des sabots jusqu'au bassin ainsi que des échographies des jarrets et du grasset. Malheureusement, leurs appareils sont limités et la véto ne parvient pas à obtenir des cliches suffisamment nets des articulations du bassin. Nous voilà donc en route pour l'école véto de Nantes... qui refont les radios du coxo fémoral + échographies...

Résultat : il n'y a pas d'inflammation. La véto note tout de même une épaisseur anormale mais légère entre la cupule et la tête de l'articulation... c'est tout... elle n'est pas sûre que cette épaisseur puisse provoquer la boiterie, très haute. N'étant pas sûre d'elle, elle préfère se référer à un véto plus expérimenté (prof à l'Ecole)... elle entre aussi en contact avec ma véto locale. Nous rentrons donc à la maison, au bout de 6 heures de consultation, sans protocole de soin, sans infiltration, sans verdict... "On" doit me rappeler...

Au bout de 3 semaines, comme "on" ne m'a pas rappelée (et que mon poney est toujours boiteux), je décide d'appeler moi même. L'Ecole ne répond pas, j'appelle ma véto qui elle me répond. Je regrette encore aujourd'hui de l'avoir appelée... elle a été plus que pessimiste, me disant carrément que le cas de mon poney était rare et quasi impossible à soigner car impossible à savoir ce qui cloche, du fait de la profondeur de l'articulation... elle me dit que ça ne sert à rien d’infiltrer, car il n'y a pas d'inflammation et je sens clairement dans le ton de sa voix que bon, ils ne vont jamais réussir à trouver ce qu'a mon poney...

Elle me donne toutefois deux espoirs : d'abord attendre l'appel du prof véto "qui lui a peut être une solution" et aussi la possibilité d'investiguer davantage par anesthésies successives afin de cibler plus précisément la réelle origine de la boiterie (on se fixe sur la coxo fémorale alors que ça pourrait être autre chose, même si rien de visible ailleurs sur les clichés). En gros, ils anesthésient par exemple le paturon, on voit si le poney boite encore ou non, puis le jarret, idem, puis on remonte petit à petit...

Outre les frais occasionnés, je suis complétement désespérée de réaliser que je ne pourrai peut être plus jamais monter le poney de ma vie...

Voilà pour notre histoire... si vous avez subi la même expérience, je vous remercie de partager...

Hypepony

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Posté le 07/07/2018 à 20h44

domipac19

S'il s'agit des anesthésies successives pour cibler l'origine de la douleur, c'est ce qui est proposé par ma véto en prochaine étape. On attendant juste l'avis du roi des vétos (a priori), que j'espère avoir la semaine prochaine...

Domipac19

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Posté le 07/07/2018 à 20h46


hypepony a écrit le 07/07/2018 à 20h44:
@domipac19

S'il s'agit des anesthésies successives pour cibler l'origine de la douleur,

Oui, c'est bien ça.

Édité par domipac19 le 07-07-2018 à 20h47



Hypepony

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Posté le 07/07/2018 à 20h49

stphe

La démarche ondulante... ça pourrait correspondre justement à la boiterie de mon poney... Comment avez vous établi qu'il s'agissait d'une ataxie finalement ? J'avais vu une ostéo faire reculer un cheval pour vérifier l'ataxie, est-ce valable pour toutes les formes d'ataxie ? Savez vous comment ce cheval est devenu ataxique ? Mon ostéo m'a dit (lors de la première consultation en avril) que mon poney avait du faire une belle chute en jouant dans son pré...

Sinon, est-ce possible (si l'origine est effectivement nerveuse) que mon poney souffre de son nerf sciatique ? si oui, y a-t-il obligatoirement inflammation ? le nerf sciatique est-il localisé du côté du coxo fémoral ?

Hypepony

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Posté le 07/07/2018 à 20h50


domipac19 a écrit le 07/07/2018 à 20h46:

Oui, c'est bien ça.


Alors ce sera la prochaine étape normalement...

Helenes89

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Posté le 08/07/2018 à 02h32

hypepony Un cheval peut avoir une sciatique. Il faut l'aider, par le travail, à étendre et relâcher le dos, tenir ses abdos et muscler tout ça.
J'ai eu à m'occuper d'un cheval avec sciatique à droite et il avait récupéré beaucoup de rectitude, sans se plaindre.
Il doit y avoir des cas plus délicat, mais je n'en connais pas.
Sinon, lorsque le véto, l'ostéo, le maréchal, le dentiste, etc sont passés et que la question reste entière, on peut penser que la cause actuelle est musculaire.

Kaskade

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Posté le 08/07/2018 à 06h25

Un mot et une précision sur les anesthésies rétrogrades, qui aident à définir la hauteur de la lésion sur un membre.

On commence généralement par une anesthésie des nerfs digitaux palmaires, donc située à la hauteur du bord proximal (supérieur) du cartilage ungulaire pour anesthésier les parties palmaires de la membrane kératogène, les processus palmaires de la 3ème phalange, l’appareil podotrochléaire, sa bourse incluse.
Le résultat se lit au plutôt 10 minutes après et au plus tard 25 minutes après. En cas de résultat négatif : « il boite toujours ». On fera des tests de sensibilité sur la peau avec une aiguille.
Si c’est négatif et que l’on a un doute d’une boiterie de cette région, il faudra faire une anesthésie intra-synoviale de l’articulation III-II phalangienne. A lire 30 minutes plus tard.
La suivante se l’anesthésie nerveuse digitale proximale. Elle se pratique au bord distal-abaxial de l’os sésamoïde proximal (celui qui forme la face plantaire du boulet) sur les 2 nerfs. Rebelote on attend 20 bonnes minutes avant de juger (pas et trot).
Ensuite on aborde l’anesthésie nerveuse métacarpienne distale ou ce cas la métatarsienne distale donc au haut du canon. Les nerfs digitaux communs palmaires II (médial) et III (latéral) cheminent en regard du tendon fléchisseur profond. Avec cette anesthésie le champ anesthésié est au-dessus du boulet en arrière et à mi-boulet devant. Rebelote pour 25 minutes.
Ensuite ce sera cette même anesthésie mais proximale. Les 2 nerfs digitaux communs métacarpiens ne sont pas palpables car ils sont sous cachés sous un épais fascia, qu’il faudra traverser. On est donc sous l’articulation carpienne.
Pour l’anesthésie métatarsienne proximale ça devient plus compliqué. Le nerf digital commun plantaire latéral est atteint 3-4 cm sous l’articulation tarsométatarsienne en avant du tendon fléchisseur du doigt, le nerf digital commun médial se trouve en avant du tendon fléchisseur du doigt. Les nerfs métatarsiens sont atteints par voie médiale en passant par derrière l’os métatarsien II. Enfin les nerfs métatarsiens et digitaux communs dorsaux peuvent être atteint de chaque côté de l’os métatarsien III.
Le praticien devra faire attention à la volumineuse veine métatarsienne plantaire. Idem de ne pas toucher une synoviale !
Comme on s’intéresse au membre thoracique on saute le membre thoracique et on va parler de l’anesthésie jambière.
Là ça devient bien plus compliqué et chronophage. Si mon adition est juste, on en est à 2 heures ½ rien qu’à attendre le résultat.
Pour anesthésier le jarret, on commence par anesthésier le nerf tibial : environ 10 cm au-dessus de la pointe du jarret dans le creux médial du jarret. Puis le nerf fibulaire profond et superficiel en dirigeant de 50 mm en face latérale de la jambe dans le sillon entre le muscle long extenseur du doigt et le muscle extenseur latéral du doigt, à la palpation on perçoit une dépression, on est à 10 cm au-dessus du jarret, l’aiguille doit toucher le tibia. Attention aux vaisseaux sanguins !!! Le nerf saphène par une approche en face médiale, palper les nerfs cutanés du nerf saphène. A cet endroit le patient est vite irritable ! Reste le nerf cutané sural caudal : on injecte dans le creux du tendon crânialement.
Les erreurs : mauvaise identification des repères anatomiques, injections intravasculaires, variations anatomiques et le pouvoir anesthésiant défaillant du produit
Tout ce long laïus pour montrer que cette technique est merveilleuse jusqu’au boulet, puis devient moins pratiquée dès le carpe et le jarret, à moins de la pratiquer en clinique et de pouvoir bricoler autre chose en attendant…
En revanche plus haut on se servira de l’anesthésie pour vérifier si une anomalie d’image radiographique est la cause ou non de la boiterie. Cette anesthésie sera le plus souvent téléguidée à l’aide d’un échographe.
Il est sûr que cette démarche sera raccourcie si on a déjà une forte suspicion du diagnostic clinique, mais la sagesse et l’expérience voudra que l’on ne commence toujours pas le bas !
La scintigraphie est une méthode d’imagerie médicale qui est rendu possible par l’administration d’un isotope (technicium 99m), dont les rayonnements vont être détectés par une caméra gamma. Les zones enflammées vont être ainsi détectées.
Vu les règlements sur la sécurité nucléaire, ces appareils sont rares, tant les contraintes sont élevées. Par exemple un box spécial pour récupérer l’urine du patient durant 2 jours. A ma connaissance seul le CIRALE pour la Suisse, seule la clinique de Niederlenz (Argovie) en ont.

Désolé, mais je jugeais important de mettre un peu de clarté sur cet outil de diagnostic.

Édité par kaskade le 08-07-2018 à 06h26



Hypepony

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Posté le 08/07/2018 à 08h29

kaskade

Merci Kaskade pour ces réponses précises et techniques (j'ai besoin de techniques/vocabulaire scientifique en ce moment !).
Concernant les anesthésies, elles seraient faites soit à Nantes, soit dans la clinique équine proche de chez moi (à peine 10 km de l'écurie).

Je ne suis pas sûre de vouloir une scintigraphie (je me suis renseignée entre temps et la démarche semble être lourde). Pour information, le CIRALE situé en Normandie possède les installations pour, ce serait le centre le plus proche de chez nous mais ça fait quand même une trotte... En attendant, le dossier de mon poney sera peut être transféré là bas, si le vétérinaire dont j'attends la réponse est comme ses collègues, sans avis.

kaskade : as-tu un avis sur une éventuelle ataxie ? les ataxies de type Wobbler sont elles très différentes des autres formes d'ataxie ? La gérante de l'écurie (très très compétente et qui a déjà eu plusieurs chevaux ataxiques (suite à des accidents en général mais un de naissance aussi)) me dit que mon poney n'en a pas les symptômes. Mais en regardant des exemples sur internet (vidéo de chevaux ataxique type wobbler), je trouve qu'il y a de la similitude dans la locomotion justement...

Hypepony

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Posté le 08/07/2018 à 08h32

helenes89

La piste du nerf sciatique est clairement à envisager. Surtout qu'apparemment, son inflammation reste très difficile à voir (et dans le cas de mon poney, nous n'avons justement pas trouvé d'inflammation).

Ecuriessaglini

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Posté le 08/07/2018 à 10h20

kaskade la clinique de Livet en Normandie est équipée pour la scintigraphie également.

Tonya

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Posté le 08/07/2018 à 10h35

hypepony 2 mouvements pour étirer le sciatique des chevaux sujets à des sensibilitées:

- étirer le postérieur vers l'arrière, dans l'axe (c'est le cheval qui fait le mouvement, on le propose, il fait ) en faisant raser le sol à la pointe du sabot. Ne pas lacher le sabot, attendre la fin du mouvement et reposer. Il faut se positionner sur le coté, pas derrière.

- la même chose vers l'avant: on prend le boulet, on lève le sabot en rasant le sol et on demande au cheval d'étirer son postérieur vers devant, toujours dans l'axe. Attention à ne pas lacher le cheval!

- option: prendre le boulet, demander les flexions vers le haut et plier l'ensemble du membre comme un accordéon puis laisser descendre en demandant l'étirement vers l'avant.

Le tout toujours dans l'axe des articulations et en proposant le mouvement au cheval. S'il se sent tenu et que cela lui fait du bien: il viendra tout seul.

C'est un peu comme quand on étire le passage de sangle, certains chevaux ont besoin d'étirer les antérieurs au maximum (ne jamais les lacher, toujours soutenir!).

Kaskade

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Posté le 08/07/2018 à 11h25

ecuriessaglini
vu l'importance de leurs installations je le supposais, mais je n'en étais pas sûr.
merci pour l'info

Hypepony

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Posté le 24/10/2018 à 14h29

Bonjour !

Ce sujet date un peu mais je me suis dit que ça vous intéresserait d'avoir des nouvelles de mon poney.

Donc ce n'était ni une ataxie, ni le nerf sciatique. Tout d'abord, il faut savoir que je n'ai pas eu de réponses des vétérinaires avant fin aout ( de l'école vétérinaire ET de ma clinique) et encore, parce que je les ai tannés...). Du coup, j'ai demandé à ce que son dossier soit transféré auprès d'un autre véto, spécialisé en locomotion et que j'apprécie particulièrement en plus. La surprise du chef a été d'apprendre que le dossier n'avait jamais été transféré à la première véto de ma clinique (alors qu'elle m'avait dit début juillet qu'en gros "je ne devais pas m'acharner, qu'il n'y avait plus rien à faire...").

Le nouveau véto a vu le dossier et a conclu à une malformation des coxo fémoral, probablement d'origine génétique, qui provoque une syndrôme du sacro illiaque. Mon poney a tenu et compensé tant qu'il a pu mais l'usure était devenue trop importante.

On a donc tenté inflitration + tildren... et puis il a marché, marché, marché (et moi aussi, jamais fait autant de kilomètres à côté d'un cheval...)... et un mois après, pas d'amélioration...

J'ai fait revenir l'ostéo la semaine dernière (celle qui avait décelé le problème de coxo, je me suis dit qu'elle avait vu juste et qu'elle devait être plutôt bonne ! ahahaha !). Je voulais savoir s'il y avait évolution, si une séance ostéo n'aiderait pas le Tildren à mieux faire effet etc. Mais bon, catastrophe, l'ostéo est catégorique : non seulement ce 'nest pas mieux mais c'est en fait bien pire qu'en avril. Les coxo se sont dégradés, l'angle d'action des postérieurs a diminué encore... pour elle, mon poney ne peut plus faire que des balades au pas... pour le moment car elle pense que les coxo vont continuer à se dégrader avec la perte musculaire.

Donc voilà, j'ai pris la décision de le mettre à la retraite, c'est ce qu'il y a de plus sage à mon avis. Il va être mis en paddock paradise pour l'obliger à bien marcher sur des terrains différents. Est-ce que cela aurait pu tourner autrement avec une prise en charge plus rapide ? je ne sais pas, je ne le saurai jamais sans doute...

Leamchouk

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Posté le 24/10/2018 à 14h56

Bonjour ! :)

Je découvre ton sujet seulement aujourd'hui, j'ai tout lu, et j'ai vraiment à la fois mal au coeur pour toi, et à la fois le coeur pleins de joie de voir que ce petit poney est si bien accompagné !

Vraiment, je suis désolée, en effet tu ne sauras jamais si le problème aurait pu être résolu si la prise en charge avait été faite plus tôt, personne ne le sauras jamais, mais ce qu'il faut te dire c'est qu'à priori, aujourd'hui vous avez mis le doigt sur le soucis et tu as donc clé en mains pour offrir à ton poney le confort dont il a besoin, et de toute évidence c'est ce que tu vas mettre en place et pour ça, vraiment, bravo bravo bravo c'est vraiment extra, je crois qu'il a beaucoup de chance de t'avoir vu que le mal que tu t'ai donné et que tu te donnes encore !

Je connais des chevaux en pleine santé qui n'ont pas un sixième de l'attention que tu portes à ton poney...

Soyez forts tous les deux, je pense que tant que vous serez ensemble, ça ira

Gros bisous à toi et ton poney

Handa

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Posté le 24/10/2018 à 14h58

Désolée de lire ça
Mais merci d'avoir donné des nouvelles, c'est toujours intéressant.

Hypepony

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Posté le 24/10/2018 à 15h42

leamchouk

Merci, c'est gentil!

L'osteo aussi m'a dit que mon poney avait de la chance d'être avec moi... ça fait peur de savoir que d'autres n'ont pas cette chance...
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