@couagga
Oui c'est déjà quelque chose que je fais, respirer, se calmer, être dans une attitude de confiance. Mais aujourd'hui je ne sais pas ?????, au moins là leçons à été prise en compte.
Seulement que ce serait il passé si je n'étais pas descendu ? Nous étions tous les deux complètement à l'envers.
En tout cas oui, j'ai poussé ses limites beaucoup trop loin, c'est de ma faute.En espérant en effet qu'il ne considère pas le cabrer comme une fuite au problème direct.
Et dans ce cas là que faire ?
Il faut que tu anticipes énormément.
Et la prochaine fois que ton cheval bloques, que tu ne mettes pas la pression comme tu l'as fait.
Cette fois-ci son inquiétude était une pression plus forte que la pression que tu as exercé. Pour obtenir d'un cheval qu'il surmonte sa peur ou sa résistance, il faut sortir de se rapport de "force". Même si ce n'est pas une force véritablement physiquement exercée. Je ne sais pas si tu vois ce que je veux dire.
Le cheval doit sentir que tu es avec lui et non contre lui. Ce n'est pas évident lorsqu'il se défend mais c'est la clé de la réussite. Il faut toujours prendre le temps nécessaire au cheval et pas celui que tu voudrait. C'est souvent là que réside le vrai problème. Le temps.
Lorsque le chevla veut faire demi-tour, il faut utiliser sa propre énergie pour faire un tour complet et le remettre dans sa position de départ. Il faut obtenir un arrêt et non la marche avant. Il faut récompenser l'arrêt. C'est la première marche. Le sas intermédiaire de décompression avant la progression.
Dans l'arrêt il faut rendre au cheval un sentiment de liberté. C'est ce sentiment de pouvoir fuir qui permet au cheval de se rassurer. Dans l'arrêt, on récompense, on rassure, on se détend. Lorsqu'on sent un peu de relâchement; on demande un pas. Un seul. Un unique pas. Demander peu récompenser beaucoup

Un pas, c'est possible. Bien plus que de franchir une zone qui faut peur en une seule fois sans comprendre
Tu as l'habitude d'insister et de laisser sentir. Mais insister ça doit être une demande étape par étape, ça ne doit pas être une pression constante
Même si tu as besoin d'une demi-heure pour franchir ton ruisseau pas à pas, il faut le faire.
TU peux aussi anticiper encore plus en mettant pied à terre bien avant que ton cheval ne sache qu'il va devoir franchir ce ruisseau, donc bien avant qu'il manifeste un trouble. Et lui faire franchir ce ruisseau en te positionnant devant lui pour le franchir toi-même et qu'il te suive. Une fois, deux fois, puis monté.