J'avais dit que je n'en reprendrai pas. On m'en a proposé plusieurs que j'ai refusés. Celui-ci, on ne me l'a pas proposé mais avec mes filles, on l'a vu, touché, caressé, porté et le mal était fait.
Je pleure Oliver tous les jours et ce petit machin poilu ne le remplacera jamais mais voilà, depuis que je l'ai vu, il est dans mon esprit alors ce matin, je suis allée le chercher à la ferme.
Comme c'est l'année des P, j'aurais pu l'appeler Paco pour rigoler mais finalement, il s'appelle Pop Corn.

Bon, pauvrette, il est un peu déboussolé parce que de passer de la ferme en liberté totale, n'ayant jamais vu un intérieur de maison et se retrouver dans une maison avec des enfants et tout un tas de trucs inconnus et sans Maman, voilà, voilà. On y va doucement, on le laisse s'adapter gentiment.