J'ai jamais pu être touchée les devises à base de «gagnants/winners» et de «perdants/losers». Trop binaires, trop manichéennes... Jamais compris ce besoin de séparer les gens entre les «gagnants» et les «perdants». On sera toujours les deux et aucun des deux. Et pour se considérer comme l'un ou l'autre, il faut alors être tributaire des autres. Se construire en fonction d'eux et non plus de soi. Je trouve cela un peu triste, même si je comprend sur ca puisse nous parler
J'estime que mon combat le plus long, le plus dur et le plus beau sera contre moi-même. Et le «combat» s'est mué en compréhension, en acceptation, en évolution de soi... En paix avec moi-même... Je crois que j'y passerai ma vie, et c'est une bonne chose. Je suis à la fois mon pire ennemi et mon plus précieux allié, avec une infinité de nuance.
«Deviens de ce que tu es»
L'auteur, régulièrement cité par ici, donna son nom à feu mon chat.