Donc si je traduis vos vociférations, je laisse totalement tomber les enrênements et je continue de lui apprendre tranquilou à aller vers le bas d'elle même en licol ?
Pour info, je suis certainement à des années lumière de votre niveau équestre, ce qui m'amène forcément à suivre les recommandations des professionnels qui m'entourent.
D'ailleurs, je m'appuie en grande partie sur l'enseignement de Michel Robert pour ce qui est de la longe, mais n'ai sans doute pas encore l'oeil pour repérer tous les indices d'un bon positionnement. Hormis surveiller qu'elle ne s'effondre pas et qu'elle engage...
Votre humilité et votre modération dans vos propos témoignent à n'en pas douter que vous êtes bien plus dans le vrai que celles et ceux qui vous assomment ici et comme souvent d'affirmations péremptoires.
Être un homme (ou une femme) de cheval c'est être à l'écoute de son cheval, rester avec l'esprit ouvert, passer des heures et des heures à leurs côtés et au dessus d'eux pour essayer de les comprendre, demander des conseils puis tenter de les suivre et en retirer ensuite les enseignement qui s'imposent. C'est aussi apprendre que ce qui est vrai avec un voire avec plusieurs chevaux peut être différent avec un autre.
Pour en revenir à votre question, les enrênements ne sont pas le mal absolu, le sujet est bien plus complexe que cela. On peut parfois longer de manière très positive avec un enrênement adapté et au contraire faire pas mal de dégâts avec uniquement un simple licol et une longe.
Les grandes certitudes en matière équestre sont souvent le signe d'une grande médiocrité.
Cordialement