Pourquoi ce serait plus dur à la retraite ?
et tu dis aussi : "En sois pour ce genre de problème il faut garder toujours la jument dans un minimum de travail n’a pas la laisser dans un arrêt totale (gestation, reprise après arrêt à faire avec beaucoup de vigilance, etc) Après visites de contrôle avec électrocardiogramme tout les ans pour voir l'évolution et travail en fonction, risque d’arrêt cardiaque si travail non approprié au cardio, et une durée de vie allant jusque dans les 25ans"
or ça dépend complétement du type de souffle
Ma jument a un souffle. Pas aggravé à l'effort, je ne saurais en donner le détail bien que le véto me l'ai clairement expliqué, j'ai juste retenu que ce n'est pas hyper grave dans son cas mais qu'il fallait éviter les efforts violents, les grosses émotions et que la chaleur ou le froid extrême mettait le coeur à l'effort, donc à surveiller. La jument étant âgée, ça été pour moi le signal de la mise en retraite même si son activité de l'époque n'était pas une contre indication. Ce que je retiens aussi c'est que lé véto m'a dit qu'apparemment nombre de chevaux de course avait ce type de pathologie à des niveaux discrets, que ça ne les gênait pas pour faire des carrières mais qu'il était évident aussi que leurs organismes en payaient plus le prix qu'un organisme indemne. Ce qui me semble logique.
Quoiqu'il en soit, il me parait assez logique de revoir à la baisse la mise à l'effort et éviter tout ce qui sollicite la pompe cardiaque puisqu'il y a une anomalie.
Si on achète la jument par affection, on s'en fout qu'elle ait un souffle, ensuite si c'est un achat avec des objectifs sportifs c'est un risque et pas forcément bienveillant pour l'animal.
Comment savoir le prix de cette jument sans savoir le type de souffle et le pronostic d'évolution ? ça me parait plus qu'hasardeux.