Bonjour bonjour!
Je suis désolée je n'ai pas eu le courage de lire les nombreuses pages du post mais j'espère que tout le monde se porte bien en ces temps compliqués..
Je viens vers vous pour recueillir vos avis concernant ma situation et celle de mon cheval:
Propriétaire d'un anglo-arabe de 13ans, on commençait les concours amateurs jusqu'à 1m05 jusqu'à son entorse avec arrachement osseux, bref, pour dire que depuis la rééducation (2017) on a jamais repris un travail assidu, c'est à dire que je ne prends plus de cours (et le vis très bien), je le monte environ 3-4fois par semaine sur du plat uniquement et balades de plus en plus.
Il s'en porte très bien, il est niquel dans le boulot et dans tous ses suivis (ostéo, véto,...).
Nous sommes depuis septembre dans une pension axée très compétition mais choisie pour le cadre de vie qu'elle proposait, à savoir boxe/paddock 7j/7 (ce que je recherchais) mais avec des paddocks de qualité et non des carrés de sable.
Tout cela pour dire que depuis le confinement, tous les propriétaires de l'écurie demandent à ce que leur cheval soit travaillé par le personnel, à juste titre puisqu'il s'agit d'athlètes de compétition dont le physique doit être entretenu.
Pour ma part, j'ai extrêmement de mal à laisser des personnes extérieures gérer le travail de mon cheval car depuis toutes ces années on a une sorte de routine qui nous convient (après avoir testé des DP etc..) et on ne s'est jamais aussi bien portés!
Donc depuis le confinement, mon cheval n'est plus du tout travaillé, il est nourri et sorti tous les jours comme d'habitude dans un grand paddock arboré et avec de l'herbe avec ses copains juxtaposés, et les soins sont effectués plusieurs fois par semaine.
Seulement, je me remets en question sur le fait de ne pas demander à ce qu'il soit travaillé, je pense faire le bon choix à savoir qu'il ne se démuscle pas facilement et qu'il a un cadre de vie agréable qui ne l'ennui pas, et puis l'aspect financier me conforte aussi, qu'en pensez-vous?
Désolée pour le pavé, ça fait du bien de parler pendant ce confinement aussi