Mais franchement, on peut tous avoir un impact positif pour infléchir la propagation avec des choses d'une simplicité indécente ! Et il y en a encore qui titille les queues de poire, sont incapables d'aller à l'essentiel et de prioriser les urgences.
Prioriser.
Prioriser.
c'est très simple, dans la balance on met d'un côté le truc qui semble trop nous contrarier, nous pose questions et problèmes et de l'autre côté de la balance c'est
des morts.
Des morts ou faire le truc que je veux faire mais que je n'ai pas le droit de faire…? mmmmm j'hésite….
J'suis pas sûre…
En se déplaçant on offre potentiellement un transport gratos au virus. La chaine de transmission repose sur les 7 ou 8 milliards de véhicules bipèdes accueillants et candides qui, pour certains, sont individuellement persuadés que eux-moi-je ne sont pas concernés… Ils pensent maitriser leur situation, leur environnement, leur vie, les autres, le monde et le virus. Mauvaise nouvelle : c'est une illusion.
La seule et unique chose ridiculement simple pour reprendre la maitrise de cette propagation c'est que chacun arrêter de se déplacer au maximum du maximum.
Ce qui est vital et qui entre dans le cadre de l'arrêté. Point barre.
Nourrir et abreuver ses animaux parce qu'on est la seule personne pour le faire n'est pas interdit.
Notre confort, ainsi que celui de nos chers animaux, passent actuellement au second plan. Le premier plan c'est la survie. Une survie sans bombe sur nos têtes, avec le confort moderne de nos habitations d'occidentaux privilégiés.
Les vétos assurent les urgences.
Les gérants de pension et d'écurie assurent le gite et le couvert.
C'est une situation temporaire qui s'éternisera et se dégradera à hauteur de la mauvaise prise de conscience d'un trop grand nombre d'irresponsables.
Alors, il y a quoi dans votre balance à vous, en face des morts ? C'est quoi le truc qui pèse lourd en face de ça ?