bojesse a écrit le 23/05/2022 à 10h03:
J'ai été bien classé, pas d'incident.
D'autres personnes avaient ce type de mors.
La carrière ne comportait pas de clôture ou barrières, seulement les marques. Un concurrent ( au moins) est partis dans le décor.
Je pense que ce n'est pas le même règlement.
La chemise blanche était obligatoire,( manche longues, tous boutons mis) un concurrent c'est pris un strike a cause de la tenue. Les attitudes jugées coercitives on été sanctionnés aussi par les juges.
Une fédération, un règlement.
Si le règlement différait, deux possibilités:
- il s'agissait d'un concours dans le cadre d'un challenge interne ou équivalent, dans lequel l'organisateur s'autorise des différences avec le règlement fédéral. Ce règlement parallèle doit alors être publié quelque part et être mis à la disposition des cavaliers.
- le jury a outrepassé sa fonction (être garant du règlement et évaluer l'instant t des cavaliers dans cette limite).
La seconde possibilité n'est pas à exclure en concours club, si le jury désigné n'est pas officiel de compétition (ou officiel grade club).
C'est excellent d'avoir eu une bonne expérience.
Pour information le règlement prévoit la possibilité pour un cavalier en situation de handicap de courir en valide, avec des aménagements adaptés au handicap (par exemple un stick ou plusieurs, de dimensions supérieure à la norme autorisée pour les valides). Il est même possible de courir les championnats, les concurrents ont juste à fournir un justificatif du handicap qui leur permettra de concourir avec les aménagements supplémentaires.
Sinon le goyo est vraiment absent de la planche donc vigilance dans la perspective d'une sortie chez un autre organisateur: vous concourez avec un mors non autorisé à vos risques et périls (relatifs hein), et ne pouvez exclure la demande expresse par un jury d'en changer sous peine de pénalité ou d'élimination.
Les jurys sont rarement des meutes de hyènes enragées. Si l'on admet dans la population une partie de tristes sires, ils sont plutôt sur de grosses épreuves et de gros concours. Les gens bien sont nombreux et équilibrent la balance. N'oublions pas que ces abominables personnes font cela bénévolement, après avoir suivi une formation laborieuse qui leur a coûté de l'essence et plein de feuilles de papier. Ce serait dommage de faire tout cela dans le seul et unique but de jouir de la souffrance de pauvres cavaliers innocents (lesquels aiment bien, pour certains mettre sur le compte des juges leur contre-performance personnelle. Plus facile à assumer).
Voilà, il faut continuer, les concours sont aussi peuplés, dans d'autres écuries, de concurrents sympathiques solidaires dans la souffrance du trot assis et de la solitude que représentent 5 minutes en piste avec un compère équin par toujours disposé!