equidad a écrit le 15/01/2010 à 12h00: |
| | le cuir francais grainé, je sais pas j ai pas demandez,
j etais bien installé en placé que tout m es passé au dessus ,
l arcon pour l avoir eu dans les main avec mousse a memoire de forme je m attendais a un truc ultra souple c est quand meme assez rigide
comme quoi on est tous different car niveau contact avec le cheval j ai jamais autant ressenti le cheval, le cuir est tellement fin
et comme l arcon est adapté au dos du cheval pas besoin d amortisseur ( apaprement c est pas recommandé avec une prestige )
pour ce cuir on ma bien precisé surtout pas d huile , pas de sapo, juste du baume occasionelement et de preference le lait prestige
et une autre precision du vendeur " moins on les graisse mieux c est " et imperativement des etrivieres de veau |
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Ils mettent de la mousse mémoire directement sur l'arçon ? A quel niveau, côté cavalier ou côté cheval ?
Pour le contact, tu es essayé une Butet siège plat en 24 ou 25 de largeur, panneau intégré, cuir plein sur les quartiers (pas d'avancée), et pas de taquets (ni avant, ni arrière) ? C'est vraiment ce qu'on fait de plus poussé en contact avec le cheval (c'est la selle qu'utilise Eric Lamaze). Bon par contre, faut vraiment s'y habituer et avoir une fixité et une tenue à cheval béton pour en apprécier la finesse.
Tu as quel modèle chez eux ?
Concernant l'adaptation au dos du cheval, en principe on fait plus ça au niveau des panneaux que de l'arçon, qui n'est pas directement au contact du dos du cheval contrairement aux premiers cités. Le débat sur les amortisseurs en est un autre, mais du moment qu'une selle est utilisée sur plusieurs chevaux différents, un bon amortisseur sera utile sur l'un des chevaux au moins, si la selle a été étudiée pour un autre cheval.
Je sais pas, ça dépend de quel type de cuir ils se servent, mais sur du tanné végétal et non traité en surface, l'huile c'est quand même bien. Et même pour du veau, le huile une ou deux fois (LEGEREMENT), si c'est du foulonné gras et à nouveau pas traité en surface, pour lui redonner vie c'est pas mal.
Il faut savoir qu'en dehors du cuir du siège, en tous cas en sellerie traditionnelle française, le cuir est sec de A à Z dans le processus de fabrication : le tanneur lui passe un coup de graisse, très léger, à la sortie de la tannerie mais le sellier ne le réhumidifie pas (sauf le siège avant la première tension) avant la toute fin, où il passe un coup d'huile ou de matière graissante avant d'expédier la selle au client. Le cuir subit donc des manipulation en étant assez sec, les cuirs utilisés dans les ateliers français ont besoin d'être nourrit avant d'être utilisés, ça reste de la peau.
Après, je ne connais pas les procédés de tannage utilisés pour les cuirs Prestige, je ne peux pas confirmer ou infirmer ses dires, mais à priori, il les connait. Tout ce que je peux dire, c'est que pour un cuir de sellier français, il faut les huiler ou les graisser quand ils sont NEUFS (un cuir neuf boit plus qu'un cuir âgé, qui lui n'absorbe presque plus rien comme matière graissante huileuse), ne pas hésiter à y aller franchement (je huile mes selles 3 fois à la réception, et je les graisse un peu après chacune des 10 premières heures de monte, sauf les parties en veau que je passe au baume à cuir), et après cet entretien presque excessif quand ils sont neufs, il suffit de les nettoyer au nettoyant + savon glycériné, avec un coup de baume de temps à autres.