indina a écrit le 30/07/2022 à 09h58:
@bibil91 oui je lui en avais vaguement parlez
Je vais voir avec lui
Il faut dire les choses clairement. C'est parce l'information n'est pas donnée en temps et en heure ou qu'elle n'est pas claire que les relations s'enveniment et que les gens ensuite s'énervent, s'en veulent et ne sont plus compréhensifs.
La mise en vente d'un cheval ça n'a rien d'extraordinaire dans le milieu équin et le vendeur n'a pas à donner les raisons de la vente à l'hébergeur s'il ne le souhaite pas. Plus tôt l'hébergeur sait que le cheval va partir, mieux il peut organiser l'accueil d'un futur pensionnaire. S'il n'a pas l'info, il se retrouve avec un box vide, un manque à gagner, du jour au lendemain. Les emprunts et les frais courant non liés aux nombres de chevaux hébergés restent les mêmes, donc partir au pied levé, c'est mettre la pension dans le pétrin. Pas étonnant que derrière, les relations se tendent et qu'il n'y aura peut-être pas beaucoup de bienveillance.
Il faudrait arrêter de considérer les gérants et gérantes de pensions comme des ennemis par défaut.
On peut être insatisfait d'un service, toutes les offres ne répondant pas à toutes les attentes. C'est réciproque d'ailleurs. Tous les proprios de pensionnaires ne sont pas toujours très agréables et compatibles avec tous les établissements. Et dans les deux sens, le mieux reste de communiquer clairement et de faire les choses correctement quand la séparation s'impose.
Je n'ai jamais connu de pension réclamant le préavis en cas de vente du cheval. Mais en même temps, les ventes étaient clairement connues.