mariane a écrit le 29/03/2023 à 13h05:
Une autre phrase me dérange dans ton document, chapitre 2.1:
"Il est évident que les soins apportés sont plus importants pour un cheval athlète que pour un simple cheval de loisir.."
Je rejoins une remarque qui a été faite au dessus :
le vocabulaire ainsi que les tournures de phrases sont trop orientées.
"il est évident " (Ah bon ? Pour qui ? pourquoi ? Et comment tu prouverais l'évidence ? )
"simple cheval de loisir" (euh... Si un cavalier d'amateur Elite te lit, ça va lui faire bien plaisir ....)
Attention l'opposé d'un cheval "de loisir" est un cheval "monté par un cavalier professionnel" et non pas un cheval "de sport" ou "athlète". Je pense qu'il faut que tu clarifie tes pensées là dessus parce que tu utilise indifféremment "cheval de compétition" "cheval athlète" "cheval de sport" et "cheval monté par un professionnel". Ce n'est pas du tout la même chose.
Et s'appuyer sur des recherches IFCE pour mieux caractériser les critères de bien-traitance ou maltraitance : par exemple, trouver une étude qui montre un meilleur bien être chez le cheval au pré. Comme ça c'est vachement plus pertinent de signaler que les chevaux des professionnels sont au box. Sinon, ben, pour un néophyte, on ne comprend pas le problème.
Enfin, garder en tête que ton étude ne s'est intéressé qu'à une minuscule partie des pratiques des cavaliers, qu'ils soient de loisir ou professionnels : en effet, il s'agit des cavaliers francophones, pratiquant l'obstacle en compétition. Exit donc les pratiques du milieu western, dressage, doma vaquera , voltige, endurance, attelage ou débardage en forêt, et les pratiques des autres pays....
Je pense qu'il serait intéressant de faire un paragraphe sur les limites de ta recherche : par exemple, signaler qu'une immense partie des cavaliers même en France ne sont ni licenciés ni dans un club, et ne pratiquent aucune compétition, et donc que leurs pratiques sont à peu près inconnues de toi et de l'IFCE, et de la FFE, et du monde :)