Un truc n'est pas du tout clair :
Citation :
la personne qui c est occupé de la vente (car moi je n est pas eut de contact avec cette dame directement )
M a dit qu elle manquait de soins et etait a l abandon comme tout les autres chevaux la bas
Citation :
Quand j ai recupere la jument la vendeuse n etait pas presente et a confier le depart de la jument a son compagnon avec le carnet sire
Je trouve étrange que le mari de la vendeuse affirme que les chevaux sont à l'abandon, comme ça, en toute détente.
Si je comprends, vous avez fait la visite et acheté le cheval directement.
Autre chose peu claire :
Citation :
Je l ai achete le 29 mars le veto edt venue le 5 avril une premiere fois et le 21 avril
D es le lendemain de l achat j ai prevenue la vendeuse j ai eut une reponse comme quoi ci il y avait un souci grave elle la reprendrait
Vous avez acheté la jument le 29 mars.
Pourquoi et de quoi, le 30 mars, avez-vous prévenu la vendeuse : il s'est passé quelque chose ?
Bon, je vais me faire haïr, mais je trouve toujours ces histoires bancales et cachant quelque chose. Comme on dit "C'est la poule qui a pondu qui caquète" : plus la "victime" fait de bruit, plus on découvre qu'elle ne l'est pas vraiment.
Il faut garder une chose à l'esprit dans ces affaires :
nous n'avons que la version de l'acheteur.
En outre, RIEN ne nous permet de savoir que vous donnez tous les détails, voire la vérité. Si ça se trouve, le vendeur donnerait une autre version, avec sa vision de l'affaire.
Il est donc logique que les réponses n'aillent pas toujours dans votre sens et ne vous plaisent pas : c'est le jeu lorsque nous demandons un avis à des personnes neutres, à qui nous ne donnons que notre vision et notre ressenti d'une affaire.
Vous parlez d'un vendeur malhonnête: je ne vois aucune trace de malhonnêteté. C'est même vous que je trouve assez gonflée dans vos réactions et ce que vous réclamez.
- Ce n'est pas malhonnête de vendre un cheval en disant "Il a mauvaise mine parce qu'il ne mange pas à sa faim", alors que l'on ignore qu'il est malade.
- Ce n'est pas malhonnête de ne pas faire de visite véto avant la vente et de refuser d'en faire une après.
- Ce n'est pas malhonnête d'envoyer son mari vendre le cheval, même si ce n'est pas habituel.
Citation :
J avais prevue de porter un contrat de vente que le monsieur a signer avec moi
Et la aussi elle conteste ce contrat car elle ne m a rien signer
En soit c est vrai mais je suis pas censé savoir ci la personne pouvait ou pas
Là, c'est vous qui
semblez être en tort.
De ce que je comprends, vous avez vous-même prévu d'apporter un contrat : j'en déduis - de manière hasardeuse, certes - que la vendeuse n'était
pas informée de ce contrat.
Si tel est le cas, il est donc parfaitement logique qu'elle le conteste.
- Il n'y a aucune malhonnêteté à récuser un contrat dont elle n'est pas informée et qu'elle n'a pas signé.
En revanche, ce qui est de la malhonnêteté, c'est
d'accuser sans preuves et d'inciter les gens à accuser, tout en donnant des infos contradictoires.
Citation :
vue le comportement de la vendeuse qui fait la morte depuis plusieurs semaines ci ce serait logique qu elle rembourse les frais veterinaire engagé
Eh bien non, ce n'est pas parce qu'un vendeur - honnête ou non - ne répond pas à des messages, qu'il doit payer des frais véto.
C'est logique pour vous,
mais seulement pour vous. Dans le monde réel, quand quelqu'un fait le mort, c'est relou, mais il ne verse pas sous prétexte de faire le mort.
Citation :
Et la on donne raison a la vendeuse de pas assumer si vraiment la jument etait malade
Pardonnez-moi, mais c'est abscons : on ne va pas accuser quelqu'un alors qu'on ne sait pas si elle a tort. Cela s'appelle la
présomption d'innocence et heureusement qu'elle existe, elle évite de condamner des innocents.
Citation :
dans la mesure ou cette dame n assume pas le fait qu elle est partie de chez elle malade ou en incubation
Juste au-dessus, vous affirmez que la vendeuse pourrait ne pas savoir la jument malade. Vous faites un procès d'intention et basez une accusation sur des hypothèses.
Quelle sera la prochaine étape ? Vous accuserez la vendeuse d'avoir vendu exprès la jument malade pour ne pas qu'elle meurt chez elle ?
Si je veux aller plus loin, je vais proposer une autre version :
Vous vous apercevez que Pompon est malade. Vous êtes embêtée, mais ça arrive, vous lancez les soins.
Peut-être vous demandez-vous si le cheval n'était pas malade avant : le véto dit que c'est possible, et que c'est un vice rédhibitoire.
Ni une ni deux, vous accusez la vendeuse de vous avoir caché cela. Jusque-là, c'est logique.
La vendeuse nie en toute bonne foi, elle ignorait que son cheval était malade, puisque les copains du pré l'empêchent de manger.
Vous ne la croyez pas, vous voulez qu'elle reconnaisse ses torts. En plus le véto vous dit qu'on peut récupérer de l'argent, c'est tout bénef pour vous.
Mais la vendeuse est honnête et maintient sa version.
Alors vous sortez le contrat, celui que vous avez apporté et qu'elle n'a pas pu signer puisqu'elle était absente. Elle le rejette puisqu'elle n'a rien signé du tout.
Alors vous l'appelez, lui envoyez des messages, un recommandé.
La vendeuse, excédée, coupe toutes communications avec vous, par peur du harcèlement.
Voilà. En quelques minutes et en changeant quelques hypothèses, votre vendeuse est une victime d'une acheteuse malhonnête.
Avec les infos que nous avons, je ne vois qu'un reproche à faire à la vendeuse : ne pas avoir fait en sorte que la jument puisse manger correctement et se contenter de voir un cheval maigre.
Donc en l'état :
- Ce n'est pas un vice rédhibitoire ou il est trop tard, vous n'avez plus que vos yeux pour pleurer.
- Assumez les soins, et soyez heureuse d'offrir à cette jument une meilleure vie que celle qu'elle avait dans ce pré, où les copains l'empêchaient de manger, où la proprio n'avait rien mis en place pour qu'elle mange paisiblement, où elle aurait été laissée à l'abandon.
- Fichez la paix à la vendeuse : si vraiment elle est malhonnête, vous ne pourrez de toute façon rien faire.