"calme, en avant, droit"

 Répondre au sujet
Page(s) : 1 ... 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26
Auteur
45802 vues - 394 réponses - 0 j'aime - 3 abonnés

Valombre

Équipe CA
Membre d'honneur
    

Trust : -  (?)


  Mon site internet
  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 3333
"calme, en avant, droit"
Posté le 25/11/2009 à 08h44

Oui, parce qu'il y en a marre de voir cette grande vérité équestre déformée et détournée par quelques trouffions à Saumur.

Parce que j'ai un immense respect pour le Général l'Hotte, qui a été à mon avis un des plus grands écuyers de l'histoire.

La doctrine de Saumur, c'est "En avant, Calme, Droit".

MAIS, le général l'Hotte ne l'a JAMAIS prononcée ainsi. JA-MAIS !!!!! Alors, pitié, arrêtez de déformer. Alexis l'Hotte l'a en effet énoncé : "CALME, En avant, Droit". CALME en premier, et certainement pas 'En avant'. L'ordre a une grande importance, et l'Hotte insiste lourdement sur cet ordre, car ON NE PEUT PAS PASSER A L'ETAPE D'APRES AVANT QUE L'ETAPE PRECEDENTE NE SOIT ACQUISE (d'après l'Hotte). On DOIT donc avoir un cheval CALME avant d'avoir un cheval EN AVANT. Ce qui signifie que la décontraction, et donc la cession de machoire et de nuque et donc la légèreté à la main est PREALABLE A TOUTE CHOSE !! Le mouvement en avant ne vient qu'en SECOND lieu ! (c'est pas moi qui le dit, c'est l'Hotte).

Pour preuve, je vous mets l'extrait de "Questions Equestres", Général Alexis l'Hotte, relatif à la question :


Citation :
Buts à poursuivre

Ces buts peuvent s'exprimer en trois mots : calme, en avant, droit. Pour le cavalier peu habile, au lieu de droit, je dirai direction.

L'ordre, dans lequel ses trois buts doivent être poursuivis, est invariable, absolu, et il ne faut rechercher le suivant qu'après avoir atteint le précèdent.

Pour que le cheval puisse apprécier nos actions, y répondre avec justesse, il faut, avant tout, qu'il soit calme et confiant.

Chacun n'a qu'à faire appel à ses souvenirs, pour être assuré que tout travail entrepris sur un cheval irrité, impatient, inquiet, préoccupé de ce qui l'entoure ou en crainte de son cavalier, ne peut être que mauvais.

Ce premier but, comparé aux deux suivants, offre ceci de particulier qu'il doit être atteint complètement, quel que soit le degré de soumission qu'on veuille, par la suite, imposer au cheval.

Le cheval étant calme et confiant, il faut qu'il nous livre ses forces impulsives pour que nous puissions ensuite les exploiter.

La franchise de la marche en avant en est le premier témoignage et caractérise le but offert au cavalier qui ne veut soumettre son cheval qu'à peu d'exigence.

Le résultat sera obtenu, lorsqu'au premier appel des talons le cheval répondra en étendant son action, ses forces coulant et se maintenant en avant, sans que les mouvements gagnent sensiblement en élévation.

C'est ainsi que le cheval pourra être mis franchement dans le mouvement en avant, même en marchant au pas; tandis que les allures vives ne donneraient pas ce résultat, si le trot, au lieu d'être franc et délibéré, gagnait en hauteur plutôt qu'en étendue, et si, au lieu de s'étendre, en prenant le galop, le cheval revenait sur lui.

C'est donc dans la manière dont l'allure, qu'elle soit lente ou vive, se présente, et non dans les allures vives elles-mêmes que se trouve le témoignage que le cheval nous livre ses forces impulsives, et de façon à suffire aux exigences de l'équitation courante.

Mais, pour le cavalier qui a de hautes visées, le but ne sera atteint que du jour où, au cours de tout mouvement, dans toute situation, le cheval témoignera le désir de se porter en avant. Il doit en être ainsi, même du sauteur dans les piliers, et sans que , pour cela, il pousse sur les cordes qui le contiennent.

Tant que le cheval reste un instant sur les jambes, lorsqu'on veut le déterminer en avant, au lieu de se montrer coulant et comme insaisissable dans les jambes; tant que, dans la transition d'une allure vive au pas, il revient sur lui, ralentissant cette dernière allure, au lieu de l'activer aussitôt prise; tant que les hanches ne dévient pas sous la plus légère pression de l'un ou l'autre talon, que, dans la marche de deux pistes, la croupe est lourde paresseuse, et que le cheval marque un instant d'hésitation pour se porter droit devant lui; tant qu'il se couche dans ses voltes, ne passe pas instantanément de la volte sur les hanches, de la pirouette soit sur les épaules, soit sur les hanches, à la marche directe; tant qu'il marque un temps d'arrêt pour passer du reculer au mouvement en avant, qu'il ne se porte pas droit devant lui, sans y être sollicité, à l'instant même ou cessent les actions déterminant le reculer, le but n'est pas complètement atteint. Les hanches, ce foyer des forces impulsives, qui doivent s'animer, vibrer sous la plus légère pression des talons, ne sont pas suffisamment agissantes, diligentes, suivant l'expression de La Guérinière.

Dans le cours du travail, le jeu actif des hanches doit donc se montrer constant. Jamais les hanches ne doivent se présenter inertes, paresseuses, les forces se fixant sur elles.

Toujours le cavalier doit sentir les forces passer en avant, ou toutes disposées à le faire, si une autre direction leur était donnée.

La diligence des hanches a sa répercussion sur l'ensemble du cheval, dont elle provoque l'animation. Chez lui, tout s'enchaîne, et ses ressorts, dont aucun ne saurait demeurer inerte sans devenir un germe de résistance, se trouvent alors tous incités à se montrer vivants et à entrer en action au premier appel des aides.

Lorsque l'activité des hanches ne laissera plus rien à désirer, le cheval, par son attitude, et en toutes circonstances, semblera dire : “C'est en avant que je veux aller.”

Le fonctionnement parfait des forces impulsives ne peut évidemment être obtenu qu'à la longue, mais ce qui importe, dans la marche progressive du dressage, c'est que la préoccupation de l'impulsion prenne toujours le pas sur les exigences qui vont suivre.

Le cheval étant calme et nous livrant ses forces impulsives, il s'agit de les régir.

Ici, deux manières de faire se présentent, selon que le cavalier est plus ou moins habile.

Si le cavalier est peu habile, c'est par la répétition des changements de direction, et des mouvements en général, qu'il parviendra à plier le cheval à ses exigences.

Cette manière de faire doit aussi être employée par tout cavalier qui veut limiter le dressage à l'emploi usuel du cheval.

Par suite, il n'y a pas lieu de faire appel aux procédés qui ont en vue la perfection dans l'exécution.

Il importe surtout ici d'agir sur la masse, en établissant la balance entre les forces qui chassent en avant et celles qui modèrent.

Suivant la construction du cheval, le poids sera renvoyé là où il est nécessaire pour arriver à sa bonne distribution.

La régularité des allures en découlera et les changements de direction seront obtenus en engageant la masse, qui n'a guère à céder que dans son ensemble, dans la direction à suivre.

Les mouvements à envisager, étant simples, en petit nombre, ne comportent, par suite, que peu de modifications dans l'équilibre de la masse et n'exigent, par conséquent, qu'une flexibilité limitée des ressorts.

Il serait, dès lors, superflu de s'attarder dans l'exercice de procédés ayant en vue la complète soumission de tous les ressorts.

Le but sera atteint, du moment où, sans efforts marqués du cavalier, les forces déterminant le mouvement recherché l'emporteront sur les forces contraires; une position rigoureusement exacte n'étant pas à ambitionner ici.

Avec ce but en vue, s'il s'agit de marcher sur le droit, il importe peu au cavalier que l'encolure ou les hanches ne soient pas exactement sur la ligne à suivre, du moment où le cheval, dans son ensemble, n'en dévie pas.

Mais il en est autrement de l'écuyer qui veut mener loin son dressage. Pour lui, c'est sur la recherche du cheval rigoureusement droit, de la tête aux hanches, que doit reposer son travail.

En principe, la domination du cheval sera complète, du moment où le cavalier pourra placer, maintenir les différentes régions de l'animal dans une direction exactement déterminée et la reprendre avec facilité après tout mouvement exigeant que le cheval s'en écarte.

Or, la ligne droite, s'étendant de la tête aux hanches, a été choisie pour cette direction, non seulement parce qu'elle répond à la marche habituelle du cheval et sert de trait d'union pour relier les différents mouvements, mais encore parce qu'elle présente une base d'autant mieux assurée qu'elle n'admet pas de degrés comme la ligne courbe, qu'elle est une et déterminée de la manière la plus absolue.

En outre, lorsque le cheval est droit, les pieds de derrière suivant exactement les lignes tracées par les pieds de devant, il s'ensuit que les hanches et les épaules se présentent dans des conditions qui assurent la rectitude de leur jeu réciproque.

Les deux hanches fonctionnant également, la distribution du poids est régulière. Ses translations sont faciles, les forces qui émanent des deux bouts du cheval n'éprouvant dans leur jeu combiné aucune contradiction et fonctionnant toutes vers un but commun : la marche directe, pour laquelle le cheval se trouve alors accordé, ou, si l'on veut, ajusté, aligné, harmonisé; ces diverses expressions ayant toutes même signification.

Mais si, marchant sur le droit, les hanches sortent de la ligne suivie par les épaules, on voit disparaître, à la fois, le rapport harmonique qui existait entre les forces de l'arrière et de l'avant-main, la juste répartition du poids, l'égale facilité que présentaient les diverses directions à prendre, et l'on verra les hanches former arc-boutant en opposition aux épaules. Enfin, il en sera alors du cheval comme d'un instrument à cordes qui aurait perdu l'accord.

Dans le cours du travail, les positions commandant les différents mouvements seront d'autant plus juste qu'elles s'écarteront d'autant moins de la position droite. Moins l'écart sera sensible, plus parfaite sera l'exécution; plus facile deviendra la succession rapide des mouvements les plus variées, même contraires. C'est alors que, pour le spectateur, le cheval semblera se mouvoir avec la légèreté de l'oiseau.

Pour l'écuyer, tout travail juste, aisé et brillant, repose sur le cheval droit et les hanches vibrantes, donnant finalement ce résultat qui doit être constamment ambitionné : Le cheval allant et se maniant comme de lui-même.

Cette perfection d'exécution a pour point de départ -on ne saurait trop l'affirmer- la constance dans l'énergie de l'impulsion.

Si l'impulsion vient à faiblir, en même temps s'amoindrit le secours indispensable qu'elle doit donner aux procédés ayant en vue et le cheval droit et les positions commandant les différents mouvements.

Non seulement la base, sur laquelle ces procédés prennent leur appui, se trouve ainsi atteinte, mais encore, et tout naturellement, l'exécution qui suit subit les conséquences de l'affaiblissement de l'impulsion.

La marche perd alors de sa franchise pour devenir incertaine, douteuse, traînante. Les mouvements n'ont plus ni élasticité, ni éclat. Toute l'exécution devient molle et tardive.

D'une manière générale, les conséquences du manque d'impulsion s'étendent à toutes les actions du cheval, qui ne se présentent plus qu'appauvries, à tous ses moyens de conduite, quels qu'ils soient, et qui bientôt ne trouveront même plus sur quoi s'exercer.

Pour tout dire en deux mots : plus d'impulsion, plus de cheval.

Il est à remarquer que la recherche de la position droite, comportant le redressement de toutes les fausses inflexions et inclinaisons qui peuvent se produire de la tête aux hanches, tarit, par cela même, les principales sources de résistances que les ressorts peuvent présenter.



A bon entendeur

Saltimbanco

Expert
   

Trust : 2  (?)


  Mon site internet
  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 658
0 j'aime    
"calme, en avant, droit"
Posté le 04/12/2009 à 11h31

Lorsque vous demander votre "cession de nuque" optenue à l'arret, qui devien un geste reflex, vous interprétez comme un geste de décontraction? Moi je l'interprete comme un geste de soumission. Ce geste vous l'optenez par imposition...?



Pour répondre à cette question, je dirai que personnellement la cession de la nuque ne doit intervenir qu'après la cession de la machoire. Si la nuque cède avant la machoire, la base d'encolure n'est plus fixe. Ce sujet est traité dans l'ouvrage "Réflexions sur l'Art Equestre" du Maître Oliveira; chapitre "les flexions de mâchoires".

Kika

Initié
 

Trust : 12  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 180
0 j'aime    
"calme, en avant, droit"
Posté le 04/12/2009 à 12h00


titou, a écrit le 04/12/2009 à 11h20:

Ne vous inquiétez pas, Olivier2 et "Z" vont certainement se charger de le faire vivre; il est manifeste qu'ils ont plein d'idées (reçues) sur le sujet et ne manqueront pas de vous faire partager leur longue expérience en "la matière de l'art de mener un cheval" (M De La Guérinière)


justement, ce ne sont pas ces idées reçues qui vont me faire avancer...

Olivier2

Expert
   

Trust : -  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 718
0 j'aime    
"calme, en avant, droit"
Posté le 04/12/2009 à 13h59

Baucher considerait en effet que cette double soumission " amenerait l'assouplissement des muscles releveurs de l'encolure " et donc il y aurait un effet d'affaissement de cette même encolure , et à terme la décontraction ...

mais une fois encore , pour que cet affaissement produise une décontraction du dos du cheval , seule les attaques telles que baucher les pratiquait peuvent produire ce résultat . vous pouvez affaisser ce que vous voulez dans la nuque en continuant à avoir un dos rigide , l'inflexion de l'arriere main aura toujours le dessus sur vous et re-contractera tranquillement la nuque puis la machoire ..

et vous entrerez dans le cercle vicieux que la cession demandera de plus en plus de cession , si bien que vous voyez les baucheristes - demander la cession toutes les trois foulées et meme certains , à chaque pas , c'est bien logique vu la rigidité non maitrisée du dos de leur cheval .

mais la rigidité du dos , naturelle chez tous les chevaux ,seule l'épaule en dedans en viendra à bout , et pour avoir l'épaule en dedans , il faut la leçon de l'appui et la leçon du demi arret , le vrai bien sur , pas celui de Baucher .




Edité par olivier2 le 04-12-2009 à 14h01



Saltimbanco

Expert
   

Trust : 2  (?)


  Mon site internet
  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 658
0 j'aime    
"calme, en avant, droit"
Posté le 04/12/2009 à 14h03

Sincèrement je comprend rien à vos explications et je ne suis même pas sûr que vous vous compreniez vous même. Je vois également que vous êtes comme les politiques: on vous pose une question et vous répondez à côté.

Olivier2

Expert
   

Trust : -  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 718
0 j'aime    
"calme, en avant, droit"
Posté le 04/12/2009 à 14h09

Quand on comprend parfaitement La Guerinière , il n'y a pas grand chose qui vous échappe en equitation

et Baucher c'est tout sauf compliqué ... c'est meme tellement simple que cela en est simpliste ...

Saltimbanco

Expert
   

Trust : 2  (?)


  Mon site internet
  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 658
0 j'aime    
"calme, en avant, droit"
Posté le 04/12/2009 à 14h14

Alors considérez que je suis simplet. Nous attendons toujours vos photos démontrant l'extrême justesse de votre pratique. Au minimum un Piaffer, juste et dans la droite ligne de la Guérinière. Nota: le demi-arrêt prescrit par la Guérinière étant très loin de la demi-parade Allemande que je vous suspecte de pratiquer.

Saltimbanco

Expert
   

Trust : 2  (?)


  Mon site internet
  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 658
0 j'aime    
"calme, en avant, droit"
Posté le 04/12/2009 à 14h26

Vous êtes vexé?

Cyriline

Membre VIP
  

Trust : -  (?)


  Mon site internet
  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 4583
0 j'aime    
"calme, en avant, droit"
Posté le 04/12/2009 à 14h35

[/color]Pour répondre à cette question, je dirai que personnellement la cession de la nuque ne doit intervenir qu'après la cession de la machoire. Si la nuque cède avant la machoire, la base d'encolure n'est plus fixe.[color=Blue]

Nous sommes d'accord, la cession de nuque arrive après la décontraction...Obtenue par la cession de machoire, elle même obtenue suite à la décontraction de l'ensemble de la ligne du dessus, encolure comprise.(mais sa c'est juste mon point de vue)

Saltimbanco

Expert
   

Trust : 2  (?)


  Mon site internet
  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 658
0 j'aime    
"calme, en avant, droit"
Posté le 04/12/2009 à 14h39


saltimbanco a écrit le 04/12/2009 à 14h14:
Alors considérez que je suis simplet. Nous attendons toujours vos photos démontrant l'extrême justesse de votre pratique. Au minimum un Piaffer, juste et dans la droite ligne de la Guérinière. Nota: le demi-arrêt prescrit par la Guérinière étant très loin de la demi-parade Allemande que je vous suspecte de pratiquer.



je traduis pour ceux qui ne connaîtrais pas la différence entre demi arrêt et demi parade: demi arrêt; action vers le haut
demi parade; mot poétique qui désigne le fait de tirer

Olivier2

Expert
   

Trust : -  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 718
0 j'aime    
"calme, en avant, droit"
Posté le 04/12/2009 à 14h55

le demi arret chez la Guerinière est parfaitement décrit dans l'ecole de cavalerie , il y a rien d'autre à y rajouter .

Saltimbanco

Expert
   

Trust : 2  (?)


  Mon site internet
  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 658
0 j'aime    
"calme, en avant, droit"
Posté le 04/12/2009 à 14h58

Et pour cause puisqu'il s'agit de son ouvrage.

Saltimbanco

Expert
   

Trust : 2  (?)


  Mon site internet
  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 658
0 j'aime    
"calme, en avant, droit"
Posté le 04/12/2009 à 15h05

Bon j'arrête, car manifestement c'est stérile et vous n'êtes pas capable d'étayer vos dire. Je présente mes excuses à l'auteur de ce post, qui a proposé un sujet intéressant mais qui a malheureusement dévié. Si d'autres souhaitent reprendre ce serait parfait.

Olivier2

Expert
   

Trust : -  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 718
0 j'aime    
"calme, en avant, droit"
Posté le 04/12/2009 à 15h09

alors vous pouvez vous y référer , le demi arret y est décrit - et tout ce qu'il faut savoir sur le demi arret y est dit ..

Olivier2

Expert
   

Trust : -  (?)



  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 718
0 j'aime    
"calme, en avant, droit"
Posté le 04/12/2009 à 15h13

mec vous mélangez tout et faites votre sauce .C'est votre histoire , elle n'interesse que vous

le demi arret c'est le demi arret , il est dans l'ecole de cavalerie .
il permet d'aborder la leçon de l'épaule en dedans , la souplesse vient de la leçon de l'épaule en dedans - elle permet de travaller l'appui . Point .

Saltimbanco

Expert
   

Trust : 2  (?)


  Mon site internet
  M'écrire un MP

Genre : 
Messages : 658
0 j'aime    
"calme, en avant, droit"
Posté le 04/12/2009 à 15h14

vous êtes vraiment frustré.
Page(s) : 1 ... 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26
"calme, en avant, droit"
 Répondre au sujet