"calme, en avant, droit"

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Valombre

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"calme, en avant, droit"
Posté le 25/11/2009 à 08h44

Oui, parce qu'il y en a marre de voir cette grande vérité équestre déformée et détournée par quelques trouffions à Saumur.

Parce que j'ai un immense respect pour le Général l'Hotte, qui a été à mon avis un des plus grands écuyers de l'histoire.

La doctrine de Saumur, c'est "En avant, Calme, Droit".

MAIS, le général l'Hotte ne l'a JAMAIS prononcée ainsi. JA-MAIS !!!!! Alors, pitié, arrêtez de déformer. Alexis l'Hotte l'a en effet énoncé : "CALME, En avant, Droit". CALME en premier, et certainement pas 'En avant'. L'ordre a une grande importance, et l'Hotte insiste lourdement sur cet ordre, car ON NE PEUT PAS PASSER A L'ETAPE D'APRES AVANT QUE L'ETAPE PRECEDENTE NE SOIT ACQUISE (d'après l'Hotte). On DOIT donc avoir un cheval CALME avant d'avoir un cheval EN AVANT. Ce qui signifie que la décontraction, et donc la cession de machoire et de nuque et donc la légèreté à la main est PREALABLE A TOUTE CHOSE !! Le mouvement en avant ne vient qu'en SECOND lieu ! (c'est pas moi qui le dit, c'est l'Hotte).

Pour preuve, je vous mets l'extrait de "Questions Equestres", Général Alexis l'Hotte, relatif à la question :


Citation :
Buts à poursuivre

Ces buts peuvent s'exprimer en trois mots : calme, en avant, droit. Pour le cavalier peu habile, au lieu de droit, je dirai direction.

L'ordre, dans lequel ses trois buts doivent être poursuivis, est invariable, absolu, et il ne faut rechercher le suivant qu'après avoir atteint le précèdent.

Pour que le cheval puisse apprécier nos actions, y répondre avec justesse, il faut, avant tout, qu'il soit calme et confiant.

Chacun n'a qu'à faire appel à ses souvenirs, pour être assuré que tout travail entrepris sur un cheval irrité, impatient, inquiet, préoccupé de ce qui l'entoure ou en crainte de son cavalier, ne peut être que mauvais.

Ce premier but, comparé aux deux suivants, offre ceci de particulier qu'il doit être atteint complètement, quel que soit le degré de soumission qu'on veuille, par la suite, imposer au cheval.

Le cheval étant calme et confiant, il faut qu'il nous livre ses forces impulsives pour que nous puissions ensuite les exploiter.

La franchise de la marche en avant en est le premier témoignage et caractérise le but offert au cavalier qui ne veut soumettre son cheval qu'à peu d'exigence.

Le résultat sera obtenu, lorsqu'au premier appel des talons le cheval répondra en étendant son action, ses forces coulant et se maintenant en avant, sans que les mouvements gagnent sensiblement en élévation.

C'est ainsi que le cheval pourra être mis franchement dans le mouvement en avant, même en marchant au pas; tandis que les allures vives ne donneraient pas ce résultat, si le trot, au lieu d'être franc et délibéré, gagnait en hauteur plutôt qu'en étendue, et si, au lieu de s'étendre, en prenant le galop, le cheval revenait sur lui.

C'est donc dans la manière dont l'allure, qu'elle soit lente ou vive, se présente, et non dans les allures vives elles-mêmes que se trouve le témoignage que le cheval nous livre ses forces impulsives, et de façon à suffire aux exigences de l'équitation courante.

Mais, pour le cavalier qui a de hautes visées, le but ne sera atteint que du jour où, au cours de tout mouvement, dans toute situation, le cheval témoignera le désir de se porter en avant. Il doit en être ainsi, même du sauteur dans les piliers, et sans que , pour cela, il pousse sur les cordes qui le contiennent.

Tant que le cheval reste un instant sur les jambes, lorsqu'on veut le déterminer en avant, au lieu de se montrer coulant et comme insaisissable dans les jambes; tant que, dans la transition d'une allure vive au pas, il revient sur lui, ralentissant cette dernière allure, au lieu de l'activer aussitôt prise; tant que les hanches ne dévient pas sous la plus légère pression de l'un ou l'autre talon, que, dans la marche de deux pistes, la croupe est lourde paresseuse, et que le cheval marque un instant d'hésitation pour se porter droit devant lui; tant qu'il se couche dans ses voltes, ne passe pas instantanément de la volte sur les hanches, de la pirouette soit sur les épaules, soit sur les hanches, à la marche directe; tant qu'il marque un temps d'arrêt pour passer du reculer au mouvement en avant, qu'il ne se porte pas droit devant lui, sans y être sollicité, à l'instant même ou cessent les actions déterminant le reculer, le but n'est pas complètement atteint. Les hanches, ce foyer des forces impulsives, qui doivent s'animer, vibrer sous la plus légère pression des talons, ne sont pas suffisamment agissantes, diligentes, suivant l'expression de La Guérinière.

Dans le cours du travail, le jeu actif des hanches doit donc se montrer constant. Jamais les hanches ne doivent se présenter inertes, paresseuses, les forces se fixant sur elles.

Toujours le cavalier doit sentir les forces passer en avant, ou toutes disposées à le faire, si une autre direction leur était donnée.

La diligence des hanches a sa répercussion sur l'ensemble du cheval, dont elle provoque l'animation. Chez lui, tout s'enchaîne, et ses ressorts, dont aucun ne saurait demeurer inerte sans devenir un germe de résistance, se trouvent alors tous incités à se montrer vivants et à entrer en action au premier appel des aides.

Lorsque l'activité des hanches ne laissera plus rien à désirer, le cheval, par son attitude, et en toutes circonstances, semblera dire : “C'est en avant que je veux aller.”

Le fonctionnement parfait des forces impulsives ne peut évidemment être obtenu qu'à la longue, mais ce qui importe, dans la marche progressive du dressage, c'est que la préoccupation de l'impulsion prenne toujours le pas sur les exigences qui vont suivre.

Le cheval étant calme et nous livrant ses forces impulsives, il s'agit de les régir.

Ici, deux manières de faire se présentent, selon que le cavalier est plus ou moins habile.

Si le cavalier est peu habile, c'est par la répétition des changements de direction, et des mouvements en général, qu'il parviendra à plier le cheval à ses exigences.

Cette manière de faire doit aussi être employée par tout cavalier qui veut limiter le dressage à l'emploi usuel du cheval.

Par suite, il n'y a pas lieu de faire appel aux procédés qui ont en vue la perfection dans l'exécution.

Il importe surtout ici d'agir sur la masse, en établissant la balance entre les forces qui chassent en avant et celles qui modèrent.

Suivant la construction du cheval, le poids sera renvoyé là où il est nécessaire pour arriver à sa bonne distribution.

La régularité des allures en découlera et les changements de direction seront obtenus en engageant la masse, qui n'a guère à céder que dans son ensemble, dans la direction à suivre.

Les mouvements à envisager, étant simples, en petit nombre, ne comportent, par suite, que peu de modifications dans l'équilibre de la masse et n'exigent, par conséquent, qu'une flexibilité limitée des ressorts.

Il serait, dès lors, superflu de s'attarder dans l'exercice de procédés ayant en vue la complète soumission de tous les ressorts.

Le but sera atteint, du moment où, sans efforts marqués du cavalier, les forces déterminant le mouvement recherché l'emporteront sur les forces contraires; une position rigoureusement exacte n'étant pas à ambitionner ici.

Avec ce but en vue, s'il s'agit de marcher sur le droit, il importe peu au cavalier que l'encolure ou les hanches ne soient pas exactement sur la ligne à suivre, du moment où le cheval, dans son ensemble, n'en dévie pas.

Mais il en est autrement de l'écuyer qui veut mener loin son dressage. Pour lui, c'est sur la recherche du cheval rigoureusement droit, de la tête aux hanches, que doit reposer son travail.

En principe, la domination du cheval sera complète, du moment où le cavalier pourra placer, maintenir les différentes régions de l'animal dans une direction exactement déterminée et la reprendre avec facilité après tout mouvement exigeant que le cheval s'en écarte.

Or, la ligne droite, s'étendant de la tête aux hanches, a été choisie pour cette direction, non seulement parce qu'elle répond à la marche habituelle du cheval et sert de trait d'union pour relier les différents mouvements, mais encore parce qu'elle présente une base d'autant mieux assurée qu'elle n'admet pas de degrés comme la ligne courbe, qu'elle est une et déterminée de la manière la plus absolue.

En outre, lorsque le cheval est droit, les pieds de derrière suivant exactement les lignes tracées par les pieds de devant, il s'ensuit que les hanches et les épaules se présentent dans des conditions qui assurent la rectitude de leur jeu réciproque.

Les deux hanches fonctionnant également, la distribution du poids est régulière. Ses translations sont faciles, les forces qui émanent des deux bouts du cheval n'éprouvant dans leur jeu combiné aucune contradiction et fonctionnant toutes vers un but commun : la marche directe, pour laquelle le cheval se trouve alors accordé, ou, si l'on veut, ajusté, aligné, harmonisé; ces diverses expressions ayant toutes même signification.

Mais si, marchant sur le droit, les hanches sortent de la ligne suivie par les épaules, on voit disparaître, à la fois, le rapport harmonique qui existait entre les forces de l'arrière et de l'avant-main, la juste répartition du poids, l'égale facilité que présentaient les diverses directions à prendre, et l'on verra les hanches former arc-boutant en opposition aux épaules. Enfin, il en sera alors du cheval comme d'un instrument à cordes qui aurait perdu l'accord.

Dans le cours du travail, les positions commandant les différents mouvements seront d'autant plus juste qu'elles s'écarteront d'autant moins de la position droite. Moins l'écart sera sensible, plus parfaite sera l'exécution; plus facile deviendra la succession rapide des mouvements les plus variées, même contraires. C'est alors que, pour le spectateur, le cheval semblera se mouvoir avec la légèreté de l'oiseau.

Pour l'écuyer, tout travail juste, aisé et brillant, repose sur le cheval droit et les hanches vibrantes, donnant finalement ce résultat qui doit être constamment ambitionné : Le cheval allant et se maniant comme de lui-même.

Cette perfection d'exécution a pour point de départ -on ne saurait trop l'affirmer- la constance dans l'énergie de l'impulsion.

Si l'impulsion vient à faiblir, en même temps s'amoindrit le secours indispensable qu'elle doit donner aux procédés ayant en vue et le cheval droit et les positions commandant les différents mouvements.

Non seulement la base, sur laquelle ces procédés prennent leur appui, se trouve ainsi atteinte, mais encore, et tout naturellement, l'exécution qui suit subit les conséquences de l'affaiblissement de l'impulsion.

La marche perd alors de sa franchise pour devenir incertaine, douteuse, traînante. Les mouvements n'ont plus ni élasticité, ni éclat. Toute l'exécution devient molle et tardive.

D'une manière générale, les conséquences du manque d'impulsion s'étendent à toutes les actions du cheval, qui ne se présentent plus qu'appauvries, à tous ses moyens de conduite, quels qu'ils soient, et qui bientôt ne trouveront même plus sur quoi s'exercer.

Pour tout dire en deux mots : plus d'impulsion, plus de cheval.

Il est à remarquer que la recherche de la position droite, comportant le redressement de toutes les fausses inflexions et inclinaisons qui peuvent se produire de la tête aux hanches, tarit, par cela même, les principales sources de résistances que les ressorts peuvent présenter.



A bon entendeur

Fouinix

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Posté le 06/12/2009 à 11h15

Moi j'aime bien, des aides discrètes ..

Soffad

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Posté le 06/12/2009 à 12h25


magdu84 a écrit le 06/12/2009 à 10h23:


Je ne suis pas spécialiste de cette équitation et donc je ne m'aventurerais pas a juger...

Ce que je peux dire...pour moi, c'est un plaisir de regarder ça...
Léger..aérien...souple..en équilibre sur les hanches...

Et de plus, je me plais a observer la position des mains que je préconnise a tout bout de champ dans mes écrits: " Hautes avec l'angle bras/avant bras pratiquement a angle droit...

Peut être y a t'il des défauts techniques (pas qualifié pour en parler) mais j'ai envie de dire que si oui...je m'en moque (envie seulement, puisque la technique en tout prévaut)

De toute façon, il me semble que ce cheval est totalement a l'écoute de son cavalier et super bien dressé car le journal qui arrive dans ses jambes et qui ne le fait même pas tressaillir...chapeau....

Au sujet du Ct Beudant, je crois que c'est le seul qui apres avoir dressé le cheval lui faisait faire les airs de Haute Ecole avec un seul fil de laine pour remplacer les rênes !!!

Fouinix

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Posté le 06/12/2009 à 13h23

Oliveira avait fait une démonstration, il faisait piaffer son cheval avec un fil de soie.

Soffad

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Posté le 06/12/2009 à 14h01


fouinix a écrit le 06/12/2009 à 13h23:
Oliveira avait fait une démonstration, il faisait piaffer son cheval avec un fil de soie.

Nous sommes quand même bien "petitou" face a ses "monstres sacrés" !!!!!!

Fouinix

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Posté le 06/12/2009 à 15h19

oui

Saltimbanco

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"calme, en avant, droit"
Posté le 06/12/2009 à 15h45


fouinix a écrit le 06/12/2009 à 13h23:
Oliveira avait fait une démonstration, il faisait piaffer son cheval avec un fil de soie.


Oui, il s'agissait de Corsario un Alter Réal. Mais il faut bien comprendre que c'était pour une présentation et non une finalité. Oliveira est sans conteste possible le plus grand écuyer du XX siècles. Pour ceux qui ne connaissent pas, il y a un film sorti par Laurent Desprez qui est superbe: L'écuyer du XX siècles. Il est dispo sur amazone et sur cavalivres.

Valombre

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"calme, en avant, droit"
Posté le 06/12/2009 à 18h32

Je suis content que ce post soit revenu à des moeurs plus saines

Merci Tanit, Saltimbanco, Mag, et les autres qui l'ont permis

Fouinix, j'ai écrit à Mr. Patrice FRANCHET d'ESPEREY au sujet de l'inversion dans la doctrine de l'ENE, comme tu me l'avais sagement conseillé.

Argamak

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"calme, en avant, droit"
Posté le 06/12/2009 à 18h39

Me revoilà... merci Mag et merci de vos commentaires
c'est rare de voir un Akhal téké faire du dressage, qui plus est avec une encolure en col de cygne (comme le très très grande majorité) et pourtant il est brillant, même si défaut technique il y a! 3 fois médaillé 1 en Or à Rome, 2 en bronze, 12 années d'affilée! c'est clair qu'on est loin d'Anky et ses Rolkur!!!!!
Voilà l'ancêtre le plus connu de mon ex bébé! le père de cet étalon Absent, l'étalon Arab a été détenteur pendant un bon moment du record sénior de puissance 2m15 du haut de ses petits 1m55 et de ses 18 ans! bon voui avec les gigantesques SF et autre BWP, il ferait figure de nain et c'est courant maintenant des sauts de puissances à cette hauteur...
voilà j'espère vous avoir fait découvrir les tékés sous cet angle et un peu de dressage avec des chevaux à conformation "difficile"! regardez le petites images, les appuyers d'Absent sont tous simplement hallucinants !! (dommage que je ne puisse les agrandir!)
en tous cas merci de vos commentaires

Cesarioclaude

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Posté le 06/12/2009 à 21h20


fouinix a écrit le 06/12/2009 à 13h23:
Oliveira avait fait une démonstration, il faisait piaffer son cheval avec un fil de soie.

oui c est vrai mais depuis il y a eu Roland Bossard avec un percheron au piaffer foulard autour du cou ,Lucien Gruss avec son portuguais Ladzao .Patricia pellen etc

Soffad

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Posté le 06/12/2009 à 23h41


cesarioclaude a écrit le 06/12/2009 à 21h20:

oui c est vrai mais depuis il y a eu Roland Bossard avec un percheron au piaffer foulard autour du cou ,Lucien Gruss avec son portuguais Ladzao .Patricia pellen etc

Autrement dit, la Haute Ecole c'est devenu ce qu'il y a de plus "banal"....
Je suis extrèmement déçu !!!!

Cesarioclaude

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"calme, en avant, droit"
Posté le 07/12/2009 à 08h50


soffad a écrit le 06/12/2009 à 23h41:

Autrement dit, la Haute Ecole c'est devenu ce qu'il y a de plus "banal"....
Je suis extrèmement déçu !!!!

non ce n est pas ce que je voulais dire au contraire
juste que certains cavaliers doués pouvais faire une démonstration comme cela avec un fil de laine ou autre ,ce n est qune finalité et pourtant ils n ont rien a voire avec les Grands Maîtres qui pratiquent la belle Équitation .j ai eu la chance de voire C Henriquet dérouler une reprise de toute beauté en licol

Soffad

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"calme, en avant, droit"
Posté le 07/12/2009 à 08h59

je comprend votre raisonnement...
Je pense que ce n'est pas d'exécuter avec un fil de laine qui est l'exploit mais le dressage en amont qui permet cela...

Olivier2

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Posté le 07/12/2009 à 09h29

Dans l'école de cavalerie je serais sincèrement vivement interessé à savoir ou sont les gorges de pigeon ...


Edité par olivier2 le 08-12-2009 à 17h42



Saltimbanco

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"calme, en avant, droit"
Posté le 07/12/2009 à 09h41

Cher Olivier2 et afin de ne pas faire repartir ce forum en "Brioche", si vous souhaitez débattre avec moi faites le par MP. Je vous remercie par avance de votre civisme.

Olivier2

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Posté le 07/12/2009 à 10h06

... ne voudriez vous pas parler de civilité ... car vouloir sortir le débat du Forum qui est le lieu d'échanges des citoyens , pour le limiter à la sphère privée , et au nom du civisme , priver le citoyen de sa capacité d'influer sur la sphère publique , serait de la tyrannie ...

or dans la démocratie, du moins comme l'entendait Montesquieu , la culture est affaire de tous .

le texte de l'ecole de cavalerie est complexe , mais les chevaux qui sont représentés dans les allures parfaites , sont effectivement dans des allures parfaites - en rapport de leur nature - Et les gravures ont vocation d'exemplarité . Elles sont diificiles à déchiffrer , mais on peut leur faire confiance , elles ont bien été faites pour diffuser les lumières sur l'art equestre . Et autant hier qu'aujourd'hui elles conservent toute leur complexité et leur utilité .
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