|  | Ah, mais je ne me plains pas des insultes ! Je me "plains" (et pas en venant ici, mais puisque tu me lances...) du fait que la plupart des personnes qui m'écrivent pour m'insulter ne sachent pas écrire... et me parlent trois lignes plus bas de "respect".
Je venais plus pour répondre à ceux qui se demandaient les motivations de la création de ce type de pages, que pour me faire féliciter. |
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Là, je ne peux que te rejoindre sur ce fait, tu es bien plus crédible dans ta démarche que ceux qui t'insultent sans être capable d'aligner deux mots dans un français correct.
Je n'ai rien contre la viande de cheval, en mange qui le souhaite. Pour moi, le cheval de trait qui vit sans contact avec l'homme, comme les vaches destinées à la consommation, cela ne me choque pas qu'ils aillent à l'abattoir.
Ils sont traités comme les vaches ou les cochons, ni mieux ni pire. C'est une égalité pour les animaux de "viande".
La seule chose qui me désole, ce sont les chevaux de selle qui partent encore à l'abattoir. Quand un cheval a servi l'humain comme un "compagnon", je trouve ça médiocre de notre part de lui donner une fin au couteau.
Mais parfois, quand on voit certains chevaux mourir de faim, dans une maigreur alarmante, abandonnés au fin fond de leur pré, je me dis que la boucherie est encore un salut moins cruel.
Bref, je pense que tu peux comprendre ce point de vue que j'énonce. Manger un cheval dont le destin est d'être mangé, pourquoi pas ? Ce n'est pas un crime. Mais manger un animal (cheval, vache ou mouton) qui a été un compagnon pendant des années, j'ai déjà plus de réserve à ce sujet.
Par contre, comme cela a été répété, ce sont les conditions de transport qu'il faut à tout prix soumettre à des contrôles réguliers et des peines à imposer si les règles d'hygiène et de confort ne sont pas respectées. Que ce soit pour le transport de chevaux, de vaches, de cochons ou de moutons, ou quoi que ce soit d'autre.