melye
C'est comparable ni à l'un ni à l'autre
Déjà parce qu'il n'y a pas une seule aiguille mais plusieurs
L'encre (Sauf certaines couleurs plus épaisses comme le blanc) ne fait pas mal
On ne pique pas aussi profond que pour un vaccin ou une prise de sang
C'est pas tant l'aiguille qui fait mal, fin si mais c'est la répétition
La peau chauffe, s'irrite et forcément repasser sur une peau déjà à vif crée de la douleur d'où le conseil de commencer par une petite pièce sans trop de détails/remplissage
Après chacun a ses propres sensations je n'ai aucun soucis avec les tracés (contours) par contre je crains plus la couleur et les remplissage alors que c'est réalisé moins en profondeur
Ça se discute aussi avec le tatoueur d'où le fait de bien communiquer avec mais personne n'est obliger de tenir coûte que coûte si l'on a très mal
Certains se font tatouer par petites séances justement parce qu'ils ne tiennent pas la douleur
Il vaut mieux prévenir et que le tatoueur s'organise plutôt que de ne rien rien de ne pas tenir et de lui faire perdre du temps.
Parce que tous les tatoueurs n'ont pas forcément la même vitesse d'exécution non plus
Celui qui m'a fait le haut de mon bras prend beaucoup de temps est super minutieux et fait de très longues séances
Celle qui m'a fait mon avant bras est beaucoup plus rapide et pour se préserver ne fait pas des séances de plus de 4h (mine de rien c'est aussi éprouvant pour eux, bruits, vibrations, contorsions suivant l'endroit, concentration etc . . .)
Après je ne sais pas si je suis maso mais pour moi tout ça fait parti d'un processus, c'est quelques choses que l'on est sensé garder toute notre vie, c'est normal que ce soit long et finalement un peu douloureux dans le sens où ça se mérite
Quand je dis ça je ne dis pas que l'on doit atrocement souffrir hein et qu'au plus on a mal au plus on mérite son tattoo mais que c'est plus complexe que de juste se coller un décalcomanie
et puis bah non en fait, franchement je l'avais raconté, mais le pire pour moi, c'était clairement le passage du sopalin pour essuyer le surplus d'encre. Un enfer, ça, sur la fin.
... Qu'est ce que j'ai souffert ! Je n'aurais pas cru être si sensible du dos ! 
