coucou tout le monde je suis reviendue après 2 jours de bringasse ! !
alors on va commencer avec l'histoire du soutif puisque je vous la promet depuis un moment, chose promise, chose due
Mon homme venant de quitter l’armée, ses collègues lui ont fait cadeau d’une jolie selle avec sangle en coton pour pouvoir sortir à cheval. Au plus tôt nous avons essayé la jolie selle sur la jument du nom d’Izar et moi j’ai équipé ma mamie (Vega) avec ma selle western.
Nous n’avions pas encore pris de cours et grands débutants nous avons commencé notre balade au pas, mais à force ça devient lassant et pour faire avancer mamie j’ai voulu attraper ma cravache qui était dans ma shaps, mais d’une fausse manœuvre la cravache est partie comme une flèche en frôlant les oreilles de mamie qui d’un coup à pris le galop suivie par Izar, sauf que quelques mètres plus loin lorsque j’ai arrêté Vega et descendue pour récupérer ma cravache, Izar a continué son galop et en me doublant j’ai pu voir mon homme accroché à l’encolure de sa jument avec les jambes qui marquaient 6h00 à l’horloge………… une jambe en l’air et l’autre au ras du sol en équilibre au galop, très fort pour un débutant. Quelques mètres plus loin la jument s’est arrêtée et après être descendu nous avons pu constater que la sangle n’était pas à la bonne taille et bien trop grande puisqu’avec la transpiration le coton était détendu.
Nous décidons donc de rentrer au pas mais en longeant un pré cultivé, je voyais bien que Vega était méfiante, mais j’ai mis ça sur le fait qu’Izar n’avançait pas préférant brouter que d’allonger le pas. Après avoir contourné le champ, Izar s’apercevant que la copine s’était éloignée a voulu couper à travers pour la rejoindre, mais un fil électrique entourait le pré et prenant le jus notre Izar à pilé sec, débarquant son cavalier pour repartir dans l’autre sens plein galop, la selle sur le ventre, explosant l’étrivière qui lui pendant entre les pattes, pour s’arrêter un peu plus loin lorsque le câble électrique avait fini de lui chatouiller les pieds. Mais à l’autre bout du champ, j’ai vu la scène avec le fameux câble revenir vers moi à toute vitesse… Je décide de descendre de cheval au cas où ma jument ferait comme sa copine – débutante en monte western comme tout autre chose- je me suis trop penchée sur la selle pour passer ma jambe et descendant d’un bond je me suis retrouvée pendue au pommeau par le soutien-gorge renforcé spécial cheval, comme un jambon au plafond du charcutier ! ! Ma jument dansait d’un pied sur l’autre le câble enroulé autour de son antérieur, mais restait sur place et moi j’entendais les craquements sinistres du soutien-gorge sous les secouades répétées, sur la pointe des pieds je n’arrivais ni à me décrocher ni à remonter, donc je sautais moi aussi essayant à chaque fois de faire passer le pommeau par où il était passé ………………….. je ne sais pas par quel miracle à un moment tout s’est arrêté, la jument était calme et j’ai pu récupérer mon attirail, mais en arrivant vers moi, une fois qu’il avait récupéré sa jument, mon homme m’a demandé si je voulais rentrer comme ça ! ! ! mon tee-shirt s’était étiré à l’endroit de la prise on aurait dit un bec de pélican, il ne s’était pas déchiré contrairement au soutif qui pendait lamentablement j’avais une dégaine horrible. Malgré la chaleur (en juin) j’ai remis mon pull sur le tee-shirt pour éviter que les voisins de pré des chevaux ne voient se triste décors et nous sommes rentrés directement au pré en se promettant de changer cette sangle au plus tôt.
Vala vala défense de rire sioux plait