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Vos conneries a cheval
Posté le 20/08/2010 à 14h49
- accepter de monter la PS réformée des courses qu'une copine venait d'acheter au collège. elle galop 5, moi galop 1, la jument arrive, descend de son van, elle veut l'essayer de suite... Bon, jeunes, connes et inconscientes des risques, on la selle, et là, la copine qui se tourne vers moi : "j'ai peur de la monter, tu veux la prendre en premier"
Comme une cruche je monte dessus, pas le temps d'achever le mouvement que la jument démarre, plein gaz dans la cour (grande heureusement, mais pleine d'arbre), j'ai du resté 2 minute max dessus, avant qu'une branche vienne me cueillir au vol... (elle l'a monté 6 mois, s'est faite peur = fracture, et l'a laissé au pré depuis, la jument n'a plus jamais retravaillé de sa vie... Pourtant, un caractère en or en main, mais ultra chaude sous la selle)
- toujours la même jument, on part en balade vélo - cheval, c'est mon tour de monter, un peu de pas, je demande le trot, elle part au galop, course contre son ombre sur une petite départementale... 10mn pour l'arrêter, jamais eu aussi mal aux doigts de ma vie... Et les automobilistes qui nous lançaient des regards furieux et nous traitaient de folles... (au mieux ! ) tu m'étonnes !
J'ai enfin compris ce jour là que les réformés, c'était pas à un galop 1 de les monter, mais il m'aura fallu du temps...
- Une ballade avec Zizouille et une copine, en hiver. On se décide pour une balade dont le parcours n'était pas forcément connu, mais joueuses, on tente... bien sur, on se perd, et la nuit tombe. On retrouve enfin notre chemin, et la, plus que 2 options, une grande pente bien raide de 500m, ou une montée bien plus cool de 3 km. La nuit étant arrivée, on se décide pour la pente raide... grosse erreur, on avait oublié qu'ele était faite de boue, de cailloux et d'eau... Et sous l'effet du froid hivernal = verglas.
Sa jument tombe arrivée au milieu de la pente, glisse dans les jambes du mien, qui se met à genoux. La copine tente de se relever, se gamelle, se releve, se regamelle, et se releve enfin. Sa jument met un petit moment, mais parvient enfin à se relever, et moi pendant ce temps, j'étais descendue, et n'était pas non plus resté sur mes jambes. Je lui hurle de lacher les rênes, les chevaux montent sans nous, on les suit tant bien que mal, et ils nous attendaient en broutant... On a eu enormement de chance ce jour là, PERSONNE de blessé, je n'y croyais pas !! Ils ont eu droit à un pansage du tonnerre, et nous à un sermon paternaliste du gérant de la pension, mort d'inquiétude devant notre retard...
La prochaine fois, je rallonge la balade de 3 KM...