sof75 a écrit le 22/04/2011 à 11h59: |
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le probleme c'est qu'avec un particulier il faut prouver qu'il était au courant que le soit disant vice existait sinon il n'y a rien de caché et en droit français la bonne fois est présumée
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tout comme avec un pro!
ici il est question d'allergie, que le vendeur soit pro ou pas, c'est pareil, pas possible de prouver que c'est un soucis anterieur a la vente.
je connais des particuliers n'ayant pas eu gain de cause contre des pros car accusaient dans le vide sur le simple doute ou intime conviction de la malhonneteté du vendeur. se retourner contre un vendeur, pro ou particulier, c'est de toute facon la croix et la banniere, faut des preuves pertinentes et pas seulement constater que le cheval qu'on a acheté ne nous convient pas pour X raison.
un cheval etant un etre vivant son etat physique peu se degrader a tout moment sans qu'il y ait de coupable a ça, faut l'accepeter quand on achete un cheval. c'est toujours un peu trop facile de se retourner contre le vendeur et souvent trop vite evoqué.