soffad a écrit le 19/07/2009 à 10h46: |
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Tu as raison mais je préfère conserver le mors a aiguille même si je ne m'en sers que tres peu car cela peut donner une meilleure compréhension au poulain si je précise du bout des doigts par l'intervention de la rêne mon indication corporelle...
c'est vrai aussi que les fautes d'assiettes sont souvent quelques fois moins acceptées que les fautes de mains...par un cheval, mais quand il s'agit d'un poulain de 3 ans dont les barres sont pratiquement a vif !!!
A moins que ta pensée soit de ne pas mettre de mors du tout et de ne se servir que d'un licol ? |
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Au début du débourrage de Bandit, j'hésitais effectivement à lui apprendre les bases avec un licol... (direction et allure et ensuite passer en filet)
Mon instructeur adepte du débourrage rênes courtes et hautes, envisagait les choses autrement (bon, je l'écoute à moitié puisque aujourd'hui, je suis repassée rênes longues et mains basses...).
D'un point de vue sportif, je conçois totalement que le mors soit plus adapté pour pousser le dressage plus loin. Donc adepte du mors, OUI, j'y suis à 100% car c'est cet outil qui va permettre d'affiner nos aides.
Et je suis adepte du licol aussi pour parfois travailler autrement nos chevaux. Je pense qu'ils ont besoin de changement comme nous de temps en temps
Pour ce qui est des fautes d'assiettes, cela a été extrêmement valable pour le débourrage de Bandit. Dès les premières séances, il avait la gueule en l'air et le rein bloqué. Il avançait pas du tout et changeait de cadence tout de temps (accélèration, ralentissement). Beurk ! J'étais pas à l'aise du tout, donc forcément, mon corps avait du mal à suivre son désagréable rythme

Et c'est justement en me mettant légèrement en équilibre au dessus de ma selle et en lui demandant une bonne cadence régulière, qu'il a commencé à se tendre (Forcément, je gigottais moins dans ma selle). Je précise que j'étais rênes courtes à ce moment là, donc avec mon niveau, il y avait des fautes de main. Pas vif et méchante bien sûr. Mais parfois, quand il accèlérait, j'avais tendance à mettre les épaules en avant, et à reculer mes coudes
