jummg a écrit le 29/07/2011 à 13h41:
Lorsque je sens entrer dans mes songes la douleur
L'acidité, le vide, les élans de rancoeur
Il se dresse soudain l'image de mon soleil
Noire, pelucheuse et douce, elle est ici, elle veille.
Hors de moi dès alors tortures humanitaires
Les fades pensées reprennent leur état de poussière
Seuls résonnent, inaudibles, le chaud martèlement,
L'ivresse de la course, le martèlement du vent.
Son souffle son regard, sa forme nuageuse
Sont tant de charmes qu'elle couve, petite Merveilleuse
Et qu'elle sème à foison dans mes pensées, avides
De l’accalmie heureuse qu'elle diffuse, rapide.
Tu possèdes l'ailleurs, l'élégance, la vie,
Mon histoire, mon bonheur, petite Noire, merci.
Voici le mien, je suis preneuse de tout commentaire, car j'adore écrire et ne demande qu'à m'améliorer... Et vu qu'il y a de supers poètes parmi vous... :)
tanit93 a écrit le 29/07/2011 à 13h46: |
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j'aime beaucoup la forme classique du sonnet. ensuite les pieds y sont (à voir avec les "e" muets et autres césures à l'hemistiche... ) j'ai lu ton poème très vite grace à son titre qui attire l'oeil; ensuite je l'ai trouvé vraiment bien donc bravo ! |
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Merci beaucoup !!